Brigadier

place. A gauche, se trouve le corps de garde avec les soldats. A droite, l’entrée de la manufacture de tabac où travaillent les jeunes cigarières dont la jolie Carmen. Une jeune fille, Micaëla, se présente à la caserne. Elle désire rencontrer le brigadier Don José. Elle devra revenir à la garde montante car il est absent. La cloche sonne, les cigarières sortent de la manufacture pendant une pause. Carmen apostrophe Don José et lui jette une fleur qu’il cache sous son uniforme. Puis les cigarières

gardes inscrits ci-dessous sont ceux disponibles en ville et non tous ceux qui existent. Gardien de la paix Brigadier de police Brigadier-chef de police Major de police Lieutenant de police Capitaine de police Commandant de police Commissaire de police Les indicatifs pour les grades : • Brigadier : BR+(matricule) • Brigadier-chef : TR+(matricule) • Major : TJ+(matricule) • Lieutenant stagiaire : TLS+(matricule) • Lieutenant : TL+(matricule)

Nord pour former une brigade. Théoriquement, elle devait donc compter 4.000 hommes; en pratique, l'effectif était d'environ 2.000 hommes suite aux pertes enregistrées par les régiments qui la composent. Une brigade est commandée normalement par un Brigadier-général, parfois un Colonel si la brigade est peu importante ou en cas de formation d'une brigade temporaire destinée à une mission spéciale. Un petit Etat-major entoure le Brigadiergénéral. Dans l'armée de l'Union, les brigades sont simplement numérotées

: un bourrelier qui a des problèmes avec maitre hauchecorne. -M.houlbrèque -M.le maire : homme gros,grave ;à phrases pompeuses qui était le notaire de l’endroit. Secondaires Les paysans ; leurs femmes ; M.Jourdain ; le crieur public ; le brigadier ; les trois voisins ; Marius PAUMELLE ; le fermier de Criquetot ; le maquignon de Montivilliers . Les indicateurs spatio-temporels Goderville ; jour de marché ; la compagne ; une maison ; la place de Goderville ; midi ; les auberges ; la grande

guerre. Il est ensuite chargé d'aller récupérer de la viande, dans une prairie. Le spectacle du sang, des tripes, et des bouchers qui s'engueulent le font vômir, et il s'évanouit. Il reprend connaissance devant un brigadier en colère. Chapitre 3 Le narrateur est devenu brigadier, sous les ordres du commandant Pinçon, homme dont le narrateur « se demandait quelle rage d'envoyer crever les autres le possédait ». Le commandant leur demandait souvent d'aller rejoindre leur régiment dans le village

presque tous les paysans se retrouvent chez Jourdain, une auberge normande, pour dîner. Dans la grande salle, il y a une atmosphère de gaieté jusqu`à l`arrivée du crieur publique qui annonce la perte d`un portefeuille. Quelques minutes après un brigadier arrive et il veut que Maitre Hauchecorne lui accompagne à la mairie. M.Malandain a dit qu’il a vu M.H trouvant quelque chose qui la cacha sous sa blouse. Alors, le maire pense que cela était le portefeuille. Maître Hauchecorne est accusé d’avoir

Victor Hugo , qui parle d’un enfant attrapé par les brigadiers du gouvernement (car il était du côté des communards) décident de l’exécuter mais l’enfant demande de partir rapporter sa montre à sa mère et qu’il reviendrai aussitôt , les gardes croyant que c’est un moyen pour lui de s’enfuir acceptent de le laisser partir mais quelques minutes plus tard le il revient et se remet contre le mur là ou il était supposé être exécuté , les brigadiers lui laisse la vie sauve. Victor Hugo nous montre ici

un bourrelier qui a des problèmes avec maitre hauchecorne. -M.houlbrèque -M.le maire : homme gros,grave ;à phrases pompeuses qui était le notaire de l’endroit. Secondaires Les paysans ; leurs femmes ; M.Jourdain ; le crieur public ; le brigadier ; les trois voisins ; Marius PAUMELLE ; le fermier de Criquetot ; le maquignon de Montivilliers . Les indicateurs spatio-temporels Goderville ; jour de marché ; la compagne ; une maison ; la place de Goderville ; midi ; les auberges ; la

mesure de la complexité du personnage. Don José, brigadier, (ténor) Micaëla, jeune Navarraise (soprano) – Personnage qui n'existe pas dans l'œuvre originale de Prosper Mérimée, destiné à faire contraste avec la sulfureuse Carmen. Escamillo, toréador (baryton) Frasquita, bohémienne (soprano) Mercédès, bohémienne (soprano) Le Dancaïre, contrebandier (baryton ou trial) Le Remendado, contrebandier (ténor) Zuniga, lieutenant (basse) Moralès, brigadier (baryton) Lillas Pastia, aubergiste (rôle parlé)

« Comment décrire ? » La mort en son royaume : lettre de René Jacob à son épouse Lucie, 1915 (tué à Verdun en 1916), adapté et illustré par Juan Giménez, p.49-52 « J’ai réussi à me procurer de l’encre… » : Le pays de la mort, lettre de Taupiac, brigadier 58e régiment 48e batterie 68e secteur , à son ami Justin Cayrou, 14 février 1918. (29 ans en 1914, fils d’ouvriers agricoles du Tarn-et-Garonne.), adaptée et illustrée par Teddy Kristiansen, p.55-57. « Samedi 31 juillet 1915 Chère femme… » : Le fusillé :