Débauche

tragique et romantique, Lorenzo, affrontant la fatalité du destin, cela s'inspire d'une réalité historique, les Chroniques florentines de Varchi et d'une scène de George Sand. L’action se déroule à Florence en janvier 1537. Lorenzo de Médicis, jeune débauché cynique, pourvoit aux plaisirs de son cousin, le tyran de Florence, le duc Alexandre de Médicis. Peu à peu derrière le masque de l’homme corrompu apparaît un autre Lorenzo, bien différent du méprisé Lorenzaccio, puisqu’il aspire à assassiner le duc

son lointain cousin, le duc Alexandre de Médicis, règne sur Florence en tyran avec l'appui du Saint-Empire et du pape ; une garnison allemande assurant sa protection. Lorenzo devient fidèle serviteur du duc, son familier ainsi que son compagnon de débauche, afin de pouvoir libérer Florence de ce tyran : il projette de le tuer, soulignant la passivité et la lâcheté des grandes familles républicaines face à leur devoir. Les républicains ne réussiront d'ailleurs pas à prendre le pouvoir après la mort

passe cette vie en véritable bête brute, un pourceau d'Épicure, un vrai Sardanapale » (→ langage accumulatif de mots presque synonymes car Sganarelle ne trouvent pas les mots exacts.___═> Don Juan est un personnage complexe. _____2)__Un débauché. [La débauche est un usage excessif ou/et déréglé de tous les plaisirs des sens, particulièrement de ceux de l'amour et de la table.]il n'est pas difficile, il s'adapte.+ antithèse « trop chaud » / « trop froid » → « trop » montre les extrêmes et donne

C'est une femme belle et de riche encolure,Qui laisse dans son vin traîner sa chevelure.Les griffes de l'amour, les poisons du tripot,Tout glisse et tout s'émousse au granit de sa peau.Elle rit à la mort et nargue la Débauche,Ces monstres dont la main, qui toujours gratte et fauche,Dans ses jeux destructeurs a pourtant respectéDe ce corps ferme et droit la rude majesté.Elle marche en déesse et repose en sultane ;Elle a dans le plaisir la foi mahométane,Et dans ses bras ouverts, que remplissent ses

Une florence désenchantée I. Florence lieu de débauche Florence est un lieu témoin de nombreux signes de débauches. Ces témoignages de débauches sont présents notamment sous la prostitution. Dès le début, la jeune Gabrielle se prostitue. Le peuple en a assez des mésaventures du Duc : Acte II scène 2 quand Tebaldeo explique qu'il voit Florence comme sa mère, Lorenzo réplique : «  ta mère n’est qu’une catin. » Peut-être qu'ainsi Lorenzo considère Florence comme l'une des nombreuses conquêtes

musique et, en y échappant, il tue accidentellement Alcyon. Après une lutte avec les membres restants, ils décident d'un commun accord de faire la paix entre les deux camps. Clios part alors sur la route et mène une existence de soldat puissant mais débauché, tant il est honteux d'avoir tué son meilleur ami. Son histoire terminée, tous trois reprennent la route. Ils errent pendant plusieurs mois, avant qu'Oedipe ne décide de s'établir quelques temps dans une grotte sur des falaises au-dessus de la mer

et la débauche rêvent d’une nature pure et préservée, située au-delà loin de la souillure. Ainsi Catherine, la tante de Lorenzo, contemple le soleil couchant sur le bord de l’Arno à la scène 6 de l’Acte 1. Elle éprouve une grande admiration et la nature paraît pour elle être un réel moyen d’évasion comme le montre la phrase « C’est une singulière chose que toutes les harmonies du soir avec le bruit lointain de cette ville ». Catherine semble pendant un instant occulter et oublier la débauche comme

fausse maxime "Rien n'est un pêché quand on obéit à un prêtre". Cette manipulation est stratégique, s'opérant à deux niveaux : sur le page qui représente le peuple et également sur le spectateur qui reste malgré lui muet, devenant complice de la débauche. Le cardinal joue le rôle d'un manipulateur plutôt que d'un prêtre : il use d'une voix basse. La qualification au début de l'extrait "fidèle serviteur de Dieu" et l'appelation de cardinal, ne sont que des masques de plus pour cacher son véritable

lointain cousin, le duc Alexandre de Médicis, règne sur Florence en tyran avec l'appui du Saint-Empire et du pape[2] ; une garnison allemande assurant sa protection. Lorenzo devient fidèle serviteur du duc, son familier ainsi que son compagnon de débauche. Afin de pouvoir libérer Florence de ce tyran, il projette de le tuer, soulignant la passivité et la lâcheté des grandes familles républicaines face à leur devoir. Les républicains ne réussiront d'ailleurs pas à prendre le pouvoir après la mort du

un lieu de débauche a) L’omniprésence du vice - L’omniprésence du vice est mise en avant dans une longue énumération de la ligne 7 à la ligne 10. Dans cette énumération très imagée, le vice est décrit comme présent dans toutes les sources d’eau de Paris : « bassins, jets d’eau, pluie, ruisseaux ». - La pluie est même décrit comme pénétrante, personne ne peut échapper au vice, il est en tout être sur Paris. - Paris est même décrit clairement comme un lieu de débauche, on peut lire :