Dégoût

montrer tout ce qui est mauvais sur la terre : il critique les institutions et les attitudes de notre société qui favorise l’intolérance. Il dénonce l’église et la propagande religieuse qui prompte la guerre et il utilise l’ironie pour exprimer son dégout de remercier Dieu pour le massacre d’un million hommes. Voltaire a toujours manifesté sa désapprobation de la religion, même s'il est un croyant de Dieu, et dans le Micromégas il utilise la satire et le sarcasme pour convaincre le lecteur que la

programmes regardés. On se souvient tous du sombre jour du 11 septembre 2001, où l'attentat contre le World Trade Center a eu lieu. Ces images furent violentes, leur répétition des semaines durant, ont marqué nos mémoires jusqu’à provoquer chez certains dégoût et rejet. Certains cas rares, comme des personnes à pathologie psychiatrique, voyant des scènes de violence auront tendance à reproduire ce qu'ils ont vu. Il ne s'agit que d'un très faible pourcentage, mais malheureusement, cela est déjà arrivé

comme une catastrophe, en effet il considère que la "beauté du rêve s'évanouissait". Cet auteur éprouve un sentiment d'échec et de dégout car il pensait créer un être admirable. Il éprouve même de la pitié pour cet être qu'il vient de créer, il le qualifie de "malheureux, misérable monstre". La déception d'un travail vain prédomine ses sentiments "une horreur et un dégoût sans borne m'emplissait l'âme". Paradoxalement, dans le texte Robert Louis Stevenson, la "méchanceté", la "difformité" et la "déchéance"

bâton », nous pourrions illustrer cette idée avec la célèbre citation « Concordia res parvae crescunt » ou « L'union fait la force », devise exploitée par la Belgique. Nous allons, maintenant nous fixer sur l'appel à la justice par la douleurs, le dégout, la colère. « L'autre président », poème appartenant au livre II. Montre la colère et dénonce tous les châtiments qui sera infligés à cette homme pour tout le mal qu'il entreprit : « La tempête, brisant le cèdre et le sapin ». Victor Hugo, à travers

prennent à des jeunes filles inoffensives, envers les femmes qui reproduisent l’excision alors qu’elles en ont souffert elles mêmes. De la pitié envers les jeunes filles qui vivent ces injustices chaque jour et qui sont impuissantes devant cela. Du dégoût et de la tristesse de savoir qu’il y a des gens des la même *espèce* que moi qui agissent de cette horrible façon envers d’autres êtres humains. PARTIE B : Il faut comprendre que ces gens n’ont pas les mêmes valeurs et les mêmes

masques d'hypocraisie ». Le peuple est fatigué « physionomie cadavreuse », « jeunesse blafarde et sans couleur »; « caducité fardée », « peuple exhumé ». Les habitants semble mort-vivants, exténués par cette vie et fiat ressentir un mouvement de dégout de la part des lecteurs, « teinte presque infernale des figures parisiennes ». Paris est comparé à un enfer « tout fume, tout brule... ». Les parisiens sont décolorés, blêmit, bleuit et brunit (ligne 30). Balzac compare le teint des individus aux

souffres. Moi je ne compte pas. Je voudrais pourtant te voir à ma place. » Bien étrange amitié, qui semble renvoyer dos à dos les personnages. Ici, point de visée morale, point de pitié, point de réciprocité ou de souci de l’autre : on assiste à un dégout de l’autre, le corps d’autrui est emblématique d’une déchéance, d’une souffrance que l’on compare sans pudeur. Ainsi mises en scènes, ces étranges présences humaines fondent leurs relations sur le jeu antithétique de la dispute et de la réconciliation :

Nouvelle-France, les Français démontrent un certain dégoût envers les Amérindiens, à propos de leur vêtement entre autres. On y ressent bien que l’installation d’un rapport dominant-dominé s’installe déjà lorsque que Cartier raconte la façon dont ils ont vêtus les Amérindiens pour les amené en Europe, on y dénote une espèce de dégout de la part des Français envers l’habillement des Amérindiens. La façon de faire est subtile mais on ressent bien le dégoût envers les Amérindiens. Dans le texte de Lahontan

Dans Comme un roman Daniel Pennac nous parle de sa perception de la lecture et des phénomènes qui font que les jeunes ne lisent plus. Il nous raconte d'abord la détresse et le dégoût d’un jeune adolescent face à un livre. Puis il fait un retour en arrière dans la vie de l'enfant pour trouver les raisons de ce dégout envers la lecture. L'auteur explique que ce n'est pas la télévision qui empêche les enfants de lire. Mais, si ils peinent à lire et qu’il ils n'y voient qu'ennui, c'est parce que

par le locuteur Þ prête à la justice des intentions criminelles : « je sentais qu’on voulait tuer cet homme vivant » : noter ici l’antithèse, le superlatif final (« le + abject des assassinats ») Þ la peine de mort = un meurtre. Abject suggère le dégout et la phrase sonne comme une sentence Ø  Le coupable = innocenté : cf. emploi des intensifs à son sujet : « si décidé à tout reconnaître », « si sincèrement effrayé » ¹ la justice = du côté du Mal (cf. comparaison avec les serpents : cf. symbolique