Dégoût

àMonsieur Marc bouchardCollège d’AlmaDépartement de français30 mars 2022Extrait 11) Il ressent plus de haine que de d’inquiétude. Il utilise des mots haineux et qui sont relatif au dégoût. « Une nuit affreuse » (l. 1180) « l’œil jaune et stupide de la créature » (l. 1187) « mon cœur se remplit d’une horreur et d’un dégout affreux » (l. 1204-1205). C’est un état de désarroi.2) La température était sombre,

couvent pleine de rêve et d'espoir, brisés par la monotonie et l'ennui de la routine faisant suite à son mariage. Le dernier passage que nous allons étudier est un extrait de Thérèse Raquin d'Emile Zola, un roman réaliste dans lequel Thérèse exprime son dégoût envers les amis de sa tante et de son mari. Notre but est ici de montrer les points communs existant entre les héroïnes de ces trois romans, en nous appuyant sur le point de vue, les figures de styles et les champs lexicaux des textes.

douleur, surprise (peur + joie), embarras, inconfort, frustration, mécontentement, dégoût (alimentaire, physique), dégoût social, dissuasion, rejet social, attention, éveil, excitation, agitation, somnolence, fatigue, distraction, inhibition, apaisement, détente, non-émotion, agressivité + peur (sentiment d’auto-protection), agressivité + amusement joie (sentiment de mépris, moquerie, dédain,…), agressivité + dégoût social (sentiment de mépris, de dédain,…), agressivité + surprise (sentiment d’indignation)

noirs, de mes cheveux. Je ne te reproche rien, ma petite sœur. Tes promenades te soulageaient ... CLAIRE, agacée : Ah ! Laisse. SOLANGE : Je voudrais t'aider. Je voudrais te consoler, mais je sais que je te dégoûte. Je te répugne. Et je le sais puisque tu me dégoûtes. S'aimer dans le dégoût, ce n'est pas s'aimer. CLAIRE : C'est trop s'aimer. Mais j'en ai assez de ce miroir effrayant qui me renvoie mon image comme une mauvaise odeur. Tu es ma mauvaise odeur. Eh bien ! Je suis prête. J'aurai ma couronne

de cet article. En premier lieu nous étudierons le dégoût qu’éprouve Muffat après avoir lu la chronique, puis, la fascination qu’il éprouve face à Nana. L’auteur utilise d’abord le champ lexical de la peur « une sensation de froid coulait de son crâne sur ses épaules » et « elle lui faisait peur » pour montrer que Muffat avait d’abord eu peur de ce qu’il venait de lire. Puis il emploi le champ lexical du dégoût et de la destruction pour insister sur le fait que Muffat se méprise

fumée de sa cigarette dans le visage, enfin elle lui demande son numéro de téléphone, « Je » est content, mais elle précise que c'est pour Steeve (son ami homosexuel) qui le lui a demandé si elle pouvait le lui passer toute la soirée. « Je » est dégouté, il lui répond que depuis le début de la soirée, elle a un pop-corn sur l'épaule. Le lendemain, « Je » reçoit un sms de Steeve, il ne le lit pas et retourne se coucher. Opinion justufiée : Dans cet épisode de Bref, on constate que le personnage

malaise de l'individu qui ne parvient pas à vivre dans la société. La sensibilité romantique se révolte contre un système politique qui anéantit l'artiste en se consacrant à la gloire de la nation. C'est la révolte par dégoût, dégoût de l'avidité bourgeoise, de la société moderne, dégoût pour un présent qui n'a plus de passé ni encore d'avenir, à la fois plein de semblants de ruines et d'espoirs incertains : « on ne sait, à chaque pas que l'on fait, si l'on marche sur une semence ou sur un débris. »

patriotiques de leurs parents et de leurs professeurs. Bäumer se rappelle le moment du recrutement. Lui et sescamarades n’avaient que dix-huit ans et ils ont été envoyés sur le front après dix semaines de stage dans une caserne où ils ont été profondément dégoutés par l’absurdité des supérieurs, notamment deHimmelstoss. Cette période avait pour but de « dresser » ces jeunes « au seuil de l’existence » (p. 27). À la fin de la période de stage, ils étaient devenus des « brutes » (p. 33), prêts pour la guerre

éprouve envers Jason, il peut se retrouver en elle et ainsi approuver ses gestes. Cependant, même si le spectateur est en accord avec le fait de se venger et de faire souffrir Jason, l’infanticide que le personnage commet sur ses propres enfants dégoute le spectateur qui ne peut alors plus approuver le crime même s’il peut accepter celui de la nouvelle femme de Jason, qui est alors une rivale et un obstacle entre Médée et son bonheur. Le spectateur se retrouve alors partagé entre les motivations

maladif, essayant de se comporter en victime expiatoire, alors qu'il vient juste de tuer Phoebus. Dès lors, le lecteur pourrait se demander en quoi ce discours pathétique révèle l'impuissance paradoxale de Frollo. Par conséquent, de " Oh ! " jusqu'à "dégoût " ( ligne 1 à 7), la déploration etl'aveu d'impuissance de l'antagoniste sont l'aveu d'impuissance de l'antagoniste sont perceptibles. Ensuite, de " Être présent jusqu'à " quatre chevaux " ( ligne 7 à 14 nous assistons à la jalousie et audésir destructeur