Coup de tête

d’été je m’allongeais sur le sable blanc encore chaud, ouvrais un livre, et écoutais l’album de Chet Faker en boucle. A travers la musique j’entendais le bruit des vagues s’écraser lentement sur le sable, prés de mes pieds. Je me réveillais d’un seul coup, un brouhaha m’entourait, c’était insupportable. Nuit d’été, un tsunami a dévasté Hawaii. Il ne reste que très peu de personnes sur l’île (s’il en reste au moins). Toutes les autres ont été englouties par l’immense vague qui l’a submergeait. Beaucoup

congées, il décide d'enmener ses filles en Vacances, en corse. E.P : Les filles vont se baigner à la plage Péripéties : L'une d'entres-elles voient une méduse elle panique et s'appuie sur l'autre car elle a peur. Entraîné par les vagues et sous le coup de la panique, elles manquent de se noyer. E.R : Le père va les chercher et les ramène au bord de l'eau mais se fait emporter par les vagues et se noie. S.F : Les filles sont saines et sauves. Le père s'est noyé Chûte : J'ai mis les filles se sentent

malheureux les gens comme sa... Bref, du coup je vais être toute seule demain. Tant pis, vaut mieux être seule que mal accompagné comme on dit... Lundi 12 Décembre. 8h10. Ce que j'aime commencer à 10h30! Je suis actuellement entrain de me prélasser dans mon lit à contempler les posters au dessus de ma tête en écoutant Little Things. ... EH MAIS...! TAKE ME HOME SORT AUJOURD'HUI ! Je fis un bond et sortis de mon lit. Je me mis à danser en pyjama avec une tête de déterrer en chantant Live Will We're

voilà le bivouac en déroute, et tous ces petits derrières blancs qui détalent, la queue en l’air, dans le fourré. J’espère bien qu’ils reviendront. Quelqu’un de très étonné aussi, en me voyant, c’est le locataire du premier, un vieux hibou sinistre, à tête de penseur, qui habite le moulin 8 depuis plus de vingt ans. Je l’ai trouvé dans la chambre du haut, immobile et droit sur l’arbre de couche, au milieu des plâtras, des tuiles tombées. Il m’a regardé un moment avec son œil rond ; puis, tout effaré

dans sa tête. Il faut agir et vite! Si Madame Marie s'en aperçoit elle ne s'en remettra certainement pas ! Le fidèle serviteur prit le pistolet de Marie qui se trouvait dans le tiroir de son bureau et décida de passer a l'acte; il se munit de gants. Seul deux balles silencieuses suffirent à tuer le mari pour le punir de sa tromperie. Sans même réveillée Penelope qui dormait d'un sommeil profond, exténuée par sa nuit torride. Aaaaaah! crie la maitresse, elle prit ses jambes à son coup après

Loup-garou, offrent les caractères de crédibilité de certaines œuvres de Philippe Hébert : on ne peut concevoir la chasse-galerie ou le loup-garou sans que surgissent à la mémoire les crayonnages spirituels d’Henri Julien... » Gérard Morisset, Coup d’œil sur les arts en Nouvelle-France, Québec, 1941. 4Honoré Beaugrand : sa vie Tour à tour capitaine, batelier, journaliste, maire de Montréal, Honoré Beaugrand a publié un roman, Jeanne la fileuse, en 1878, des récits de voyage et un recueil

demanda James. Son camarade porta la main droite à hauteur de son visage. Malgré la pénombre, on pouvait voir le sang couler le long de son avant-bras. — Comment tu t’es fait ça ? Le garçon haussa les épaules. — Je ne sais pas. Sur le coup, je n’ai rien senti. — Laisse-moi faire. James dévissa le bouchon de sa gourde et nettoya le sang sous un mince filet d’eau. Il sortit de son sac sa trousse de premiers soins, coinça sa lampe de poche entre ses dents et examina la blessure

ultra riche, il a besoin d’une protection 24 heures sur 24, sept jours sur sept. Ça t’intéresse ? — Bien entendu. Mais la mariée paraît trop belle, où est le problème ? Welch se met à rire. — Taylor, tu ne changeras jamais. — Non monsieur, j’ai la tête aussi dure que le Mont Rushmore 2. — Et tu parles aussi peu. D’accord, je ne sais pas s’il y a un problème. J’ai creusé le dossier de ce type et je n’ai rien trouvé d’autre que quelques soucis d’alcool et de violence quand il était adolescent. Il a

Première Partie : Descente Dans Les Ténèbres 1 Charivari — Tu plaisantes ! dit le videur en croisant les bras sur son torse massif. Il baissa les yeux vers le garçon au sweat-shirt rouge et secoua sa tête rasée : — Tu ne vas pas entrer avec ce machin. La cinquantaine d’adolescents qui patientaient en file indienne devant le Charivari tendirent l’oreille. L’attente était longue avant d’entrer dans le club, surtout le dimanche, et, en général, il ne se passait pas grand-chose dans la file

quoique jeune encore, quelques cheveux gris perdus dans les touffes noires, l’œil doux et fort puissamment enfoncé sous une arcade sourcilière bien modelée, les narines ouvertes, le menton –4– avancé, la lèvre dédaigneuse. C’était une belle tête. On va voir ce que la société en a fait. Il avait la parole rare, le geste peu fréquent, quelque chose d’impérieux dans toute sa personne et qui se faisait obéir, l’air pensif, sérieux plutôt que souffrant. Il avait pourtant bien souffert. Dans