Déclaration des droits de la femme et de la citoyenne

Haut-Commissaire des Nations Unies aux droits humains, Navi Pillay​ , « accorder aux lesbiennes, gays, bisexuels, transgenres, (LGBT) les même droits que ceux dont tous les autres jouissent n’est ni radical ni compliqué. Cela repose sur deux principes fondamentaux qui sous-tendent le droit international des droits humains : l’égalité et la non-discrimination ». ​ Nous, signataires de ce manifeste,nous donnons pour cadre référentiel la Déclaration Universelle des Droits Humains, notamment les articles suivants

LIBERTE PUBLIQUE Générations de droit Les libertés publiques reposent sur des droits établis de manière continue, dont la proclamation a été fonction des évolutions de la société. Ainsi, on peut voir que les premiers droits affirmés sont relatifs à la liberté individuelle, alors que les suivants prennent l’homme dans un groupe et non plus comme un seul individu. De cette évolution ressort le rôle de l’Etat : alors qu’il est minime avant le 20e siècle, il est prépondérant par la suite. L’Etat doit

d’égalité avait laissé espérer une amélioration et un changement de statut. Certaines femmes ont pu écrire la Déclaration des droits de la Femme, et de la citoyenne. Si la révolution reconnait la personnalité civile de la femme, ses droits ne sont pas encore reconnus. Les hommes eux, qu'ils soient hommes politiques, philosophes ou médecins, réaffirment l’infériorité naturelle de la femme, mineure à vie, dont la place est naturellement au sein de la famille dominée par le mari. C'est la philosophie

SECTION I LE CITOYEN Les conditions de la citoyenneté. Chaque constitution de la Révolution a tenu à définir le « citoyen français ». Pour les trois Constitutions : 1791, 1793, 1795 , il ne peut s'agir que d'un homme et majeur. La majorité est à 25 ans pour la Constitution de 1791, elle tombe à 21 ans pour les deux autres. Pour les autres conditions d'attribution de la citoyenneté française, elles varient selon l'idéologie du moment. Généralement, elle est attachée à la réunion de plusieurs qualités

nations qui se disent être indépendantes et démocratisées. Et pour exprimer cette démocratie, de nombreuses liberté sont accordées aux individus “telle la liberté d’expression, liberté de presse, liberté de conscience etc.’’, on prône le respect des droit de l’Homme, mais surtout la toute puissance du peuple. En effet, par soucis de non-marginalisation, d’universalisation, de légitimation, et en vue de mettre fin aux différents systèmes politique dictatorial et tyrannique, les dirigeants des pays et

les dépenses budgétaires de l’État et de certains organismes publics, collectivités locales, établissements publics à vocation territoriale ou encore un mode de répartition des charges publiques fondé sur l’adaptation aux facultés contributives des citoyens . L’impôt a été également défini par les lexicographes français comme étant la «contribution prélevée sur des revenus, des transactions, des produits, etc. pour assurer le fonctionnement du budget de l’État ou des collectivités locales». L’impôt

des Droits de la Femme et de la Citoyenne (1791), Postambule, Olympe de Gouge [INTRO] Olympe de Gouges participe à la révolution française aux côtés de Girondins (la partie modéré des Révolutionnaires) et s’oppose à l’exécution de Louis XVI. Elle périra sur l’échafaud en 1793 pour avoir blâmé la Terreur de Robespierre. Mais c’est aussi l’une des premières à formuler la question féminine de son siècle, en particulier dans la Déclaration des droits de la

République est fondée sur des valeurs. Celles-ci sont rappelées dans la devise : - liberté respect des droits de l'Homme - égalité égalité juridique (= des droits et des devoirs) - fraternité solidarité nationale II- LES PRINCIPES REPUBLICAINS : La République s'organise en quatre grands principes issus de la Déclaration des droits de l'Homme et du citoyens de 1789 (de l'article 1er de la Constitution de 1958). En France, la République est : - indivisible

Liban Le droit de la femme libanaise d'accorder sa nationalité à ses enfants Marie Nassif-Debs Lundi 13 avril 2009 On entend souvent se répéter que le Liban est un membre fondateur des nations Unies et, à ce titre, il a participé à la rédaction de sa Charte (1945) et de la  Déclaration universelle des droits de l’Homme (1948). Ceux qui ressassent de tels propos visent, bien entendu, à imposer silence à ceux qui disent que la démocratie ne peut exister au Liban pour le simple fait que notre

2nde : « le citoyen et la loi » Doc A : Extrait de l'article 3 de la Constitution de la V e République « La souveraineté nationale appartient au peuple qui l'exerce par ses représentants et par voie du référendum. […] Le suffrage peut être direct ou indirect dans les conditions prévues par la Constitution. Il est toujours universel, égal et secret. Sont électeurs, dans les conditions déterminées par la loi, tous les nationaux français majeurs des deux sexes, jouissant de leurs droits civils et