Courtisan

sont les courtisans qui sont visés respectivement par La Fontaine et La Bruyère : ils sont désignés par les termes « Messieurs les Courtisans » (v.16), « la cour » (v.17), mais aussi par les impersonnels « chacun » et « on » dans la fable « Les obsèques de la lionne », et par les phrases « Ils ne sont pas les Satellites1 de Jupiter, je veux dire ceux qui pressent et qui entourent le prince, mais ils l’annoncent et le précèdent », et « ils se lancent impétueusement dans la foule des courtisans » dans

recueil (1678) des Fables. Dans son avertissement, La Fontaine annonce qu’il a donné un air et un tour plus critique. Il aborde la question du roi (le Lion apparaît comme le centre). Il s’intéresse dans cette Fable au rapport entre le roi et les courtisans. Il y ajoute un discours ironique. → En quoi cette fable est-elle une satire ?→ Comment la critique sociale et politique s’énonce à travers un récit satirique ?Elle comprend 55 vers en alexandrins et en octosyllabes.→ v1 à 15 : octosyllabes (introduction

inspiré par la vraie histoire d’amour entre l’auteur et la courtisane Marie Duplessis (dont le vrai nom est Alphonsine Duplessis). En 1852, Alexandre Dumas fils a adapté lui-même ce roman en théâtre et cette pièce a connu aussi beaucoup de succès. Plus tard, ce roman inspire de nombreuses d’autres adaptations théâtrales comme cinématographiques. 2. Structure: La Dame aux Camélias a pour thème une histoire d’amour entre une courtisane, Marguerite Gautier, et une jeune bourgeois, Armand

politique : Quand les rois et les courtisans abusent de leur pouvoir Les monarques abusent souvent de leur position, Voltaire dénonce la bassesse et la corruption des courtisans. Dans Micromégas, la cour royale de la planète Sirius n’est que « tracasseries et petitesse ». Dans Zadig, les trésoriers volent l’Etat. Les courtisans ont peur de ne plus être reconnues au près du prince, ils ne disent donc jamais rien qui pourrais nuire à celui-ci « je n’ai jamais vu qu’un courtisan ait parlé avantageusement

1 o F *-4 ' >; , >= Y ! 'M 1 % ' 0 F J N 0 0 F 0 ' & % 0 0 (' F 6 ' H F FI 8 0 A , >> ' # & # H , F' 3 ' , 6 >,@ - '&# & & = / # 3 ;3 " 4 # & (4 # 1 3 , N D 3 F, N 0' ' , F F F 6 4 0 0 % ( 4 II) Un courtisan type : l’image d’une cour médiocre. 8 $ , 6G o " 0 o o F o o F ' ' 4 6 & 0 6 0 # &4 F % &# # F 6 , # & 3 F 3C # ( & H ≠ ≠ 4 0 ' 5 H C , 0 N ' # ' ≠ 0 , F ' ' J F >A F Conclusion % ( 4 , F F , ' $ Introduction

lion est donc tourné en ridicule. ~ Le lion : Personnage emblématique qui représente le roi et la puissance. Il est peu caractérisé en tant qu’animal, puisque le champ lexical est peu présent. « rugir en leur patois » est même utilisé par les courtisans qui ne font qu’imité le roi, ce qui est dépréciatif pour eux.
« nos sacrés ongles » plutôt que nos sacrées griffes.
« femme du lion » plutôt que « femelle »
Ceci est du champ lexical de l’humain, ce qui illustre la personnification du lion. ~ Le

mais l'auteur d'un tel récit n'écrit pas que pour l'amusement de son lecteur. • La Fontaine => moraliste : critique, dans ses fables, le monde de la cour, l'assujettissement, la bassesse des courtisans, la flatterie. Dans « Les Obsèques de la lionne », une des moralités dénonce l'hypocrisie des courtisans mais surtout la vanité et la naïveté des rois : • Dans Candide, Voltaire dénonce de nombreux travers de la société : l'esclavage, l'Inquisition... ∆) Force de l'apologue : pique la

ami et poète Rémi Belleau, que l’on voit également cité dans les sonnets 71, 135 et 156. Du Bellay lui donne des conseils sur la manière de se comporter à la cour, la posture qu’il faut emprunter pour être un bon courtisan. En quoi le sonnet est une satire de la cour de France et du courtisan ? Pour répondre à cette question, nous verrons de plus près les recommandations de Du Bellay à son ami, mêlé de la vision que porte le poète sur la vie de cour à travers l’ironie évidente que l’on trouve dans le

narration pour le récit ( pour présenter l’action) ; puis le présent d’actualité pour le dialogue ( en temps réel) et la morale ( à vocation universelle). Chacun tient un discours particulier et propre à son rôle : Le Renard, quasi allégorie du courtisan, aperçoit donc «Maitre Corbeau», haut perché en possession d’un bien qu’il convoite. On s’intéresse à l’évolution significative des noms qui désigne le Corbeau : (1)- Maitre -> renvoi au notable, bourgeois, c’est la situation de base du corbeau que

la bruyère et quels sont les arguments utilisés? Pour répondre à cette question nous étudierons d'abord la fable de la Fontaine puis nous procèderons à l'analyse du texte de la Bruyère. Dans son texte, la Fontaine vise le roi et ses courtisans. Pour cela, il utilise de nombreux arguments. En premier lieu, il dénonce les relations sournoises et la place de la flatterie. C'est un flatteur qui accuse le cerf ("un flatteur l'alla dire" v.28) et c'est en flattant que l'animal