Consequentialisme

de bonne ? La morale utilitariste se donne comme critère du bien moral le bonheur ou le bien-être. L’utilitarisme est un conséquentialisme . Ce sont les conséquences heureuses d’une action, pour l’agent moral et pour les autres, qui déterminent sa valeur morale . Pour répondre à la question « Que dois-je faire ? (dire la vérité ou mentir) »,

téléologique du bonheur car pour lui « le bonheur est ce qui caractérise le bien être parfait et le fait qu’il doit toujours être possédé pour soi et non pour une autre raison ». Elle donna notamment naissance à l’utilitarisme chez les anglo-saxons. Conséquentialisme [modifier] Dans nos actions, nous prenons souvent en compte les conséquences de nos actes. Ces conséquences peuvent donc être considérées comme des critères possibles de notre comportement, ce qui fait de ce type de morale, un type normatif

valeur au fait d’avoir différents types de préférences »[43] . A partir de ce méta-classement, Sen remet en cause la mesure du bien-être par la seule mesure des préférences. Il s’oppose ainsi a l’utilitarisme qui pose comme principe premier le conséquentialisme, à savoir que toutes les actions sont jugées à l’aune de leurs conséquences et si celles-ci sont « bonnes », l’action sera considérée comme augmentant l’utilité de celui ou celle qui l’accomplit, et inversement. Dans cette approche, le bien-être

compréhension : « comprendre le comportement de l’acteur c’est reconstruire le sens qu’il a pour lui » - P3 postulat de la rationalité : « L’individu adopte un comportement parce qu’il a des raisons de le faire » - P4 postulat du conséquentialisme : « Le sens de l’action de l’individu réside toujours dans ses conséquences » - P5 postulat de l’égoïsme : « Parmi les conséquences de son action intéressent l’individu seules celles qui le concernent personnellement » -

principe sur lequel est basé ce courant de pensée est qu’agir moralement signifie agir pour maximiser l’utilité du plus grand nombre. Une action est donc morale uniquement quand l’utilité du plus grand nombre est augmentée. C’est donc une forme de conséquentialisme puisque une action est jugée exclusivement par rapport à ses conséquences. Cette morale est donc opposée aux morales déontologistes. Comme toute entreprise, Apple suit une morale utilitariste. En effet, le but recherché est de maximiser l’utilité

précise que la moralité ne doit pas simplement se fonder sur un sentiment vague non commune a toute les personnes mais elle doit être soumise à la raison (hédoniste) et au calcul. La raison et le calcul c’est en quelque mot la théorie du conséquentialisme signifiant que la moralité de nos actions dépende des conséquences produites C’est la première fois que l’on peut lire le mot calcul pour rationnaliser la philosophie de l’utilitarisme Cette utilisation marque l’histoire de la pensée économique

qu'il nous fasse. PB : ne faut-il pas plutôt évaluer les conséquences de nos actes pour déterminer leur moralité étant donné que l'intention est insondable et en plus que cette loi morale nous met face à des conflits insurmontables. 3) Le conséquentialisme c'est toujours une morale fondée sur la raison. Mais il y a un calcul : principe : le moins de mal possible - le plus de bien possible. Selon quels critères ? Aspect quantitatif ? Mais chacun a la même valeur en tant que personne. Est-on

kantienne du bonheur. En décalage par rapport aux autres conceptions modernes du bonheur, ne constitue-t-elle pas finalement, par sa disposition critique, le moment indispensable d’une réflexion morale moderne, qui nous libèrerait du douteux conséquentialisme téléologique ? A supposer que son exhortation à distinguer clairement bonheur et vertu ne soit pas un simple vœu pieux irréalisable, Kant peut sembler proposer une alternative aux pratiques « aliénantes » du bonheur (qu’il s’agisse de l’eudémonisme

 Childress(8) et aujourd’hui universellement acceptés (principe d’autonomie, principe de bienfaisance, principe de non-malfaisance, principe de justice) sont plutôt de type conséquentialiste. Alors que le principialisme est universaliste, le conséquentialisme est particulariste et cultive volontiers la casuistique. Ces clivages se retrouvent entre une conception individualiste/démocratique du juste et une conception collectiviste/républicaine du bien. D’un côté, la loi s’efforce de satisfaire le plus

économique depuis Adam Smith jusqu’à Jeremy Bentham le protagoniste fondamental de l’approche utilitaire qui s’aligne avec le welfarisme ou ce qu’on peut appeler l’économie du bien être. Les principes de l’utilitarisme sont au nombre de trois :1- consequentialisme : l’important dans une approche utilitariste est d’arriver aux résultats, ces derniers sont l’objectif et la finalité, d’après cette théorie, de l’économie. Les conséquences prévalent les moyens et les instruments et ils sont des résultats globaux