Commentaire Le Cid Monologue De Rodrigue

redoutable – vous êtes des milliers à la posséder- : l’indifférence ! Et vous qui lisez ces lignes, soudain, vous allez peut-être vous découvrir un passé d’assassin ! Peut-être avez-vous supprimé, en un seul refus de lire, deux champions de la passion : Rodrigue et Chimène ! Peut-être avez-vous descendu, dans votre cave ou votre box, à l’ombre, discrètement, la plupart des personnages de Balzac, ceux de Zola, et même le pauvre Toine, de Maupassant ! Et récemment, pensez-vous que votre dernier forfait soit

trouve des citations approximatives du ‘’Cid’’ de Corneille (mais Ducharme n’allait-il pas le maltraiter délibérément dans sa pièce ‘’Le Cid maghané’’?) : le vers «La valeur n’attend point le nombre des années» lui inspira : «les couteaux et les fourchettes n’attendent pas le nombre des années» (pages 95-96) et «la valeur n’attend pas le nombre des années», citation qui est attribuée à Rabelais par le pédant ridicule qu’est Blasey Blasey (page 283) - «Rodrigue as-tu du cœur?» lui inspira : «Bérénice

choisir l’une ou l’autre image mais, pour défendre son opinion, il doit se fonder sur des éléments précis comme la position et l’attitude des personnages, le décor, la lumière. On peut demander aux élèves de présenter leur opinion sous la forme d’un commentaire structuré avec une introduction, un développement argumenté et une conclusion afin de les familiariser à l’exercice. Ce travail doit donc se faire en plusieurs temps, au brouillon tout d’abord afin de vérifier que les élèves respectent le plan,

Montaigne et l’ironie de l’emploi du mot « cannibale » renforce son jugement qui a pu paraître en son temps bien paradoxal mais montre de quel côté se trouve la civilisation. Synthèse De toutes les façons possibles, à travers le récit, dans ses commentaires, en mettant en scène ce dialogue entre les Espagnols et les Indiens, en donnant à ces derniers le dernier mot, en leur prêtant le discours le plus raisonnable, Montaigne dénonce la soif de l’or moteur de la conquête, il démonte le portrait caricaturé

le maniement des documents, on développe l’usage de dictionnaires, d’usuels et d’ouvrages de référence. On leur apprend à consulter les banques de données, informatiques et télématiques. Dans l’étude de la presse, on distingue l’information du commentaire, on fait percevoir comment les informations ont été sélectionnées et on dégage les spé10 Le programme officiel cificités du discours journalistique, en comparant par exemple le traitement d’un même sujet dans plusieurs journaux (écrits ou audiovisuels)

lui-même et les confie aux autres, ce qui se marque par l’utilisation fréquente de la première personne. Celui qui parle (« je ») parle de lui et se prend pour objet d’étude sous la forme du « moi ». Ce phénomène est particulièrement net au théâtre (le monologue permet l’auto-analyse et l’expression des sentiments personnels) et en poésie. Les sentiments et les états d’âme : * L’incertitude * L’ennui, le chagrin, la tristesse - ces sentiments sont constants. De fait, la tristesse imprègne la

Madame De La Fayette) : elle témoigne des valeurs héroïques qui traversent le XVII ème . On note chez elle une intolérance à l’égard de toute laideur morale telle que l’infidélité conjugale. Ce personnage incarne la vertu et la lucidité. • Rodrigue (« Le Cid » de Corneille) : il a sacrifié son amour en choisissant de se battre afin de venger son père. 6- Les antihéros (personnages négatifs) : Un héros négatif incarnant plusieurs défauts comme le cynisme, l’hypocrisie, l’indifférence, la lâcheté…

remonte aux XVIe et XVIIe siècles. Des noms s’imposent : Robert Estienne (1503-1559), imprimeur du Roi, fait paraître en 1539 un dictionnaire bilingue, mettant en regard l’une de l’autre, la langue française et la langue latine, avec quelques commentaires en français. En 1606 paraît le premier dictionnaire français, mais toujours latinisant, digne de ce nom, le Trésor de Nicot. Antoine Furetière (1619-1688) avec son Dictionnaire universel contenant tous les mots français de son époque et de la

» espagnol typique se soient affirmés chez les classes nobles du Portugal avec une vigueur moins spontanée ? Certes, ce n’est pas sans raison que les Portugais n’ont jamais produit, pendant le moyen âge, rien qui ressemble à l’épopée castillane du Cid. Le langage épique ne fleurit que tardivement chez eux, dans une phase d’abaissement national — la seconde moitié du XVIe siècle — et fleurit, avec Camoëns, sous l’influence directe des modèles classiques, comme une rétrospective de gloires déjà assoupies