Boche

Toujours à sa fenêtre, Gervaise dialogue avec Mme Boche, la concierge d'une autre maison (dont le rez-de-chaussée est le restaurant où dînent Lantier et Gervaise, « le veau à deux tête »). Mme Boche réservera une place à Gervaise au lavoir. A huit heures Lantier est de retour, il refuse de justifier son absence. Il envoi Gervaise au Mont-De-Piété pour vendre des vêtement, elle rapporte cent sous et part au lavoir. La-bas elle y retrouve Mme Boche, on n'apprend un peu du passé de Gervaise : elle vient

pas rentré. Description La rue : l'ouverture des "marchands de vin", le flux des travailleurs. (vers 6 heures) Dialogue De la fenêtre à la rue : Gervaise dialogue avec Mme Boche, la concierge d'une autre maison (dont le rez-de-chaussée héberge le Veau-à-deux-têtes, restaurant où dînent Gervaise et Lantier). Mme Boche réservera une place à Gervaise au lavoir. description La rue, vers huit heures. Long dialogue avec Lantier Dans la chambre. Il refuse de se justifier ; envoie Gervaise au

banchisseuse, Mme Boche en lui faisant part de sa jeunesse malheureuse dans sa famille et de sa nouvelle vie monotone à Paris. Cette scène a lieu dans un lavoir parisien, et elle est présentée sous la forme d'un dialogue. L'auteur utilise à travers l'extrait le registre pathétique. Dans un premier temps je vais vous parler du changement de vie et de la desillusion de Gervaise puis dans un deuxième temps, je dresserais le portrait de notre héroîne mais aussi celui de Mme Boche. Nous verrons en quoi

Justement, les Boche, depuis le terme d'avril, avaient quitté la rue des Poissonniers et tenaient la loge de la grande maison, rue de la Goutte-d'Or. Comme ça se rencontrait, tout de même ! Un des ennuis de Gervaise, qui avait vécu si tranquille sans concierge dans son trou de la rue Neuve, était de retomber sous la sujétion de quelque mauvaise bête, avec laquelle il faudrait se disputer pour un peu d'eau répandue, ou pour la porte refermée trop fort, le soir. Les concierges sont une si sale espèce

10/11/2010 08:55 L'Assommoir, Emile Zola : synopsis (chapitre 1) http://membres.multimania.fr/messiaen/assom_synop.html De la fenêtre à la rue : Gervaise dialogue avec Mme Boche, la concierge d'une autre maison (dont le rez-de-chaussée héberge le Veau-à-deux-têtes, restaurant où dînent Gervaise et Lantier). Mme Boche réservera une place à Gervaise au lavoir. description La rue, vers huit heures. Long dialogue avec Lantier Dans la chambre. Il refuse de se justifier ; envoie Gervaise au

pronom « on » -Narrateur omniscient, s’introduisant au sein du repas avec une gouaille sans pareille « on serait joliment godiche de ne pas s’en fourrer jusqu’aux oreilles » → Grossièreté * Le discours indirect libre souligne la vulgarité de Boche et- de Coupeau pour l’intégrer à la narration Les convives s’abandonnent à leurs pulsions primitives à l’instar du narrateur qui ne mesure plus ses propos II. Etude sociologique des comportements A. Métamorphose collective des convives *

: les ouvriers, l’ouverture de marchands de vin. Elle discute avec Mme Boche la concierge de sa fenêtre puis décris la rue. Lorsque son mari rentre ils se disputent, Gervaise sait qu’il est allé passer sa soirée avec Adèle une fille du quartier. Et l’envoie au Mont-de piété. S’en va au lavoir le décrit également, dialogue avec Mme Boche a nouveau. Entre elles elles parlent du passé de Gervaise, les insinuations de Mme Boche sur les relations de Lantier et d’Adèle et Virginie. Plus tard Virginie

recherché de celle-ci. Dans cette composition nous verrons pourquoi peut-on parler d’ «instrumentalisation » de la jeunesse française durant la première guerre mondiale ? Dans un premier temps nous verrons l’image renvoyée par la propagande du « Boche », archétype du soldat Allemand. Ensuite nous nous intéresseront plus particulièrement à la propagande même, et pour finir nous étudieront le but de cette propagande ainsi que le rôle des enfants dans cette guerre. Comme cette guerre demande une

niveau de langue contamine le narrateur : pourquoi cela a-t-il pu choquer le lecteur de l’époque ? Le niveau de langue employé dans cet extrait est familier voir à certains moments argotiques : « […] en se tordant de rire sur sa chaise, à cause de Boche qui lui disait tout bas des indécences. ». Cela affecte le narrateur notamment lorsqu’il dit par exemple « Ah ! Nom de dieu ! Oui, on s’en flanqua une bosse ! Quand on y est, on y est, n’est-ce pas ? » l.19 & l.20 et de manière générale des lignes

un couteau à cran » ou encore l’exemple ligne 24 : « J’ai tué le Boche » ces deux exemples soulignent la motivation de guerre dont faisait preuve l’Etat envers les soldats. Cette guerre mondiale compte beaucoup pour les soldats qui partent à la guerre pour protéger leurs familles restées côté civils, mais aussi pour le nationalisme et le patriotisme, ils sont fiers d’être français, Allemands... Lorsque le soldat dit « j’ai tué le Boche ! » il est fier d’avoir tué pour son pays, de plus l’ennemi est