Paradoxe temporel

gêner celui des autres tout se passera bien. Mais je m'écarte du sujet. [u][b][size=150]Voyage temporel "en ligne":[/size][/b][/u] Pour ce qui est du voyage temporelle ce n'est pas impossible si on considère l'existence d'univers parallèles ou de ligne temporelles différentes (qu'on parte du fait qu'il existe une originale ou non). Je vais hypothètiser (mot de mon invention) un voyage temporel dans cette configuration, ensuite, dans une autre configuration, dans les 2 cas, on devra regarder

(éloge d’un trait de caractère moral universel = amitié) I- ENJEU DIVERTISSANT a- cadre spatio-temporel fictif et imprécis . Lieu : "Monomotapa" (v.1), "ce pays-là" (v.3), "ce palais" (v.9), "une nuit" (v.5) . Autre indication par l’intermédiaire plutôt des pers. secondaires : Historiques antiquité "esclave" (v.17), Moyen Age "valets" (v.8) "épée" (v.16) le cadre spatio-temporel de toutes les fables = imprécis éloignés. Cela donne une dimension intemporelle et universelle b-

n’est pas qu’une idée de scientifique. De grand philosophe, écrivain si sont penchaient. Mais le temps, savons nous ce que c'est ce qu'il renferme, sommes nous capable de l'expliquer ? -Le « temps ». -Pourquoi vouloir remonter le temps ? -Le paradoxe du temps. I°) la notion "temps"  Énormément de penseur ce sont penchés sur cette notion qui est le : temps. Ce mot qui vient du latin "Tempus" de la même racine que le grec "Temmein" : COUPER, qui fait référence à une division du flot du

I Le comique de caractère : la déconstruction du couple 1.Les éléments de décor et de mise en scène Idee : découverte ou redécouverte inutile de l'autre : paradoxe de la curiosité - Mr Martin s’évertue à se rappeler au souvenir de sa femme, Mme Martin refuse toute reconnaissance. Exemple :- La didascalie liminaire qui introduit leur entrée en scène nous informe sur leur attitude Conclusoin : elle nous montre l’absurdité de notre vie par les exagérations d’absurdité et l’humeur

(v. 1) est un alexandrin = vers traditionnelle « ancien » (v. 1) diérèse Paradoxe entre la forme et le thème Alourdie le vers, insistance Métaphore « Bergère Ô tour Eiffel le troupeau des ponts bêle ce matin » (v. 2) paradoxe (réf pastoral) Pour suggéré le bruit de la ville Tour = symbole de modernité, elle veille sur la ville. Une image champêtre pour décrire la modernité « automobile ancienne » (v. 4) Paradoxe « ce matin » (v. 2) Renvoie à l'effet de renouveau « Ô tour Eiffel »

de l’espoir, le regard est perdu. Le champ lexical n’est plus le même ainsi que le suggère le vocabulaire de la fuite, « fuis », « bien loin d’ici ». La passante semble avoir disparu, elle n’est plus n’est présente ni visible dans le cadre spatio-temporel, elle est devenue, une « fugitive » apparition, déjà lointaine. L’idéal de l’amour à atteindre s’est évanoui avec la disparition de la belle, il semble laisser place au spleen, l’adverbe « jamais » rend irréversible ce fait. II – Les personnages

train de lire !) « Plus il y aura de stress et plus la durée sera longue » c’est totalement subjectif certes, mais relatif puisque chacun vie cette heure en un lieu et donc un contexte différent. La mesure physique du temps sera : Un paradoxe temporel – variance/covariance d’un espace temps 1 heure de mouvement initial = T absolu du conducteur (1 heure) + T absolu du dormeur (1 heure) + T relatif du conducteur (toujours 1 heure) + T relatif du dormeur (1 seconde) + T résiduel

choses à la fin de chaque cycle. I] Les contradictions du temps. Texte de St Augustin. | Il y a une difficulté à définir le tps. Les 3 modes de tps (passé, présent, futur) ne nous servent pas à dire ce qu’est le tps. Ce texte présente les paradoxes du tps. Le tps est qqch qui nous est familier. Dès que le discours essai de se saisir de la nature du tps, il y a un échec qui nous fait demander s’il y a un être du tps. Le tps n’ai jamais le même, comment peut-on le saisir dans un concept intemporel

décalage ce qui se voit à la première strophe : « nous » v3, qui en fait n'a pas de consistance. Le rossignol : symbole de l'amour, il parle pour Rose. Le merle aide aussi Rose en se moquant du narrateur (v15-16). II. Attitude du narrateur 1. Décalage temporel v4 et 36 : des verbes au présent encadrent le poème. Le poème représente l'écrivain adulte. Le jeune homme avec les verbes au passé : comme un refrain les vers se répètent : v20-28, et insistances par anaphore du« je » + verbe qui font comme des

un incipit traditionnel avec des infos attendues habituellement. Renseignements spatio-temporels, identité du personnage et son domaine. II. Un incipit paradoxal : A) Les oppositions dans l'écriture "royaume évanescent" et "puanteur" . Une oxymore dans le premier paragraphe "un génie abominable". L'identité du personnage : Jean-Baptiste : prénom religieux Grenouille : grotesque Paradoxe entre le prénom et le nom. B) Une vision du 18 eme siècle inhabituel. Le 18 eme