Chair de poule

le plus étrange qu’il n’a jamais vu. Non, ce n’est pas tout à fait juste. A la télévision il en a déjà vu un comme cela dan un reportage sur les handicapés mentaux. Il en a eu alors la chair de poule et il a rapidement zappé sur une autre chaine. Mais il ne peut pas faire cela maintenant : un petit garçon en chair et en os, on ne le zappe pas comme cela. Les yeux un peu en oblique reposent calmement sur Josse et attendent une réponse. C’était quoi encore la question ? Cela coute trop d’efforts à

J'ai peur de me faire avoir encore une fois,J'ai peur qu'elle mente et qu'elle soit comme les autres filles.J'ai peur de souffrir encore à cause de tout çaMais j'ai peur de m'en vouloir si avec elle, je ne tente pas.Le doute et la peur me rongent totalement,Je devrais mettre tout ça de côté pour le momentMais c'est plus fort que moi, je n'y arrive pas.Que devrait-elle faire pour me prouver qu'il n'est pas comme ça ?C'est vrai qu'elle a l'air d'être sincère, vraiment Mais je pensais la même des autres

Soirée Cauchemardesque … Un soir d’automne, à Los Angeles, dans une rue piétonne, se trouvait le bar « Swim In The Coffee ». Nancy, une jeune fille blonde de trente ans était fatiguée par sa longue journée de travail rêvassait devant son café. Il n’y avait personne dans le bar excepté un homme à l’apparence hostile, frêle et à la peau blanchâtre qui la regardait. A l’extérieur la rue était déserte et sombre. Le temps était lourd et pesait sur ses épaules. Le regard maussade de son voisin lui

sa chambre il fait froid mais la vision qu’il a quand il se regarde dans la glace lui fait avoir peur même de son lit et il décide « ouvrir la fenêtre pour regarder dehors ».Tout a coup comme si la mort approchait « un froid glacial lui mordit la chaire de la tête aux pieds ».Le froid de son corps renforce sa peur , son inquiétude. Il est donc obligé a boire de l’ alcool pour se sentir mieux et revivre mais il ne bois pas tranquillement ,au contraire ,a cause de sa dépression il boit avec « avidité »

dccccccxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxx xxxxxxqui allaient et venaient dans Paris, tranquilles dans leur fortune, les Godefroid de Beaudenord, les d'Aldrigger, les d'Aiglemont, etc., il prit à Rastignac un frisson comme à un jeune général qui pour la première fois contemple une armée avant la bataillequi allaient et venaient dans Paris, tranquilles dans leur fortune, les Godefroid de Beaudenord, les d'Aldrigger, les d'Aiglemont, etc., il prit à Rastignac un frisson comme à

Français Le tableau de la peur Moi aussi j’ai ressenti la peur, j’ai subi l’épouvante c’était par un froid matin de décembre, voici maintenant un an. J’habitais à l’époque à Paris dans un appartement, mon métier était celui de comédien. Dans une allée à Paris, je me promenais dehors pour récupérer mes chaussures que j’avais commandées. Quand tout à coup je vis un tableau qui me fit peu ; et j’ai remarquais que le tableau plus je m’approchais plus le tableau devenais terrifiant. Ensuite, un homme

Nous avouerons que notre héros était fort peu héros en ce moment. Toutefois la peur ne venait chez lui qu’en seconde ligne ; il était surtout scandalisé de ce bruit qui lui faisait mal aux oreilles. L’escorte prit le galop ; on traversait une grande pièce de terre labourée, située au-delà du canal, et ce champ était jonché de cadavres. – Les habits rouges ! les habits rouges ! criaient avec joie les hussards de l’escorte. Et d’abord Fabrice ne comprenait pas ; enfin il remarqua qu’en effet presque

Vécu de stage Ma situation: Nous sommes allées, moi et une éducatrice boire un verre avec 5 bénéficiaires. On était tous à table. Ensuite un des bénéficiaire à demandé pour aller aux toilettes. J'ai dit que j'allais aller avec lui. Donc j'y vais et lorsque j'arrive à la toilette, il commence à se frapper la tête contre la porte. Je ne savais pas du tout comment réagir. Mes sentiments: J'ai ressenti de la peur car je me demandais ce qu'il se passait. J'ai manifesté de l'incompréhension car

L’ange et le Vampire “Everybody’s changing” par VishousGirl Part 1 You say you wander your own land But when I think about it I don’t see how you can… (“Everybody’s changing” de Keane) *** Le vent de la nuit provoquait une chair de poule sur toute la peau qui y était exposée. Il sifflait si fort à ses oreilles, que John n’aurait rien pu entendre, si ce n’est le moteur de sa moto qui fonçait à toute allure à travers les rues de Caldwell. En cela, un casque aurait pu être utile, mais il

atSuite :’’le veston ensorcelé’’ Deux jours après, par une nuit orageuse, pendant que j’étais en train de me laver, j’entendis quelqu’un frapper à la porte. Un frisson me parcourus le corps, j’avais si peur de l’ouvrir que je faillis m’évanouir. Alors je pris mon courage à deux mains et j’allai ouvrir cette maudite porte. Je mis ma main sur la poignée, l’ouvrit délicatement en frissonnant et c’était bien lui : le tailleur de malheur. Il était Vêtu d’un ensemble noir comme pour les enterrements