Chant du cygne

CHANT D'AUTOMNE BAUDELAIRE SITUATION: Dans section spleen et idéal. Fin du cycle de l'amour. Beaudelaire traite thème romantique différemment des romantiques comme Lamartine → Chute Dimension collective « Nous » Dimension dramatique « Plongerons » Contraste « Vive clarté de nos étés » encadré par « Adieu » et « trop court » → Caractère irréversible de cette plongée. → Chiasme rythmique (2/4//4/2) souligne cette opposition Effet d'accélération de la chute

poème Baudelaire rêve à la fenêtre. Il transforme le monde urbain en un nouveau monde magique. « enchantement »; « féeriques ». Les termes utilisés pour la ville sont embellis : Les « clochers » deviennent musicaux avec « hymnes »; « l'atelier » « chante et bavarde »; « les tuyaux, les clochers » deviennent « ces mâts de la cité ». LE SOLEIL Le poème est composé de trois strophes de 8, 8 et 4 alexandrins respectivement. Les rimes sont suivies. Dans ce poème Baudelaire compare les poèmes au

Aussi vaine que les nuages, aussi nécessaire que le pain, la poésie n’est plus forcément une maîtresse d’illusions. Elle peut être aussi, elle doit être surtout la réalité profonde prise aux mots, une vérité qui se fait chant.» Trouvez-vous que ces propos définissent correctement toute ambition poétique ? 1. La poésie doit s’inscrire dans la réalité • Le poète est celui qui m’apprend à mieux regarder le monde dans lequel je vis : la section "Tableaux parisiens" des Fleurs du Mal

l’aspect visuel. Le champ lexical de la nuit (« nuit », v.1, « lune », v. 2, « sombre », v. 3, « ombre », v. 6) connote une grande froideur. La vision est floue. Cette description est complétée par une dimension auditive, on entend un chant : l’anaphore de « chant » au début de chaque tercet fait croître l’angoisse, la peur. Le champ lexical de la mort (« enterré », v. 5, « horreur », v. 10, « sous sa pierre », v. 11) nous donne le sentiment d’être dans un cimetière, un monde lugubre. Ce décor

de l'Antiquité, traitant de sujets mythologiques, écrites par un poète grecque nommé Homère. L’épopée est une poésie parlée, comme le rappelle le tout début de L’Odyssée : « Ô Muse, conte-moi l’aventure de l’Inventif… », ou comme dans l’Iliade : « Chante, déesse, la colère d’Achille… ». Mais l'épopée est aussi une poésie narrative. Dans l'Iliade, s'affrontent deux camps lors de la Guerre de Troie, soutenus tous deux par diverses divinités. Dans l'Odyssée, l’œuvre suivant l'Iliade, un héro nommé Ulysse

hymnes solennels emportés par le vent (v.4)[3] Quant au fourmillement, il provoque chez Baudelaire deux réactions parfaitement opposées. Il est d’abord exaspéré par le bruit ambiant que cause la circulation intense des voitures ; la cité « chante rien et beugle » (v.11, p.136) dans Les aveugles, la rue dans A une passante « hurle » (v.1, p.137), dans Le crépuscule du soir (p. 138) c’est un rugissement général, fait de cuisines qui sifflent, de théâtres qui glapissent, d’orchestres qui ronflent

(VIIIe siècle avant J.-C.) → l'aède compose des chants en vers et sature son texte d'images poétiques comme l'"aurore aux doigts de rose". B - La forme, moyen privilégié d'expressivité La forme (rythmes et sonorités) permet le mieux au poète de suggérer ses impressions, ses sensations. Elle renferme son lyrisme, mot dérivé de la lyre, instrument de musique, d'où l'importance de la musicalité des vers. Cf. Chateaubriand : "La poésie, c'est le chant intérieur." Exemple : Eluard, Capitale de la douleur

vocation religieuse au sein de l'Église romaine et repart pour Paris en 1662. II. Les débuts artistiques En 1663, Racine reçoit une pension du roi grâce à des odes (Petit poème lyrique divisé en strophes semblables entre elles. Destiné à être chanté) : la Convalescence du Roi et la Renommée aux Muses. Il est présenté à a Louis XIV il put même assister au si prisé lever du Roi. Il fait aussi la connaissance de Molière. Les deux premières tragédies de Racine « La Thébaïde » (1663) et « Alexandre

comme une source de son inspiration. On peut y retrouver des descriptions qui traduisent un sentiment profond et mystérieux « Les tuyaux, les clochers, ces mâts de la cité, Et les grands ciels qui font rêver l'éternité. »v7-8. De plus, le poème « Le cygne » les détails sont présents « frottant le pavé sec » ce qui laisse une image bien détaillé aux lecteurs du cadre qui leur est

consacrée au sentiment malheureux dans la rubrique Spleen et Idéal. Dans cette partie du recueil, Baudelaire se livre sur son malheur en utilisant le ton mélancolique. Beaucoup de poèmes faisant partie de cette rubrique sont connus, comme par exemple « Le cygne », « A une passante », « Elévation » ou encore « La cloche fêlée » et « Correspondances ». Mais certains de ses poèmes sont des allégories où Baudelaire décrit son malheur à travers des masques comme dans « L'albatros » où il se compare au "prince