Compromis des Nobles

des grandes villes et des grands nobles. Ce qui entraîne la fin de l’équilibre du régime politique qui était d’un côté les Etats Provinciaux et les Etats généraux, face à l’autorité du gouverneur et des conseillers du gouvernement central. Les nobles se liguent alors contre l’évêque Granvelle qui apparaît comme le premier ministre et chef de l’Eglise, de plus en plus convaincu de l’absolutisme, de la centralisation et de la répression sévère de l’hérésie. Les nobles obtiennent alors son renvoi en

raisons : n La haute noblesse siégeant au Conseil d’Etat relève que l’affaire la plus importante décidée aux Pays-Bas depuis bien longtemps est réglée dans ses moindres détails et depuis plusieurs années sans aucune intervention de leur part. En outre ces nobles ont dû éprouver que l’exigence d’un diplôme universitaire pour être nommé évêque ou chanoine servait selon eux plus à exclure leurs proches qu’à assainir une Eglise malade. Ils ressentent une réelle reprise en main de Philippe II : n La nomination

sociales internes. Quelle est la place que la société assigne à l’ethnologue ? Négociation de sa présence sur le terrain, de sa place, en fonction des catégories d'acteurs. Par exemple : l'ethnologue blanc et lettré est assimilé au « groupe des nobles », il aura des difficultés d'accès aux groupes subordonnés. Comment présenter le sujet sur le terrain ? Privilégier des questions historiques. Autorisation ou non de l’administration ? Les groupes subordonnés ont tendance a reproduire le discours

imposé par les puissances étrangères. Heureusement pour la France, Louis XVIII est un homme de compromis, qui ne souhaite pas revenir en arrière et rétablir la monarchie absolue : il désir par-dessus tout remettre de l’ordre en respectant les principes monarchiques et révolutionnaires, il faut donc seulement trouver un équilibre. I- LES FONDEMENTS DE LA RESTAURATION A) Louis XVIII, un homme de compromis A l’époque de la restauration, l’espérance de vie des français était d’environ 45 ans. C’est

maître tailleur flatte M. Jourdain pour obtenir ce qu’il veut de lui ; il lui dit que les « gens de qualité » (les nobles) portent des habits comme le sien. III, 1 : scène de transition permettant d’introduire un nouveau personnage : Nicole III, 2 : Nicole se moque de son maître. C’est un personnage sympathique, qui a de la personnalité car elle ose lui reprocher de fréquenter des nobles. III, 3 : Quels reproches Mme Jourdain adresse t-elle à son mari ? Elle lui reproche de prêter trop d’argent à un

Noblesse réduit à l’obéissance : brise des révolutions (Grands) * Lutte contre les protestants * Il nomme des intendants qui représentent l’autorité royale dans les provinces de France * Minorité de Louis XIV et Mazarin * Fronde → révolte des nobles Règne Louis XIV (1661-1715) * Apogée de l’absolutisme * Personnalité * État de guerre permanent * Traumatisme de la Fronde * Sa structure politique est assez mineure → consul + ministre, mais lui seul prend les décisions

Les Ultras « Vive le roi, quand même... » : ceci est la devise des ultraroyalistes, défenseurs intransigeants d'un retour à l'Ancien Régime lors de la Restauration. En effet, ceux-ci refusent la charte constitutionnelle de Louis XVIII, symbole du compromis recherché par le Roi. C'est un mouvement contre-révolutionnaire, dont la doctrine se nomme l'ultracisme et qui prône le retour à la tradition. En tant que partisan d'un retour à un passé idéalisé, les Ultras sont considérés comme réactionnaire. Mais

Histoire La révolution française et 'époque de Napoléon Les causes de la révolution A. Les origines financières et économiques Le déficit budgétaire (privilèges des nobles et du clergé qui ne paient pratiquement pas d'impôts ; guerre d'Amérique) - Une révolution est un changement de politique/mentalité , un soulèvement du peuple -définition : bouleversement des structures politiques, économiques et sociales budget = recettes et dépenses de l'année à venir Si dépenses >

terribles par la nécessité de juguler une « contre-révolution » toujours renaissante et toujours plus dangereuse, voire féroce. Le rejet de la Révolution n'a pas été moins fort de la part de nombreux Français « émigrés » de l'intérieur ou de l'étranger : nobles et membres du clergé, mais aussi toute une partie de la population qui a pris peur ou s'est sentie persécutée. Certains ont lutté ouvertement contre la Révolution, dans les « armées des princes » et dans les journaux ; d'autres plus discrètement,

qui semble être inspiré de la tragédie de Sophocle, Oedipe roi. Dans cette œuvre, ou plus spécifiquement à l’acte 3, l’on découvre la tyrannie du personnage : Père Ubu, un être égocentrique a caractère grossier et qui ne semble jamais disposé au compromis. À l’acte 3, le Père Ubu a maintenant pris le trône de Venceslas en l’assassinant. La première scène débute au palais, lorsque, le Père Ubu après avoir trop mangé, se plaint de son mal de ventre à la Mère Ubu. Celle-ci lui répond en lui rappelons