Coup de tête

opérations, il était plutôt grand, maigre, et était orphelin . C'était déjà un gars rongé par la guerre, il l'avait faite durant presque un an avant de décider de quitter l'armée, dégouté par les « collabos ». Jacques n'était pas le genre de gars à foncer tête baissée, il n'était pas très intelligent mais sentait bien les choses, on avait d'ailleurs un peu tendance à se reposer sur lui dans les moments difficiles . Nous étions tous fin prêts pour notre attaque -bien qu'ayant oublié le réveil ce matin- j'étais

République tchèque aux tirs aux buts). Deux ans plus tard, il participe à la Coupe du monde (la première de la France depuis 1986) organisée en France en 1998. Le premier match a lieu au stade Vélodrome à Marseille (ville natale) contre l'Afrique du Sud, coup d'envoi du parcours de l'équipe de France. Après cette première victoire (3-0), la France remporte son second match contre l'Arabie saoudite (4-0) mais Zidane est expulsé pour mauvais geste contre un adversaire. Suspendu deux matchs, il ne peut jouer

Alice entre alors dans la maison du Lapin, boit une seconde bouteille et se remet à grandir. Alice, coincée dans la maison, entend ensuite le Lapin envoyer l’un des ses domestiques, Bill, dans la cheminée : lorsqu’il est dedans, Alice lui donne un coup de pied qui le fait sortir de la cheminée et voler dans les airs. Les autres lui jettent ensuite des cailloux qui se transforment en gâteaux. Alice en mange un et rétrécit : elle s’enfuit, rencontre un petit chiot puis plus tard un ver à soie fumant

des civilisations orientales. Le passage étudié se situe presque à la fin du conte. L’extrait nous présente la danse d’une jeune fille, qui n’est autre que Salomé, la belle-fille d’Hérode. Danse au terme de laquelle on sait qu’elle réclamera la tête de Jean-Baptiste. Nous nous demanderons comment ici le réalisme de la description contribue paradoxalement au mythe. Nous étudierons trois axes. Dans un premier temps nous verrons que le lecteur assiste à une véritable dramatisation de la danse, puis

était un peu pâlot, très propre, avec l'air timide, presque gauche. Il s'en retournait chez sa mère quand les groupes de ses camarades, chuchotant toujours et le regardant avec 15 les yeux malins et cruels des enfants qui méditent un mauvais coup, l'entourèrent peu à peu et finirent par l'enfermer tout à fait. Il restait là, planté au milieu d'eux, surpris et embarrassé, sans comprendre ce qu'on allait lui faire. Mais le gars qui avait apporté la nouvelle, enorgueilli du succès obtenu déjà

empêche « sa taille mince, peu propre aux travaux de force » lignes 10 et 11. Il a donc pour consigne de surveiller les machines manipulées minutieusement par les aînés « occupés à suivre exactement la marque noire tracée sur la pièce de bois, chaque coup de leur hache en séparé des copeaux énorme »lignes 4 et 5. Une fois de plus, l’auteur se sert de l’handicap physique de Julien pour l’exclure de l’entreprise familiale. b. Les différents points d’intérêts des personnages : Alors que ses frères

n’étaient plus là. Je cherchais, je tournais autour de moi pour les voir, mais rien. Je pensais devenir fou et commençais à avoir la tête qui tourne. Je m’assis. Je respirais à grands coups mais je n’arrivais pas à reprendre ma respiration, je suffoquais et tremblais terriblement. Quelques minutes passèrent et ma respiration redevenait à peu près normale. Lorsque tout à coup, une force incroyablement puissante me fit sauter sur place. C’était comme si quelque chose tapait sous ma barque. Je me penchais

les aggraver. 4) A) Vérifier l’état de conscience : Parler à la victime et la stimuler par des ordres ou par du bruit B) Libérer les voies respiratoires : Desserer les vêtements, Inspecter la bouche (enlever les corps étrangers en tournant la tete de la victime en la maintenant). C) Vérifier si la victime respire : mettre son oreille près de sa bouche et regarder son ventre. Voir, entendre, sentir. D) Contrôler le pouls carotidien : Reperer la pomme d’Adam avec les doigts, Glisser les doigts

d’aller défier cette monstrueuse créature.Là, se tenait un monstre encore plus effrayant que ce qu’il avait imaginé : un géant à la tête de taureau, dont les bras et les jambes possédaient des muscles noueux comme des troncs de chêne. En voyant entrer Thésée, il meugla un effroyable cri de satisfaction gourmande. Sous ses naseaux, sa gueule ouverte bavait. Il baissa sa tête bovine et poilue, pointant ainsi des cornes acérées vers sa proie. Puis il s’élança vers sa future victime en rabotant le sable

les avait payés pour. Alors fais gaffe et joue les drogués, me conseilla une petite voix intérieure qui, malgré sa sagesse, n'était pas ce qu'il y avait de meilleur en moi. C'est ce que je fis. Dix minutes plus tard, une infirmière passa la tête par l'entrebâillement de la porte. J'étais évidemment en train de ronfler avec application. Elle s'en alla. Pendant ce temps, j'avais commencé à reconstituer ce qui était arrivé. Je me souvenais vaguement d'avoir eu un accident. La suite