Citoyenneté Et Empire à Rome Ier Iiième Siècles

formule fais à Rome : « là où il y a une société, il y a un droit. » Cela soulève des questions : * Qu’est-ce que le droit ? * Peut-on le définir ? * Existe-t-il une ou plusieurs définitions du droit ? La plus connue : par un juriste romain « Ulpien » -> milieu du 3ème siècle : « le droit est l’art du bon et de l’équitable » : -> construction de l’esprit à partir d’un fait social, le droit n’est donc pas scientifique. Plus on avance dans le temps, plus on a de définition

Définitions Le mot droit a deux significations. Droit désigne une prérogative individuelle (dont une personne est titulaire en vertu des règles juridiques). Chaque sujet de droit (personnes, associations…) dispose de prérogatives de ce type, c'est-à-dire de l’autorisation de faire ou de ne pas faire, d’exiger ou d’interdire quelque chose. Ce sont des droits subjectifs (ils appartiennent à des sujets donnés) ex: le droit de vote Droit, la discipline, c’est l’ensemble des règles qui à un moment donné, dans

la société (lépreux, comédiens, prostituées…) qui n’ont pas droit à une sépulture religieuse. Toutes les grandes sociétés civilisées de l’époque ont pratiqué l’esclavage, par ex. l’Egypte avec les hébreux. Les grands philosophes grecs (Aristote, Platon) se sont interrogés sur la cité idéale, l’organisation politique mais sans remettre en cause l’esclavage. Pour Aristote, l’esclavage ne peut pas disparaître car il correspond à un certain type d’économie. Dans le christianisme, les apôtres et

institutions, usages et coutumes) => par exemple le code civil. Un objectif : celui d’organiser les relations humaines. Si il n’y a pas de droit il n’y a pas de société = cohésion. Le droit est donc la cohésion entre les individus et il est essentiel à la cohésion de la collectivité humaine. Le droit peut servir aussi à une personne au détriment de la collectivité. Le droit sert à une grande majorité (ex : la révolution arabe en Lybie, Tunisie …) il est donc au service de la majorité ; ex en France au service

Chapitre un : Fondations Romaine. Section I : Une cité à un Empire I - Les repères chronologiques essentiels Rome en 753 av Jc : D’après les analystes romains ça serait la fondation de Rome par Romulus qui aurait tracé un sillon avec une charrue, qui aurait menacé de mort quiconque le franchissait, et aurait tué son frère qui l'a franchi. Milieu du VIII° av Jc qui correspond à une date importante, l'archéologie a conforté cette période = > à ce moment là sur les bords du Tibre est née une confédération

ÉTAT Le XXème siècle a ainsi oscillé entre deux affirmations radicalement opposées s’agissant de l’État : d’un côté, la promesse d’un État total promis par Carl Schmitt que le nazisme incarna dramatiquement ; d’un autre côté, l’espoir d’une société sans État, mieux même d’une société contre l’État selon la formule de l’anthropologue Pierre Clastre. Cette opposition extrême reflète un débat ancien et intense ou les prises de position sont souvent tranchées. Tandis que Hegel l’élève à la dignité suprême

imperii. L’empire carolingien devient une Rome européenne, par exemple, un grand nombre de mesures de cette époque carolingienne sont toujours en vigueur aujourd’hui en europe. On peut citer la réforme des mesures ou l’exemple de l’écriture avec « la minuscule caroline » (aujourd’hui times new roman). L’empire carolingien développe ainsi une culture européenne. La respublica Christiana prend donc la forme de l’empire carolingien, un empire européen. Cependant, à la mort de Charlemagne deux autorités

intérieure de Rome jusqu’au IIème siècle Av.J-C L’héritage de la Rome royale. A) Une organisation gentilice de la société. B) Impérium et droit d’auspices. C) Les premières assemblées civiques. Le conflit entre patricien et plébéiens. A) La fondation de la République. B) L’instauration d’un droit écrit. C) Les ultimes phases du conflit. Apparition d’un nouveau clivage A) Nobles et hommes nouveaux B) Sénateurs et chevaliers. L’héritage de la Rome royale A) Une organisation

Les sources du droit Le droit a quatre sources traditionnelles : la loi, la coutume, la jurisprudence et la doctrine. Au cours de l'Histoire ces éléments ont eu des proportions et des conceptions différentes dans le droit. I-La Loi Définition : Acte pris pour un pouvoir institutionnel quel qu'il soit. Un acte est un texte écrit qui peut contenir une prescription (commandement) qui a une force obligatoire. La loi implique la sanction. La loi crée

COUR HISTOIRE DU DROIT Quelle est la relation du droit et de l'histoire? Depuis 19e siècle on dit que le droit est le résultat de la volonté d'un législateur mais ce législateur peut être dans un système monarchique en droit, dans une assemblée nationale. En réalité, le droit est le produit des différentes conditions existant dans chaque société, et le droit évolue très longuement. La volonté d'un seul peuple ou d'une seule personne ne peut pas produire un nouveau système juridique de façon durable