Coup De Foudre

pas tout à fait indifférente. Hyperboles+litotes. Pb : de quelle façon cette scène dépeint-elle les étapes du coup de foudre et quelle image présente-elle des héros ? I) L’art du récit : la rencontre : 1)Le cadre 2)Les héros 3)Les personnages royaux et leur rôle d’adjuvant II) La naissance de l’amour : 1)Le champ lexical du regard 2) Les étapes du coup de foudre III) La société et le rôle des bienséances : 1)Le rôle de l’opinion La galanterie et les liaisons sont

d’un statut de héros romantique à celui du statut du héros stendhalien ? Tous d’abord nous allons étudier le paysage qui est ici refléter, puis nous vairons la relation qu’il existe entre Lucien et l’armée et pour finire nous commenterons son coup de foudre . Dans un premier temps nous allons nous attacher à l’ importance du paysage de Nancy et à l‘ état d‘ âme de notre héros en vers cette ville. Tout d’ abord on constate une forte présence de paysage de Nancy. Elle est décrit par l’ auteur

Puis, au vers 3, il utilise un groupe de mots qui a plus d’un sens : « Une femme passa ». Cette dernière tournure montre bien l’identité inconnue de cette femme avec ce déterminant indéterminée « une » et la rapidité de cette rencontre ; tel un coup de foudre, que l’on verra prochainement ; qu’il veut prolonger dans le temps en utilisant le passé-simple « passa ». A priori, cette femme à vraisemblablement tout d’une passante : inconnue, mystérieuse et rapide. Ensuite, Baudelaire réalise un changement

d'un degré" (vers 1) : la scène se passe en haut d'un escalier ("degré" dans le poème) - La rencontre a lieu au vers 2 et passe par le regard : "avisas" "vue" "yeux" (vers 3)... - regard et "éblouis" -> coup de foudre, souligné au vers 4 avec "en sursaut" = surprise/rapidité et par "éclat de foudre" au vers 6. - "l'âme émue" (vers 3) -> La réaction du poète à la rencontre est très forte puisque c'est son âme qui est émue -> pureté des sentiments du poète C- Une manifestations physique et morale

privative n'en paraît du coup que plus forte tant elle est brutale. Deux vers suffisent à montrer la mort brutale du chevreuil, victime d'un « trait meurtrier » (vers 11) : la synérèse sur « meurtrier » permet de faire ressortir le rythme du décasyllabe en 4//6. La violence cruelle de cette mort est ensuite soulignée par l'image du sang et la redondance discrète induite par la reprise « empourprée de son sang » (vers 11). II- La théâtralisation et mise en scène du coup de foudre amoureux a. Comparaison

un ami , un ami d'un ami, une connaissance lorsque l'on apprend à connaitre la personne petit à petit mais on peut tomber amoureux suite à un coup de foudre, sans s'y attendre, sans avoir la moindre connaissance de l'autre, sans pouvoir y faire quoi que ce soit. Il est certainement plus simple de savoir que l'on aime quelqu'un pour qui on a le coup de foudre et de se l'avouer que pour quelqu'un que nous connaissons depuis longtemps car il est difficile de passer d'amitié à amour . L'expression "tomber

de Clèves , 1678, madame de La Fayette→ Connaissances ? Tragédie genre à l’honneur au XVIIe, classicisme, héros vertueux. · Thèmes ? première rencontre, topos de la rencontre amoureuse, coup de foudre. · Type de texte ? Narratif → Narrateur externe ; point de vue interne celui de la Princesse lignes 8à10, point de vue de Nemours lignes 15 à 17, par ailleurs : point de vue omniscient ; →cadre spatio-temporel :

des attitudes d'enfant : il pleure (1.6), il essuie ses larmes (1.28), il rosit (1.34). Les deux personnages semblent attirés l'un par l'autre, un grand lien est né entre eux : l’amour. Tout contribue donc, dans cet extrait, à la naissance du coup de foudre. En effet, grâce à l’omniscience du narrateur dans cette scène, on peut ressentir l’émotion croissante entre Mme de Rénal et Julien. Par exemple, Julien est d'abord « frappé» (1.21), puis « étonné » (1.23) par la beauté de la femme. Il y a une

Claude de France. Les deux personnages principaux ne se connaissent pas mais pourtant cette rencontre est placée sous le signe de la reconnaissance. Elle se déroule au milieu de la cour, lieu de toutes les intrigues. I- La mise en scène d'un coup de foudre amoureux Premièrement, la narratrice invite le lecteur à partager les sentiments de la princesse, les préparatifs, l'envie de si rendre. L'arrivée du Duc de Nemmour est décalée ce qui permet de raconter cette arrivée à travers les yeux de la

Oenone manifeste un dévouement aveugle ; - Phèdre est la victime d'une fatalité dont on peut se demander si elle est extérieure (les dieux : proie de Vénus ; l'hérédité : fille de Minos) ou intérieure (le tempérament). Atteinte par un véritable coup de foudre, follement éprise d'Hippolyte, elle a osé dire «J’aime» et elle en meurt, même si elle n’a commis aucun crime, même si elle n’est coupable qu’en pensée : il n’y a de faute que dans son aveu, mais ce qui fait la tragédie, c’est que le désir est