Classification phylogénétique

TP ETABLIR DES RELATIONS DE PARENTE ENTRE ESPECES 4. Du classement à l’arbre phylogénétique : -cliquer sur « établir des parenté ». -cliquer successivement sur les différents êtres vivants du tableau et cliquer sur la fonction enraciner l'arbre. Ensuite réaliser l' hf,tu;jarbre en cliquant successivement sur chaque critère et en vérifiant que les états évolunghjfcvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvv vvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvve classement. -reproduire

Vertébrés partagent donc tous ensemble un ancêtre hypothétique qui possédait déjà les caractères communs à tous les Vertébrés « présence de Vertèbres », « présence de 3 axes de polarité » etc… L’organisation commune à tous les Vertébrés Arbre phylogénétique de 5 Vertébrés 

fondamentale du vivant et que son observation permet d’établir des liens de parenté entre organismes. Se2 : respecter les règles de sécurité (blouse) RT6 : savoir utiliser des banques de données (Logiciel Phylogène) C8 : savoir compléter un arbre phylogénétique Se3 : savoir ranger sa paillasse, nettoyé Observation microscopique tournante d’élodée, de cellules buccales, de paramécies et de bactéries lactiques. Etude de photographies en microscopie électronique. Remplissage d’un tableau comparatif, et

ancestral de ces caractères. En terme évolutif cela signifie que homme, chauve-souris et tortue ont un ancêtre commun qui leur a légué le membre chiridien et l’amnios. Cet ancêtre n’est pas ancêtre du saumon. On peut donc situer la tortue dans l’arbre phylogénétique et situer l’acquisition du membre chiridien et de l’amnios, de façon à rendre compte du fait que l’ancêtre commun à ces trois espèces les possède et n’est pas ancêtre du saumon. - Le Saumon ne possède qu’un des caractères dérivés cités dans le

utiles à la résolution d’un problème scientifique Chauve-souris squelette poils Allaitement des petits Embryon protégé par un amnios Membre tétrapode Saumon Tortue Homme D’après les informations du tableau on obtient cet arbre phylogénétique, avec le saumon qui est arrivé en premier dans le temps car il ne possède qu’un caractère dérivé en commun avec les autres le squelette. Ensuite vient la tortue qui elle possède deux caractères dérivé en commun avec l’homme et la chauve-souris

 celle  des  hydres  d’eau  douce   considérées  auparavant  comme  étant  des  végétaux  à  nature  animale  (zoophytes).   Pour  la  recherche  …     -­‐   La   position   phylogénétique   des   cnidaires   (groupe   frère   des   bilatéria),   est   favorable   pour   discuter   de   l’acquisition   de   types   cellulaires   particuliers   mais   aussi   pour   étudier

I- Homme Chauve-souris Tortue Saumon poils et allaitement doigts et amnios squelette L'arbre phylogénétique est l'une des figures qui traduit les relations de parenté entre un ensemble d'être vivants, actuels ou fossiles. La lecture de l'arbre phylogénétique permet de préciser quelques caractéristiques de l'ancêtre commun, et donc de ses descendants, en fonction des données utilisées . Ces caractéristiques seront celles de ses ancêtres précédents, plus anciens, et la

après époque. Ensuite, la comparaison de l'ADN est une façon très efficace de prouver que tout être vivant a des ressemblances. La phylogénie est une façon de classer dans une imitation d'arbre généalogique, communément appelé arbre phylogénétique . Ce dernier classe les êtres vivants selon leurs ressemblances. Certains sont plus rapprochés alors que d'autres sont plus éloignés. Toutefois, ils finissent tous par se rejoindre, ce qui démontre que tout être vivant a un ancêtre commun.

chez leur ancêtre commun. Ancêtre commun : Organisme hypothétique dont on construit le portrait-robot par l'addition des états dérivés des caractères partagés par l'ensemble de ses descendants. 3) Le principe de construction d'un arbre phylogénétique (en comparant des caractères homologues, en tenant compte de leur état dérivé ou ancestral, en analysant une matrice taxon/caractère ou une matrice de différences) 4) La place de l'Homme moderne - au sein du monde vivant (Eucaryote / Tétrapode

DAGHER TS Pour établir un lien de parente entre les différentes espèces étudiées , on doit comparer les différentes caractéristiques anatomique moléculaire et morphologique entre ces espèces. Dans ce cas on étudie la lignée humaine. L’arbre phylogénétique établi dans cet exercice montre que le singe-araignée(constituent le groupe des platyrrhiniens),le macaque, le gibbon ,orang-outan ,le gorille ,le chimpanzé et l’homme (formant le groupe des catarrhiniens) sont issus d’un même ancêtre commun