Cérémonie Compagnon

sommaire  Introduction I. Pratiques Funéraires de l’Egypte ancienne II. Pratiques Funéraires en République Démocratique du Congo 1. Le décès et la veillée mortuaire 2. Le jour des obsèques et cérémonies a) Lavage du corps b) Tenue du mort c) Prières et incantations 3. L’enterrement a) Pour le commun des mortels b) Pour un nouveau-né, un aîné c) Pour un chef et un jumeau 4. Après l’enterrement a) Se séparer de l’esprit

connaîtront la torture. Cependant, grâce à l’ordre de dispersion, plus de 200combattants des Glières réchapperont au destin d’ombre qui les guettait. Huit d’entre eux sont avec nous aujourd’hui, et dans l’hommage solennel que nous rendons à leurs compagnons morts pour la France, nous leur adressons un salut fraternel, celui d’une Nation qui sait tout ce qu’elle leur doit. La bataille des Glières, ce n’est pas seulement le 26 mars 1944 : elle a commencé avec la prise du plateau, à la fin du mois de

Astrides. Ce qui est enviable pour le guerrier, c'est avant tout la gloire du guerrier mort au combat dont les exploits seront chantés. Il faut ajouter que la mort au cours d'une tempête est la pire dans la mesure ou il ne peut pas y avoir de cérémonie rituelle pour le corps et donc pas de possibilité de poursuivre la vie après la mort. La crainte de la mort non glorieuse est donc très forte. II- Ulysse un héros nostalgique. Ulysse est nommé pour la première fois dans le livre V au cours

tard le 19 décembre 1964 alors que le Général de Gaulle était Président de la République. Cette idée émanait d'André Malraux, Ministre de la Culture et compagnon d'armes de Jean Moulin. Lors d'un discours resté dans les mémoires, il en fera un héros national, mort pour la Résistance, voire le symbole même des morts pour la France. Lors de cette cérémonie émouvante, « le chant des partisans » fut repris, devenant aussi un des symboles de la Résistance Française. Certes, Jean Moulin fut un grand acteur

royaume et se fait sacré par les évêques en 751 (l 11 12) ''par l'onction du saint chrême, reçut des mains des bien heureux prêtre des Gaules, et par le choix de tous les Francs''. La cérémonie du sacre est renouvelée a Saint Denis par le Pape Étienne II en 754 (l 14-15). L'auteur évoque Saint Denis et ses compagnons Rustique et Eleuthère car St Denis est le premier évêque de Paris, ils furent mis a mort peu de temps après. Selon la légende Saint Denis fut décapité et marcha avec sa tête dans les

quintessence, notre point alchimique le plus précieux, notre point de centre réel ? Autre raison : le vin, en dehors des agapes, apparaît peu dans notre rituel. Je ne l'ai rencontré que lors de mon passage au degré de compagnon, et après avoir été consacrée nouveau compagnon, nous avons partagé, de manière informelle et durant un court instant, le pain et le vin, abandonnant à ce moment-là, toute la solennité du protocole. Moment de détente pour faire descendre un peu la pression . Moment de

Selon Marius Lepage «  La Franc-maçonnerie, société secrète initiatique, a pour objet de donner a l'individu les moyens d'assurer son évolution spirituelle pour l'action d'un travail collectif ». Si la Franc-maçonnerie a des rites, des symboles des cérémonies c'est une « manière concrète de rendre sensible ses adeptes au travail moral ». Fernidand Buisson quand à lui cette organisation comme étant une « religion d'esprit », il faut « savoir le vrai, aimer le beau, faire le bien », et servant à « commenter

ans. Vers 953 avant notre ère, SALOMON Roi Israël ordonne l’édification, à JÉRUSALEM, d’un temple qu’il veut dédier au GRAND ARCHITECTE de L’UNIVERS. Pendant sept années ce sont par moment plus de 183 000 ouvriers comprenant des maîtres des compagnons et des apprentis qui s’activent sur cet immense chantier. Tous ne sont pas natifs Israël. Certains ont été prêtés par des rois voisins alliés de SALOMON. C’est le cas d’un Maître architecte et ingénieur nommé HIRAM DE TSOR. J’ouvre une parenthèse

les trois coups frappés sur l’épaule, etc etc. Lorsque donc le profane se présente à la porte du Temple, les yeux dans les ténèbres il est introduit dans la Loge par trois grands coups qu’il doit frapper lui-même avec l’aide du Maître des Cérémonies: ces trois coups symbolisent les trois questions, fondements de la philosophie maçonnique .La démarche du néophyte est donc volontaire ; il frappe à la porte du temple pour recevoir la lumière et y chercher la vérité, SA vérité Frappez et on

Jean-Baptiste Poquelin, fils d'un marchand tapissier, fournisseur officiel de la Cour. | 1632 | Mort de sa mère. | 1635 | Jean-Baptiste Poquelin entre au collège de Clermont (actuel lycée Louis le Grand). Il a pour condisciple (compagnon d'études) le prince de Conti, qui deviendra l'un de ses protecteurs. | 1640 | Il suit des études de droit pour devenir avocat, titre qui permet alors l’achat d’une charge dans la justice ou l’administration. | 1641 | Jean-Baptiste