Deinococcus radiodurans

Deinococcus radiodurans History D. radiodurans was discovered in 1956 by Arthur W. Anderson at the Oregon Agricultural Experiment Station in Corvallis. Experiments were being performed to determine if canned food like tin of meat could be sterilized using high doses of gamma radiation but the decomposition process doesn’t stop, and the bacteria was isolated. This bacteria was a deinococcus radiodurans and nicknamed “Conan the bacterium” referred to “Conan the barbarian” because of his hardiness

capable de fixer l’azote atmosphérique si ce composé se fait rare dans son environnement. Ce qui peut être utile sur Mars. Photo de Matteia Il existe également une bactérie qui retient l’attention des scientifiques, c’est la Deinococcus radiodurans. Elle est importante pour sa résistance parce que cette bactérie présente une structure avec plusieurs couches cellulaires externes ainsi qu’une habilité de réparer son code ADN (détérioré par les rayonnements, mutations) très impressionnante

ionisant se répare en permanence, et efficacement) trouvée à grande profondeur dans certaines sources chaudes1 · · Deinococcus radiodurans, radiorésistant à 1 500-3 000 fois la tolérance humaine. Les grands fonds marins, certains lieux radioactifs ou certains déserts (exposés aux UV, parfois sursalés abritent aussi des extrêmophiles radiorésistantes dont deinococcus · · Bacillus infernus a été isolée à 2 700 mètres sous la surface du sol. · · Ferroplasma acidarmanus peut

thermoproteus tenax ) qui vit et se reproduit sous des températures comprise entre 85 et 96°. 3 : NON EXACTE ; Des exobiologistes on découvert une forme de vie ( geobacter metallireductans ) qui se nourrit de déchets nucléaires et une autre espèce (deinococcus radiodurans ) qui peut supporter jusqu’à 3000 fois la dose de radiations susceptible de tuer un homme 4 : NON EXACTE ; Des exobiologiste on découvert des formes de vie ( sulfodus acidicaldarus ) qui vit sous un pH 2 5 : EXCATE ; Elle permet de connaitre

peuvent survivre en dehors des conditions extrêmes sont qualifiés d'extrêmophiles obligatoires. Certains des extrêmophiles peuvent être polyextrêmophiles et accumuler plusieurs résistances et survivre à plusieurs de ces milieux hostiles (ex : Deinococcus radiodurans). b) Classification : La plupart des extrêmophiles appartiennent à la famille des Archées ou des eubactéries, bien qu'il existe aussi des extrêmophiles eucaryotes unicellulaires et métazoaires. Les archaebactéries (du grec archaos :

vit et se reproduit dans un milieu à une température très au-delà de 50°C (entre 80°C et 96°C) ; les recherches de vie extraterrestre peuvent donc inclure des exoplanètes où la température est supérieur à 50°C. 3) Faux, la bactérie « Deinococcus radiodurans » supporte une très forte dose de radiations nucléaires et « geobacter metallireductans » se nourrit, quant à elle, de déchets nucléaires ; les radiations nucléaires, c'est à dire la radioactivité, n’empêche pas forcément la présence de vie

planètes où la température est supérieure à 50°C car selon le document 1, Thermoproteux tenax peut survivre à des températures de 85 à 96°C. b. Les radiations nucléaires n’éliminent pas toute possibilité de vie car, car selon le document 1, Deinococcus radiodurans supporte de très hautes doses de radiation et Geobacter metallireductans se nourrit de déchets nucléaires. c. La recherche de méthane sur une planète est un indicateur de vie car selon le document 1, Methanopyrus sp. Produit du méthane. Nerf

sur le thème des oxydations mal maîtrisées aux échelons cellulaires et moléculaires. Rien de plus si ce n’est l’idée d’appliquer à l’humain les recettes de réparation de l’ADN observées chez certaines bactéries au premier rang desquelles Deinococcus radiodurans. Rien de plus si ce n’est la conviction de l’auteur qu’aujourd’hui l’impensable ne l’est plus ; «même s’il est encore impossible de le certifier tant qu’il n’y aura pas eu de tests sur l’homme». «Cet ouvrage s’interroge sur la possibilité

Mars.                      - La Deinococcus radiodurans est reconnue pour sa résistance parce que cette bactérie présente une habilité de réparer son code ADN (détérioré par les rayonnements, mutations) et d’une résistante très impressionnante (elle a même été retrouvée dans l’eau de refroidissement de réacteurs nucléaires). Elle serait donc une bactérie très résistante face aux bombardements UV que subit la surface de Mars. [pic] La bactérie Deinococcus Radiodurans       Il faut savoir que si

Voulez-vous nous rejoindre? En savoir plus Close Bacteria Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Aller à : Navigation, rechercher Aide à la lecture d'une taxobox Bactérie | Une bactérie Deinococcus radiodurans | | Une bactérie Deinococcus radiodurans | | Classification | | Domaine | Prokaryota | | Règne | | Bacteria— auteur incomplet —, date à préciser | | Divisions de rang inférieur | | Selon