Cymbale

le hasard de la rencontre qui évoque le destin des tragédies. C’est aussi le vocabulaire qui renvoie au passé : « La lumière a giclé sur l’acier et c’était comme une longue lame étincelante qui m’atteignait au front. (…) Je ne sentais plus que les cymbales du soleil sur mon front et, indistinctement, le glaive éclatant jailli du couteau toujours en face de moi. Cette épée brûlante rongeait mes cils et fouillait mes yeux douloureux. C’est alors que tout a vacillé. La mer a charrié un souffle épais et

obligé de promettre à ce dernier des merveilles de la nature que l’on trouve dans les pays voisins de la péninsule arabique, comme le lys ou le tuba, ou encore « un bel oiseau » qui conjuguerait à lui seul la douceur du hautbois et l’énergie des cymbales. Cette nostalgie et cette beauté entraînent l’auteur à espérer un renouveau de cette nature blessée. On ressent cet espoir grâce à des hyperboles « Qu’un cheval au galop met, toujours en courant, cent ans à sortir de […l’ ] ombre [du tuba]

 Le théâtre dans le théâtre ​ :     a.   L’importance  des  didascalies  :  Les  didascalies  sont  ici  omniprésentes  :  au  début  de  la  scène  elles  permettent  la  mise  en  place  d’une  ambiance  musicale  (l.1.10.14  «  bruits  de  cymbales  et  de   caisse  », «  cymbales  ») qui  servira  le  projet  de  Caligula  (la  parodie  du  culte  de  Vénus).  Elles  sont  particulièrement  présentes  et  précises  au  début  de  la scène, indiquant  par  exemple  les  éclairages  (l.21  «  les  esclaves 

et la nuance est particulièrement et globalement forte. Les composés musicaux sont les trompettes, les bassons et les trombones (cuivre), les violons (corde), les flûtes, les clarinettes et les hautbois (bois), le cor (vent), les timbales et les cymbales (percussions). Le caractère est entraînant, triomphant, victorieux, militaire, donne un sentiment de supériorité et de puissance… La forme générale du prélude se divise en deux grandes parties avec reprises, schématisées ainsi : A>B>A>Final. Le style

le fruit du tuba, de cet arbre si grand Qu’un cheval au galop met toujours en courant Cent ans à sortir de son ombre ? Veux-tu pour me sourire, un bel oiseau des ois, Qui chante avec un chant plus doux que le hautbois, Plus éclatant que les cymbales ? Que veux-tu ? fleur, beau fruit ou l’oiseau merveilleux ? -Ami, dit l’enfant grec, dit l’enfant aux yeux bleus, Je veux de la poudre et des balles. Juin 1828 Les Orientales (XVIII) Exemple de commentaire :

La profondeur de champ encore une fois pour le célèbre plan de la séquence pourra également être évoqué ainsi ceci nous amènera à parler de la façon dont Alfred Hitchcock a filmé l’avion durant l’attaque. On terminera en parlant de la séquence des cymbales de L’Homme qui en savait trop pour parler de ce qui est pour moi une sorte de contre-exemple de la séquence à analyser et qui montre qu’Hitchcock sait déplacer le suspens pour conclure par ce que le grand cinéaste appelle « la direction de spectateur »

un point vital du corps.( lame ... qui m'atteignait au front» « les cymbales du soleil sur mon front») Le vocabulaire et certaines expressions concourent même à évoquer la fin du monde, l'Apocalypse: « océan de métal bouillant» « la mer a charrié un souffle épais et ardent» « tout a vacillé» « il m'a semblé que le ciel s'ouvrait sur toute son étendue pour laisser pleuvoir du feu. » De plus il transforme la réalité: « les cymbales du soleil », « la lumière a giclé ». « C'était comme » montre Qu'il

épée »), qui certes renvoient au « couteau » de l’Arabe, mais qui sont en réalité les comparants de la lumière du soleil, le véritable agresseur. L’agression du soleil n’est pas seulement visuelle mais aussi auditive, car le narrateur sent des « cymbales du soleil sur mon front », ce qui indique qu’il entend un bruit assourdissant et extrêmement désagréable. II – Un personnage dominé par son destin A – L’enchaînement inéluctable des événements On l’a vu, c’est le soleil qui semble être à l’origine

NOTATIONS En notation rythmique, on rencontre les éléments suivants : • La portée • La clé • la signature rythmique • les figures de notes et de silences • et les notations des différentes parties de la batterie, fûts, cymbales E LA PORTÉE La portée, ce sont les 5 lignes parallèles où sont écrites les notes. Elle est constituée de plusieurs mesures. E LA CLÉ En notation rythmique pour batterie, il n'y a pas de clé (youpi !!!! pas de transposition à faire,

personnage. Un champ lexical indique ce rapprochement « glaive, lame étincelante, ciel». Le texte souligne que c'est le front qui est touché, ce qui prouve que l'agression frappe en un point vital du corps.( lame ... qui m'atteignait au front» « les cymbales du soleil sur mon front») Le vocabulaire et certaines expressions concourent même à évoquer la fin du monde, l'Apocalypse: « océan de métal bouillant» « la mer a charrié un souffle épais et ardent» « tout a vacillé» « il m'a semblé que le ciel s'ouvrait