Dégoût

dans cette description. Certains de ces adjectifs qualificatifs comme “ignoble” dans la phrase “Camille était ignoble” sont péjoratifs et montrent la subjectivité du regard de Laurent. Ces adjectifs péjoratifs visent aussi à provoquer un sentiment de dégoût chez le lecteur qui lit une description d’un être répugnant. D’autres adjectifs qualificatifs comme “rigide” dans la phrase “ sa peau paraissait encore ferme et rigide” ajoutent des détails à cette description très précise. Ce

impoli : - « les convives s’ils veulent manger mangent ses restes » On a ici l’image d’un monde à l’envers. - « il mange haut et avec grand bruit » Le lecteur ressent alors le dégoût qu’inspire cet homme est mis en valeur par l’homophonie « dégoutter (jus qui coule) / dégoûter » (dans dégoûtante). Mais ce dégoût est engendré par toute une série d’images : - « il écures ses dents et continue à manger » - « il mange haut et avec grand bruit » - « il ne se sert à table que de ses mains

tomber en poussière les rêves de ma vie ». Le meurtre d'Alexandre, il le sait, le conduira à sa perte. Ensuite, dans la scène 5, Lorenzo poursuit sa réflexion, et ajoute à son interrogation sur sa propre nature, une expression de dégoût par rapport à lui-même. Ce dégoût est notamment exprimé au travers de nombreuses interrogations telles que « Le vice […] s'est-il si profondément incorporé à mes fibres, que je ne puisse plus répondre de ma langue, et que l'air qui sort de mes lèvres se fasse ruffian

relation avec melle goton qui est une enfant qui joue avec lui à la maîtresse d’école révèle une fois de plus, le plaisir de rousseau à se faire dominé. c) Un dégoût des prostituées Rousseau qui met les femmes sur un piédestal et les louent sans cesse, exprime un dégout démesuré pour les prostitués. Mais une fois de plus, c’est un dégout à nuancer puisqu’il en voit quelques unes et est même envouté par l’une d’elle. Maxime traitera du passage où il est séduit par une prostitué. En effet Rousseau

chose ou d'un acte. Genet reconnaît au travers de ses personnages que leurs actes sont infamants, en cela il n'est pas subversif: les bonnes ne sont pas des personnages sans moral, elles éprouvent de la honte et se méprisent, elles s'aiment dans le dégout. Claire-madame répondant à Solange-claire : «Mon infamie? Mon infamie! D’exhumer! Quel mot!». En fait, le mal s'impose comme le seul moyen de les préserver de l'autodestruction et de la destruction. Genet présente l'infamie comme purifiante et le

14 : « il mange haut et avec grand bruit » Quelle impression ressent-on à la lecture de la description du repas ? Dégoût. Le dégoût qu’inspire cet homme est mis en valeur par l’homophonie « dégoutter (jus qui coule) / dégoûter » (dans dégoûtante). Qu’est-ce qui dans le texte inspire le aussi le dégoût ? Mais ce dégoût est engendré par toute une série d’images : - « il écures ses dents et continue à manger » ligne 15 - Ligne 14 : « il

présenté comme un égoïste, cupide : rachèterait sa mort. - Gnathon est présenté comme un glouton répugnant : comportement bestial, prédateur et voleur. Accumulation d’actions rapides et désordonnées. Répétition du verbe manger pour traduire le dégoût. Cette répétition indique aussi, outre l’importance de cette activité pour Gnathon, son statut inférieur à celui de la bête dans la mesure où le glouton ne sait pas s’arrêter là où l’animal est repu. - L’opposition : Gnathon semble opposé à tous

d’une potentialité de cet Idéal pour l’auteur. · Les trois thèmes principaux relevés sont le dégout de la société, l’évasion et la recherche de l’idéal/du spleen · Nous pouvons donc nous poser la question suivante : De quelle manière l’auteur montre-t-il son désir d’atteindre l’Idéal ? Nous allons y répondre avec 3 axes : le premier qui exprime le mouvement d’élévation, le deuxième met en évidence le dégout de la société et le troisième Axe 1 : le mouvement d’élévation IPP : Dans un premier temps,

signe que l'artiste ne parvient pas à vivre dans la société. « La sensibilité romantique se révolte contre un système politique qui anéantit l'artiste en se consacrant à la gloire de la nation. C'est la révolte par dégoût, dégoût de l'avidité bourgeoise, de la société moderne, dégoût pour un présent qui n'a plus de passé ni encore d'avenir, à la fois plein de semblants de ruines et d'espoirs incertains » (Source : http://www.bookine.net/MOUVEMENTDEPENSEE3.htm ) Pourquoi choisir cette caractéristique

valet en livrée Antichambre : pièce à l'entrée d'un appartement Assis contre moi : tout à côté de moi En chevir : en venir à bout Débiteur : personne qui a une dette financière Bagatelles : Somme de peu d'importance Fi : Marque le dégoût Tirade : Long monologue récité par un personnage de manière ininterrompue Monologue : scène où un personnage se parle a lui-même Didascalie : Indication scénique écrite par l'auteur complétant le dialogue mais n'en faisant pas partie Aparté :