Combat Contre Le Fanatisme Religieux

PAYEN SARAH L2 LAH 1 Commentaire composé Pierre Corneille est un célèbre dramaturge du 17 ème siècle. Il rédige Polyeucte en 1643, une œuvre tragique et historique qui se déroule en Arménie. Cette pièce se déroule lors de la persécution entre les chrétiens et les païens au IIIème siècle avant Jésus-Christ. Dans cette œuvre Corneille utilise que des rimes à travers lesquels il dénonce les conséquence de la conversion religieuse de Polyeucte. L'éxtrait que nous allons étudier est la scène

Candide, chapitre3 de Voltaire François-Marie Arouet, dit Voltaire est l’un des philosophes des Lumières le plus célèbre, en raison de son combat contre le fanatisme religieux, pour le progrès, et la tolérance. Il devient un philosophe très populaire également grâce à ses contes philosophiques, dont Candide ou l’optimisme paru en 1759. A travers ce roman d’apprentissage, on retrouve l’esprit critique des Lumières, puisque Voltaire y explique son point de vue

rhétorique et de philosophie chez les jésuites de Louis-Le-Grand. Il se destine rapidement à une carrière littéraire, contre la volonté de son père, qui pensait qu'il ne pourrait pas vivre de ses écrits. Il fréquente même les salons littéraires et la haute société parisienne. Séjours à la Bastille. Accusé à tort d'avoir rédigé des  « pamphlets » ( vers irrévérencieux) contre le régent Philippe III d'Orléans, il est emprisonné à la Bastille en 1717. Il y reste onze mois et met à profit ce temps

française. Il esquisse en effet la figure de l’intellectuel engagé au service de la vérité, de la justice et de la liberté de penser. Symbole des Lumières, chef de file du parti philosophique, son nom reste attaché à son combat contre « l’infâme », nom qu’il donne au fanatisme religieux, et pour le progrès et la tolérance. Il est cependant déiste et son idéal reste celui d’une monarchie modérée et libérale, éclairée par les « philosophes ». Il agit d'ailleurs auprès des élites éclairées de l’Europe des

Voltaire, né le 21 novembre 1964 à Paris où il est mort le 30 mai 1778, est un philosophe et écrivain français. C’est une figure emblématique de la France des Lumières, malgré ses nombreux ouvrages il reste attaché à son combat contre « l’infâme » nom qu’il donne au fanatisme religieux et pour la tolérance et la liberté de penser. C’est pour ses opinions encouragés par le peuple et mettant la monarchie en mauvaise posture, il sera exilé pendant près de vingt-huit ans ; de retour à Paris, il sera ovationné

islamistes et le comédien qui l'incarne, comme la plupart des comédiens de la pièce, est étranger. À l'heure des fanatismes religieux, Mnouchkine conçoit son spectacle comme une œuvre de combat dont elle ne ferait qu'actualiser la cible. Si elle n'évacue pas la dimension comique de la pièce, elle la met cependant au service d'un propos sérieux, celui de la défense de l'amour et de la liberté contre les manœuvres de domination religieuse. Le parallèle avec le phénomène islamiste rencontre cependant une limite

qui signifie « amour de la sagesse ». Au XVIIe siècle Le mot « Lumieres » signifie la foi ou la clarté de l’esprit ; à partir du milieu du XVIIIe siècle il désigne une clarté qui doit se propager dans toute l’humanité pour faire triompher la raison contre la superstition et l’intolérance. Le mot « Lumieres » définit donc Il définit métaphoriquement le mouvement culturel et philosophique qui a dominé, en Europe et particulièrement en France, le XVIIIe siècle auquel il a donné, par extension, son nom

quelqu'un ou quelque chose. Synon. diatribe, factum, libelle, satire.) Contexte historique : Voltaire s’en prend avec une incroyable violence à la Bible et à la doctrine chrétienne. Dans l’article « Guerre », le philosophe poursuit son inlassable combat contre la « boucherie héroïque » dénoncée en 1759 dans Candide. Vocabulaire : 1)Harangueur : Vieilli, souvent péj. Celui, celle qui fait une harangue (avec des intentions considérées comme démagogiques). 2)(étoffe) bigarrée : marquer de couleurs, de

Traité sur la tolérance (1763), Dictionnaire philosophique (1764), conteur : Zadig (1747) ou encore Candide (1759) et poète. Il collabore également à la redaction de l'Encyclopédie. Toute sa vie il défend les opprimés et lutte contre l'intolérance, la torture et le fanatisme religieux.

comme le montre son Essai sur les meurs, où il reconnaît que les jésuites ont souvent protégé les Indiens contre la cruauté des colonisateurs européens. Mais la satire ne se prête pas aux nuances. Dans Candide, la religion encourage la guerre. Les rois abare et bulgare « faisaient chanter des Te Deum, chacun dans son camp», c'est-à-dire des prières remerciant Dieu pour son aide au combat (chap. 3). Au Maroc, les musulmans s'entre-tuent « sans qu'on manquât aux cinq prières par jour ordonnées par