Châtillon-Coligny

la tradition, il s'agissait pour lui de suivre le mouvement du temps et non du passé ou du futur. Si je mourais là-bas est un poème tiré du recueil Poèmes à Lou écrit en 1915. Il est le fruit d'une relation brève et ardente avec Louise de Coligny-Châtillon, une belle aristocrate rencontrée à Nice en 1914. Le poète imagine sa mort sur le front et en fait part à sa bien-aimée. Le poème est constitué de 5 quintils en alexandrin et d'un vers isolé en alexandrin. Ancrage réalité guerre. Caractère

et aura avec elle une liaison passionnée jusqu'en 1912. En 1914, au début de la guerre, il fait une demande, en tant que citoyen russe, pour être incorporé dans l'armée française. Entre-temps, il tombe amoureux en septembre 1914 de Louise de Coligny-Chatillon surnommée Lou. Mais la jeune femme rompt rapidement cette liaison. Guillaume qui est toujours citoyen russe (il sera naturalisé en 1916), s’engage. D’abord artilleur, il est ensuite affecté dans le 96e régiment d’infanterie avec le grade de sous-lieutenant

tenta de s'engager dans l'armée française en août 1914, mais le conseil ajourna sa demande. Sa seconde demande en décembre 1914 fut acceptée, ce qui déclencha sa procédure de naturalisation. Peu avant de s'engager, il tomba amoureux de Louise de Coligny-Châtillon, rencontrée à Nice en septembre 1914. Elle accepta ses avances mais ne lui dissimula pas son attachement pour un homme qu'elle surnommait Toutou. Rapidement, Guillaume dut partir au front. Une correspondance naquit de leur relation. Mais la jeune

1914 Au début de la guerre, il fait une demande, en tant que citoyen russe, pour être incorporé dans l'armée française. Il sera finalement affecté en décembre 1914 dans l'artillerie. Entre-temps, il tombe amoureux en septembre 1914 de Louise de Coligny-Chatillon surnommée Lou. Mais la jeune femme rompt rapidement cette liaison. 1915 Dans un train, il rencontre Madeleine Pagès avec qui il se fiancera Parution du Poète assassiné 1916 En mars il est blessé à la tête par un éclat d'obus et est trépané

le conseil de révision ajourna sa demande car il n'était pas de nationalité française. Sa seconde demande en décembre 1914 fut acceptée, ce qui initia sa procédure de naturalisation[6]. Peu avant de s'engager, il tomba amoureux de Louise de Coligny-Châtillon, rencontrée à Nice en septembre 1914, qu'il surnomma Lou. Elle était divorcée et menait une vie très libre. Guillaume Apollinaire s'éprit d'elle et la courtisa. Elle finit par accepter ses avances mais ne lui dissimula pas son attachement pour

rejoindre « j'irai par la forêt, par la montagne ». Ici l'auteur est abattu et malheureux, le seul moyen de mettre fin à ses souffrances et de mourir pour retrouver un être cher. Dans le deuxième poème, Apollinaire s'entretient avec Louise de Coligny-Châtillon, dite Lou. Ce poème est le fruit d'une relation brève mais ardente avec cette femme rencontrée à Nice en 1914. En effet peu de temps après leur rencontre Apollinaire s'engage dans le régiment d'artillerie de Nîmes, et sa vie dans les tranchés

d’amitié avec Pablo Picasso, Paul Gordeaux, André Derain etc… C’est à partir de ce moment là que sa carrière en tant qu’artiste explosa. Il s’est engagé durant la première guerre mondiale où il eut une correspondance avec une certaine Louise de Coligny-Châtillon, surnommée Lou. Dans plusieurs de ses lettres se trouvaient des poèmes qui furent publiés telle que Ombre de mon amour, Poèmes à Lou. Il est mort le 9 novembre 1918 de la grippe espagnole à Paris. Son nom fait partie du Panthéon de Paris.

1914, mais le conseil de révision ajourne sa demande car il n'a pas la nationalité française. Sa seconde demande en décembre 1914 est acceptée, ce qui lance sa procédure de naturalisation. Peu avant de s'engager, il tombe amoureux de Louise de Coligny-Châtillon, rencontrée à la Villa Baratier, dans les environs de Nice en septembre 1914 et la surnomme Lou. La comtesse est divorcée et mène une vie très libre. Guillaume Apollinaire s'éprend d'elle et la courtise d'abord en vain. Puis quand sa demande

grand lecteur de journaux. Sido ayant des goûts de luxe que son mari ne sait lui refuser, la famille ruinée doit quitter Saint-Sauveur et s’installe en novembre 1891 à Châtillon-sur-Loing2. Adolescente, Colette rencontre Henry Gauthier-Villars, séducteur compulsif surnommé « Willy », avec qui elle se marie le 15 mai 1893 à Châtillon-sur-Loing. Willy, critique musical très influent et auteur de romans populaires, est un viveur parisien qui fait également travailler à son profit une équipe de collaborateurs

durant une semaine à la prison de la Santé; cette expérience le marquera. En 1913, il publie "Alcools", somme de son travail poétique depuis 1898. Peu avant de s'engager dans l'armée française en décembre 1914, il tombe amoureux de Louise de Coligny-Châtillon, qu'il surnomme « Lou », rencontrée à Nice. Mais la jeune femme ne l'aimera jamais, ou du moins, pas comme il le voudrait; et si elle le rejoint au régiment pendant une semaine (il connaîtra dans ses bras un érotisme violent qui marquera à jamais