Civilisation universelle

que, chaque fois qu’il y a au Viêt-Nam une tête coupée et un œil crevé et qu’en France on accepte, une fille violée et qu’en France on accepte, un Malgache supplicié et qu’en France on accepte, il y a un acquis de la civilisation qui pèse de son poids mort, une régression universelle qui s’opère, une gangrène qui s’installe, un foyer d’infection qui s’étend et qu’au bout de tous ces traités violés, de tous ces mensonges propagés, de toutes ces expéditions punitives tolérées, de tous ces prisonniers

Dans le dictionnaire on définit la culture avec pls sens : - quelqu’un qui a une solide culture c’est quelqu’un qui a l’ens des connaissances acquises qui permettent de dév le jugement, le goût - L’ens des aspects intellectuels propres à une civilisation, à une nation - Si on oppose la culture à la nature, la culture est l’ens des formes acquise des comportements dans les sociétés humaines Ce qui important comprendre c’est que l’homme est un être de culture, il faut parler de processus d’hominisation

valeur. C’est un sens qui fait problème, à cause des préjugés ethnocentriques. (COLLECTIF) 4. Kultur la civilisation, qui renvoi à un progrès universel. Un Homme cultivé n’est pas qu’instruit, il est aussi bien élevé. Il peut défendre des valeurs morales. Il sait qu’il existe des valeurs de civilisation universel (par delà les milieux), sans lesquels tout homme perd son humanité. (UNIVERSEL) 5. Zivilisation : sens péjoratif, il s’oppose à la culture : il y a une prédominance des aspects matériels

Industrielle -Sentiment d’une supériorité technologique de sociétés occidentales qui leur confère une supériorité sur les autres sociétés et cultures. -Sentiment que cette Révolution Industrielle et cette supériorité technologique confère la civilisation occidentale supérieur à toutes les autres. e- Contexte coloniale - Expansion ou conquête de l’occident sur les autres sociétés (Ailleurs et Autres), forts des sentiments évoqués plus hauts. - Mission civilisatrice de l’occident justifiant

« primitif » lui permet de vivre en harmonie avec les hommes et la nature, sans notion de propriété. Ils imaginent ce mode de vie naturel comme la seule voie pour vivre heureux et vertueux et érigent la figure du « bon sauvage » en modèle d'une civilisation authentique encore à l'abri des vices de notre société. Certains auteurs comme Rousseau et Diderot n'hésitent pas à s'interroger sur la nécessité de « civiliser » ces peuples et sur le droit de prendre possession de ces nouveaux territoires, remettant

l’ethnographie au XXe siècle. Nous allons donc observer comment par cet essai, l’ethnologue nous montre la disparition de la multiplicité culturelle, conséquence d’une omnipotence de la civilisation occidentale impériale et facteur de la misère ethnologique. Ici, l’auteur nous offre l’image d’une civilisation occidentale qui se construit aux dépends des autres, , usant d’impérialisme culturel avec par exemple l’expression employée l.11, «c’est notre ordure lancée au visage de l’humanité ». Ici

dire "Nous sommes heureux parce que nous sommes innocents", la juxtaposition correspond en fait à une coordination. Ensuite le vieillard dit: “Nous suivons le pur instinct de la nature"(l.3), ici cet instinct est opposé à la civilisation, c'est un refus de cette civilisation affirmé. A la ligne 5, on trouve "Nos filles et nos femmes nous sont communes" ici il y a un sens du partage, de même, le vieillard ne fait pas la distinction entre le "tien" et le "mien". Cette communauté est un mal et une faute

abstrait s’appuie sur le concept de civilisation. (/ !\ Le colonialisme aussi s’est appuyé sur ce concept.) Rôle inclusif (positif) puisqu’il déclare que ts les hommes (tous les hommes sans exception, sans discrimination ) sont inclus dans le vaste processus de la civilisation humaine, qui marque une unité des hommes et qui permet de parler d’une seule Humanité dans la civilisation. / !\ Critique de Lévi Strauss de cet universalisme abstrait : le concept de civilisation n’est qu’une fiction nourri par

historiques particuliers; il ne saurait donc donner un sens à l'histoire. Si l'on veut découvrir un mouvement d’ensemble dans l'histoire, il faut donc se concentrer sur la totalité de l’histoire de l’espèce humaine tout entière. L’histoire est ainsi universelle. Kant donne un exemple pour montrer que cette méthode est légitime : il compare les mariages, les naissances et les morts, lesquels sont le produit de la volonté libre des hommes, aux variations atmosphériques, qui sont des phénomènes naturels soumis

pulsions, lui permettant alors de vivre en communauté, en se détachant de cet état de nature. La société est apparue nécessaire, car elle constitue un système de solidarité permettant de subvenir aux nécessités de la vie. C'est ainsi que la notion de civilisation apparaît permettant aux hommes de vivre ensembles. Et si être civilisé signifie vivre en société, alors l’homme civilisé va se développer physiquement et moralement, il va se cultiver. . Mais un homme cultivé a-t-il forcément rompu avec la nature