Cymbale

m'atteignait au front. Au même instant, la sueur amassée dans mes sourcils a coulé d'un coup sur les paupières et les a recouvertes d'un voile tiède et épais. Mes yeux étaient aveuglés derrière ce rideau de larmes et de sel. Je ne sentais plus que les cymbales du soleil sur mon front et, indistinctement, la glaive éclatant jailli du couteau toujours en face de moi. Cette épée brûlante rongeait mes cils et fouillait mes yeux douloureux. C'est alors que tout a vacillé. La mer a charrié un souffle épais et

le fruit du tuba, de cet arbre si grand Qu’un cheval au galop met toujours en courant Cent ans à sortir de son ombre ? Veux-tu, pour me sourire, un bel oiseau des bois, Qui chante avec un chant plus doux que le hautbois Plus éclatant que les cymbales ? Que veux-tu ? fleur, beau fruit ou l’oiseau merveilleux ? - Ami, dit l’enfant grec, dit l’enfant aux yeux bleus, Je veux de la poudre et des balles. [8 - 10] juin 1828

en courant, Cent ans à sortir de son ombre ? 30 Veux-tu, pour me sourire, un bel oiseau des bois, Qui chante avec un chant plus doux que le hautbois, Plus éclatant que les cymbales ? Que veux-tu ? fleur, beau fruit, ou l'oiseau merveilleux ? — Ami, dit l'enfant grec, dit l'enfant aux yeux bleus, 35 Je veux de la poudre et des balles. Du 8 au 10 juillet 1828, Victor Hugo

d’hier ou à peine éteintes ; Tends l’oreille, et tu en saisiras l’écho. Voix rauques de ceux-là qui ne savent plus parler, Voix qui parlent mais ne savent plus dire, Voix qui croient dire, Voix qui disent et ne se font pas entendre : Chœurs et cymbales pour faire passer en contrebande Le sens dans un message qui n’a pas de sens, Pur chuchotement pour laisser croire Que le silence n’est pas le silence. A vous parle, compaings de galle : C’est à vous, compagnons de noce que je parle, Vous,

d’abord, nous pouvons constater que cette scène a tout d’une scène de tragédie dramatique. En effet, le soleil, sa chaleur et sa lumière sont omniprésents dans cet extrait : « toute une plage vibrante de soleil », « La brûlure du soleil », « les cymbales du soleil ». Or le soleil, répété huit fois dans le texte, a dans de nombreux genres et notamment dans le théâtre, une portée tragique qui est comme une annonce de ce qui va s’ensuivre. Sa chaleur étouffante et sa lumière éclatante ont une connotation

obligé de promettre à ce dernier des merveilles de la nature que l’on trouve dans les pays voisins de la péninsule arabique, comme le lys ou le tuba, ou encore « un bel oiseau » qui conjuguerait à lui seul la douceur du hautbois et l’énergie des cymbales. Cette nostalgie et cette beauté entraînent l’auteur à espérer un renouveau de cette nature blessée. On ressent cet espoir grâce à des hyperboles « Qu’un cheval au galop met, toujours en courant, cent ans à sortir de […l’ ] ombre [du tuba]

du visage et des gestes (les mudras). La scène est également organisée de manière précise. À la gauche de la scène, vue du public, se trouvent les musiciens et le(s) chanteur(s) emmenés par le nattuvanar qui imprime le rythme avec des petites cymbales (les talams). Le rythme de la danse sera soutenu par un percussionniste à l'aide d'un mridangam. L'orchestre peut être composé d'un joueur de flûte et de vina. La musique est de type carnatique. À la droite de la scène est installée une statue de

l'univers sonore d'une grande ville américaine et de New York en particulier. À cela s'ajoute l'enregistrement de voix et de phrases de personnes. Les sons échantillonnés sont couplés en général à un instrument (comme les bois pour les klaxons, ou les cymbales pour les bruits de freins).  City Life est écrit pour 2 flûtes, 2 hautbois, 2 clarinettes, 2 pianos, 2 échantillonneurs, 3 ou 4 percussions, un quatuor à cordes et une contrebasse. City life contient 5 mouvements/thèmes en tout. « Check it out

Meursault ce défend car il endure une souffrance physique *sensation mis en avant durant tout l’extrait « Mes yeux douloureux » ; « rideaux de larmes » *Souffrances et comparé a des armes (glaive ; lame ; épée) *Agression du soleil et aussi auditive « Cymbales du soleil sur mon front » II-Un personnage dominé par son destin A/ enchainement événement inéducables Le soleil et à l’ origine de cette enchainement B/ Un personnages qui subit Aucun moment Meursault ne semble voir le choix de ces actions

l’on sache leur existence, leur souffrance, leur vie, leur mort, leur conditions de vies, leurs appels au secours, leurs prières de s’en sortir, leurs espoirs de ne pas mourir. Description de la musique : Dès le début de la chanson, on entend les cymbales qui peuvent représenter les pas des concentrationnaires, ou alors le roulement du train. Puis, les instruments entrent les uns après les autres en commençant par la guitare qui donne un côté plus sensible. On a au fur et à mesure une amplification :