Boche

d'un coup de pied dans le ventre. Habite maison Goutte-d'Or. Sa fille aînée, Lalie, dirige le ménage à la mort de sa mère, avant de mourir elle aussi de mauvais traitements. Deux autres enfants : Henriette et Jules. Boche : concierge de l'immeuble de la rue Goutte-d'Or. Mme Boche est une commère très bavarde ; Pauline, leur fille, a le même âge qu'Anna Coupeau. Maman Coupeau : mère de Coupeau, de Mme Lerat, de Mme Lorilleux. Mme Fauconnier : blanchisseuse, rue neuve de la Goutte-d'Or, (début

surnomme lui-même Bibi-la-Gaieté, "le consolateur des dames". Il enterrera Gervaise. * Le père Bru : Ancien ouvrier peintre, miséreux, il vit dans un réduit, sous l'escalier de la maison rue Goutte-d'Or.  * Les Boche : Concierge de l'immeuble de la rue Goutte-d'Or. Mme Boche est une commère très bavarde ; Pauline, leur fille, a le même âge qu'Anna Coupeau. * Clémence : Ouvrière repasseuse, employée chez Gervaise. Elle est présente au repas de Gervaise. * Mme Lerat : Sœur aînée

effondrée l’attend il ne rentrera qu’à 8 heures le lendemain. Gervaise est une grande femme de 22 ans mince. A 10 ans, elle était déjà blanchisseuse. Pendant cette nuit infernale, Gervaise regardant l’extérieur, voit Mme Boche, une amie. Gervaise lui raconte alors ses mésaventures. Mme Boche lui propose d’aller laver leur linge ensemble le lendemain. Le lendemain, les deux femmes partent au lavoir. C’est alors que Gervaise se confit en intégralité. Pendant leur lavage, Virginie la sœur d’Adèle, la présumée

d’une source) ? La résolution des poilus : entre contrainte et consentement ← entrée en guerre avec résignation et fatalisme (et non enthousiasme), sentiment d’avoir été agressé et d’être dans son bon droit donc… ← Nécessité de tenir ( haine du boche, défense de la patrie ← Qq actions spectaculaires + héroïsme au front ← Puissants mouvements de solidarité (au-delà des divergences politiques et idéologiques)( volonté de prolonger cet état d’esprit jusque dans la création d’une mémoire du front

dégradation du climat ? = ces craintes sont atténus par la propagande des Etats. -foules se centrent sur leur préocupation pv ● cible pour attiser la peur et légitimer le pouvoir - peur du Dieu autoritaire remplacé par la peur du “Boche ⇒ culte de la patrie contre le Boche ⇒ unifier peuple soumis par la peur autour des benef de l’odre - peur du communisme ( hérétique de 1945 à 1970) qualif de traitre car solidaire des mouvement de libé national PEUR ACTUELLES ET LEUR UTILITE peur à la mode = l’insécurité

dissimulation et tentation du suicide pour échapper au combat… voici un héros bien inattendu au milieu des personnages pleins de courage que met d’habitude en scène le roman; voici aussi un français bien peu exemplaire à une époque où la revanche contre le « boche » était une idée fixe. 1.3 Un homme du peuple Il faut noter enfin que le langage employé n’est pas seulement une affaire de style. En choisissant le langage oral et populaire, Céline choisit aussi de mettre en scène un pauvre, un sans-grade, là où

mal taillée, signe de sa barbarie. Dans l’iconographie française, le soldat allemand reste toujours coiffé du casque à pointe alors que celui-ci fut remplacé pendant l’hiver 1915 – 1916 par le casque d’acier. Le casque à pointe – surnommé « couvre-Boche » – est en effet considéré comme le symbole de l’« archaïsme » de l' armée prussienne, et pour cette raison souvent utilisé par la propagande. Le comportement des soldats allemands est aussi moqué dans ces caricatures. Il sont babares, cruels, voleurs

mort blessés et disparus. Bataille de verdun sans vainqueur. Victimes sont aussi des civiles. 1914-1918 : 70 millions d'Occidentaux sont passés sous les armes. Propagande : excerbe le nationnalisme et diabolise l'ennemi le poillu francais contre boche. La mort omnipresente Obus d'armes,tanks, mitrailleuses tout ceux ci modifient le rôle du soldat, nouvelles armes donc empleur des pertes 900 francais et 1300 Allemand tués en 1 jour.(soldat francais dejeunent sur des tombes) Une guerre

toiture, avec des sourires, des hochements de tête, comme pour dire qu’elles ne s’impatientaient pas. En face, la vieille n’avait pas quitté sa fenêtre, regardant l’homme, attendant. — Qu’est-ce qu’elle a donc à espionner, cette bique ! dit madame Boche. Une fichue mine ! Là-haut, on entendait la voix forte du zingueur chantant : Ah ! qu’il fait donc bon cueillir la fraise ! Maintenant, penché sur son établi, il coupait son zinc en artiste. D’un tour de compas, il avait tracé une ligne, et il détachait

qui pourraient étayer l’affirmation de Zola. On peut voir que ce roman a l’odeur du peuple car il montre les sentiments du peuple (amoureux), comme on peut le voir ligne 17 à 19 « Clémence […] se tordant de rire sur sa chaise à cause de Boche qui lui disait tout bas des indécences ». (Amicaux) « Elle ne parlait pas, mais elle se dérangeait à chaque instant pour soigner le père Bru. » Le niveau de langue d’un narrateur ou des personnages doivent avoir un niveau de langue soutenue