Deus ex machina

est par contre à consommer avec modération. Un plan bien huilé, forcement, ça dérape ! Nous sommes en 1995. Dans peu de temps, la cathédrale de Notre-Dame va subir une attaque conjointe des dieux celtes et de Mathias (voir à ce sujet Deus Ex Machina). Mathias, qui est prévoyant, s’est préparer un plan de retraite au cas où ça ne marcherait pas. Et ça ne va pas marcher, on le sait. Le plan est ma foi simple : trois de ses serviteurs, tous Anges renégats mais néanmoins puissants, ont kidnappé

et métamorphose typique du baroque. Statue qui arrive de nulle part => Univers fantastique -Didascalie finale montre l’utilisation d’effets spéciaux:tonnerre, grand bruit, grands éclairs, spectacle pyrotechnique. Pièce à machine, rappel du « Deus ex machina » antique, qui apportait le dénouement avec une nacelle déposée sur la scène par des poulies et un dieu qui résolvait tous les conflits -Encore apport baroque contre la vraisemblance du classicisme => le dénouement ne respect pas la règle des

« tombe du ciel », tel un deus ex-machina antique) ou encore un événement extérieur à l’action qui se déroule sur scène (rapporté par un messager par exemple). Le dénouement doit, dans tous les cas, être logique, cohérent et habile étant donné qu’il ne doit pas décevoir. Dans le théâtre classique, cette fin qu’est le dénouement doit répondre à trois exigences : il doit être nécessaire donc ne pas être le fruit du hasard, (notamment ne pas être amené par un deus ex machina), être complet, c’est-à-dire

problème qui ne peut être résolu. La situation empire même pour Orgon lorsque Valère vient lui annoncer que Tartuffe est parvenu à lui envoyer l'huissier, qui ne saurait tarder à faire appliquer le contrat de cession. Mais à la toute fin, par un deus ex machina unique en son genre, le Roi envoie l'exempt rétablir l'ordre en son royaume, emprisonner Tartuffe et restituer par son ordre son rang et ses biens à Orgon. Comme on l'aperçoit à travers ce résumé, Le Tartuffe est en fait une succession de plusieurs

l’imparfait descriptif « réduisait, coulaient, examinais... ». L’aspect pathétique de la scène, s’ajoute a la dimension théâtrale du texte . En effet Valmont est accueillis par un « chœur de bénédictions » , le libertins joue ici le rôle de « deus ex machina » des pièces de théâtre grecques, c‘est lui qui sauvent la pauvre famille de la saisie de ses biens. c’est le Héro il le dit lui-même : « je ne ressemblais pas mal au Héros d’un drame , dans le scène du dénouement » , de plus les qualificatif

héros du deuxième groupe (en général opposition à un mariage). L'action de la comédie est donc le mouvement qui se développe d'une société à une autre. Le dénouement de la comédie (nécessité d'un "happy ending") est obtenu artificiellement (deus ex machina). Cristallisation d'une société nouvelle autour du jeune héros (anagnorisis ou cogito, c'est-à-dire scène de reconnaissance). Le caractère rituel des scènes de reconnaissance est marqué par quelque festivité (banquet, mariage, ballet). Les

: répliques courtes qui peuvent parfois être violentes et qui forment un échange rapide, rythmé. -Le « coup de théâtre » : péripétie inattendue qui constitue un renversement de situation ; cela crée un effet de surprise dans le public. -« deus ex machina » : expression latine qui désigne un événement dont l’intervention peu vraisemblable résout comme par miracle les problèmes que rencontre le personnage. -Dramaturge : auteur de pièces de théâtre. LES DIDASCALIES: Ce sont toutes les

toute l’intrigue lorsqu’elle sera appelée «  Marcel » révélant alors que Gabriel vit avec un homme. Marceline est qualifiée à un moment du roman de « divine » ce qui nous amène à penser qu’elle réalise une d’intervention presque sous forme de « Deus ex machina » et qu’elle va tomber le masque à la fin du roman, répondant ainsi à l’intrigue sur l’homosexualité de Gabriel. Dans l’adaptation de Malle, cette partie du roman est totalement éludée car Marceline reste Marceline ou plutôt Albertine (qui est

doit être complet et rapide. Inscrit dans le dernier acte, il résout le conflit de façon définitive. Idéalement, il doit résulter de la logique de l'action elle-même. On connaît cependant des dénouements qui découlent d'une intervention divine (deus ex machina) comme dans Dom Juan, de Molière. Il peut être déclenché par une dernière péripétie : + la reconnaissance, le mariage dans la comédie ; + la catastrophe dans la tragédie et le drame. 6. Les éléments constitutifs de la tragédie:

variés, représentant les différents types de personnages et servant de porte-voix, d’où leur nom en latin persona (« qui retentit ») - Les costumes sont somptueux, souvent à l’excès. La machina permet de faire descendre du ciel des dieux et héros qui amèneront une fin heureuse à la pièce (procédé du deus ex machina). C. Le public - Le spectacle est gratuit et accessible pour tous (femmes, enfants, esclaves). Un magistrat prend les dépenses à sa charge et les plus pauvres se voient même dédommagés