Camée

La gemma augustea Le camée couramment appelé Gemma augustea est l'un des chefs d'oeuvre de la glyptique du Ier siècle après JC. Il a été taillé dans une pierre d'onyx à double couche, blanche et bleu très foncé, aux environs de l'an 10, par un artiste qui pourrait être Dioscurides ou l'un de ses disciples. Sur la partie supérieur, à gauche est représenté Tibère, le fils d’Auguste qui lui succèdera à sa mort en 18 après J-C. Apparemment Auguste désapprouvait les représentations comme celle-ci à

l’on confond régulièrement avec l’intaille ? Une intaille est une pierre dure et fine gravée en creux pour servir de sceau ou de cachet. Elle peut être présentée seul ou montée en bague, bijou ou faire partie d’une parure. C’est le contraire du camée.

oscille entre 14 et 35 mm. Sa largeur originelle pourrait avoir atteint 24,5 cm, mais il manque une partie à gauche. En effet l'aile de la victoire n'est pas entière et l'on s'aperçoit que la main de Tibère est coupée. On admet généralement que le camée a été exécuté dans l'atelier de Dioscoride, entre 10 et 20 ap. J.-C. La gemme Auguste a fait partie des trésors impériaux, puis ecclésiastiques. Elle est actuellement conservée au Musée d'histoire de l'art de Vienne. La gemme comporte 2 registres :

représenter en effigie comme sur ce camée de la Renaissance où figurent les portraits en buste du couple. 209. BAGUE ROMAINE TARDIVE, Empire Romain, 3e-4e siècle or et pâtes de verre colorées, ø 49 mm. 5.500,00 € 226. BAGUE BYZANTINE DE MARIAGE Constantinople, 7e siècle, ø 56 mm. 15.500,00 € 309. BAGUE RENAISSANCE À CEINTURE Angleterre ?, 15e-16e siècle or et traces d'émail noir, ø 55 mm. 4.300,00 € 321. CAMÉE RENAISSANCE Italie, vers 1540 (monture moderne) or et camée en agate, ø 59 mm. 7.300,00 €

| |cactée |gelée |trophée (masc.) | |caducée[7] (masc.) |giboulée |urée | |camée[8] (masc.) |giclée |volée | |céphalée |giroflée | | |charretée

camp achéen, intaille signée par Athénion, cornaline, provenance inconnue, collection privée. -Achille traînant le corps d’Hector, peigne en os, Ier siècle av. J. C., Musée archéologique de Tarente. -Pâris, camée, collection privée (définition du camée + notion d’opposition entre le camée et l’intaille). Le 03/11 Homère : sur les traces d’Ulysse, catalogue de l’exposition organisée à la BNF. -L’armement d’Achille, hydrie attique à figures noires attribuée au « Groupe d’Archippe », vers

Pourquoi ? Et ailleurs? Trace écrite : fiche complétée au fur et à mesure NB l'étude d'Hadrien permet de souligner qu'avec lui c'est la fin des conquêtes 2ème temps : Adrien est un empereur du II°s , qui a été le 1er empereur ? Support : Camée en onyx du Ier s ap JC --- questionnement/description/commentaires pour décrire et expliquer le rôle et la fonction d'Auguste ---pouvoir impérial, un des piliers de l'unité de l'Empire romain. Etude d'Auguste concrétise le pouvoir impérial, souligne

de la main droite : elle assure de sa fidélité, de sa sincérité. Sa manche attire également le regard. On a une impression tactile, on a envie de toucher. Les bijoux sont à la fois discrets et très luxueux. Son collier est par exemple composé de camée, mais il est monochrome. La mèche de cheveux, qui s'échappe sur son front, atténue ce qu'aurait de froid une beauté parfaite.

critique le monde moderne puis nous conclurons. L’absurde de la scène réside d’abord dans Le personnage principal de l’œuvre, La Folle. Habillée de façon extravagante et incohérente : souliers Louis XIII, un chapeau Marie-Antoinette, un face-à-main, un camée ; c’est un personnage loufoque qui ne semble point être préoccupé par les conséquences de ses actes, elle renverse par exemple le ver du président et s’éloigne sans s’excuser. Les dialogues sont tout aussi absurdes, La folle va demander au chasseur

Les matériaux : bois, ivoire, argile, kaolin, verre, or, argent, nacre, pierres précieuses, métal… La technique utilisée : ébénisterie, marqueterie, laque, terre cuite, émaillage, vernissage, faïence, porcelaine, décor peint, gravure, ciselure, camée, repoussé, incrustation…     3) Analyse iconologique : on analyse l'œuvre par rapport à son contexte culturel, en essayant de comprendre sa signification à l'époque de sa conception. Nous en sommes par conséquent à l'interprétation de l'œuvre.