Bobine

environnant un champ magnétique. (voir TP) Qu’est ce qu’une bobine ? Une bobine est constituée d’un enroulement de fil conducteur, recouvert d’un vernisisolant, sur un cylindre de rayon r. On désigne par L la longueur de l’enroulement et par r le rayon d’une spire. Si L et petit devant r, la bobine est plate ; si L est voisin de r la bobine est appelée : solénoïde ; si L est plus grand que 10 r, le solénoïde est dit infini. Une bobine parcourue par un courant se comporte comme un aimant, elle

formes marchandes. * Des produits laminés à chaud : ∼ Produits plats comme des plaques d’une épaisseur entre 5 à 25 mm, des bobines de tôle d’une épaisseur entre 1 à 5 mm, elles sont débitées des feuilles ou feuillards. ∼ Produits longs comme des barres, rails, poutrelles, profilés divers, … * Les produits laminés à froid sont repris après un laminage à chaud pour obtenir des bobines de tôle d’une épaisseur entre 0,1 à 3 mm, elles sont débitées par la suite en feuilles ou feuillards. 2- SCHEMA DE PRINCIPE

- Une partie mobile appelée ROTOR qui aura le rôle d'induit. - Une liaison rotor - éléments extérieurs à la machine appelée COLLECTEUR. L'inducteur : Il est formé soit d'aimants permanents en ferrite soit de bobines placées autour des noyaux polaires. Lorsque les bobines sont parcourues par un courant continu, elles créent un champ magnétique dans le circuit magnétique de la machine notamment dans l'entrefer, espace séparant la partie fixe et la partie mobile, où se situent les conducteurs

La motion capture magnétique : Qcc ? La motion capture magnétique ou électromagnétique se sert d’un champ magnétique produit par des bobines de cuivre placées en un point (0;0;0) sur un repère dans l’espace. Les capteurs quant à eux sont de petites bobines de cuivre ou de fils électrique. Ainsi en introduisant ces capteurs dans le champ magnétique, les bobines présentes dans le capteur créent un courant, et la position ainsi que la direction des capteurs sont déterminée par la différence entre

Vitesses de rotation : (N − N ) f x 60 f 2πN S g= s NS = nS = N = NS (1 − g ) ΩS = Ω = 2 πn N p p 60 s • Pertes du moteur : 3 PJS = (rI 2 ) Ptr = TΩS Ptr = Pa − (Pf + Pjs) PJR = g.Ptr Pu = TΩ 2 • Bilan des puissances • • Ω= • Résistance des bobines et entre phase : En étoile : En triangle : r 3r 2R r= R= r = 2R R = 3 2 2 Vitesses de synchronisme sous 50Hz : Paires de pôles 1 2 3 4 5 etc. Ns en Tr/mn 3000 1500 1000 750 600 etc. Machine à courant continu : U = E + rI E = nNΦ n= U − (rI )

→ W2 Les six bornes sont disposées comme indiqué sur la figure ci-dessous : W1 V1 U1 V2 U2 W2 L’accès aux extrémités des bobines permet d’effectuer en fonction de la tension du réseau et des indications portées sur la plaque signalétique du moteur, soit le couplage étoile, soit le couplage triangle. 1 Conformément aux directives données, nous nous limiterons aux

pôles est toujours pair, il varie suivant la machine. Rotor à pôles lisses ou Turboalternateur : Le rotor est un cylindre plein dans lequel on a usiné des encoches. Il possède le plus souvent deux pôles. - b - Induit : Il est au stator, bobines fixes, le plus souvent triphasé. Il est le siège de f.e.m induites [pic] Il est soumis à un flux tournant, il est donc le siège d'hystérésis et de courants de Foucault. Comme pour le transformateur, nous raisonnerons sur un schéma équivalent

roches. Et par la suite nous nous sommes tourné vers les pigeons et les requins qui étaient des sujets plus simple et où l'on pouvait essayer de faire des expériences et les prouver par nos calculs. Pour nos calculs les seuls instruments étaient des bobines, des testlamètres... Les seuls personnes qui nous ont aider étaient les professeurs de SVT et de physique chimie. BILAN Malgré des difficultés comme calculer une intensité ou l'impossibilité de faire des expériences, j'ai beaucoup appris. Mes

qualité Q et de la pulsation propre ω0 en fonction de R,L et C. § Q : Quelle est l’expression de la résistance critique Rc (valeur de R qui permet le régime critique lorsque L et C sont fixées) en fonction de L et C. II.2 Montage § Prendre une bobine de 1 000 spires dont on mesurera précisément l’inductance L et la résistance r. § On prend ici : - pour C : C = 0, 1 µF - et pour R cinq boîtes AOIP (x1 Ω), (x101 Ω), (x102 Ω), (x103 Ω) et (x104 Ω) en série. § Réaliser le montage et représenter le

transistors bipolaires ou à effet de champ ; ceux-ci peuvent être intégrés sur une puce ; • un circuit de réaction, placé entre la sortie de l'amplificateur et son entrée ; ce circuit met en œuvre diverses impédances : résistances, condensateurs, bobines, quartz. C'est le circuit de réaction qui détermine la fréquence d'oscillation. En effet, celle-ci se produit à une fréquence où la condition d'oscillation n.Go = 1 est satisfaite. n et Go, tous deux complexes, représentent le « gain » du circuit