Dialogue Jean Berenger

La scène d’exposition , du début à « Jean et Bérenger se sont assis » p.15 Plan: I. Le cadre spatiotemporel. A. Le cadre spatial. B. Le cadre temporel. II. Le système des personnages A. Leur entrée en scène. B. Des systèmes d'opposition. III. La parole et l'action remises en question. A. Une parole marginalisée. B. La faillite du langage. → L'examen analytique du texte révélera effectivement l'importance des élé¬ments non verbaux de ce début de pièce. On s'interrogera sur l'éventuelle

a.La composition du texte Il débute par un dialogue entre Jean et Bérenger, maintenu jusqu'à la ligne 11. À ce moment, le premier illustre ses propos (" Je me sens léger ") d'un mime ridicule, signalé par les didascalies. Arrivent alors le Vieux Monsieur et le Logicien. Leur conversation se déroule, imbriquée dans celle des deux premiers locuteurs. En effet, le raisonnement concernant le fonctionnement du syllogisme, qui intéresse le Vieux Monsieur et le Logicien (l. 22 à 28), se trouve entrecoupé

massification du contenu faite par l’absurde. D’abord, le débat sur le rhinocéros à une ou deux cornes. « Jean : Non, ce n’était pas le même rhinocéros. Celui tout à l’heure avait deux cornes sur le nez, c’était un rhinocéros d’Asie ; celui-ci n’en avait qu’une c’était un rhinocéros d’Afrique. » (Page 46). Suite à cette affirmation de Jean, Bérenger c’est énervé. Leur altercation a dégénéré au point ou Jean a quitté. Un simple débat sur un rhinocéros ou deux a pris de telles proportions qui n’étaient plus

Lecture analytique n°1 : L’incipit , début à « Jean et Bérenger se sont assis » p.15 Questions préparatoires : 1. Qu'appelle-t-on au théâtre l'exposition ? 2. Quelles fonctions remplit traditionnellement la première scène ou l'ouverture d'une pièce de théâtre? 3. L'ouverture de Rhinocéros vous semble-t-elle remplir les fonctions traditionnelles d'une exposition ? Dans quelle mesure ? 4. A quoi tient l'originalité de l'écriture scénique de Ionesco en ce début de pièce ? Introduction

le deuxième tableau de la deuxième partie. L'histoire commence ainsi : Sur la place d'une petite ville tranquille de province, nos deux protagoniste, Jean et Berenger boivent un café et discute….Jean reste une personne avec un caractère affirme, extroverti, et il se dispute avec Berenger, home timide, introverti et trop calme pour les gouts de Jean… Tout à coup, un Rhinoceros traverse la place, avec grand bruit, dérangeant l'ordre établi. Tout le monde dans le café et sur la terrasse parle de ce

Système d'opposition En premier lieu, l'ouverture de la scène, présente deux couples soit : Bérenger et Jean puis la ménagère et l'épicière. De suite la première réplique de l'épicière annonce une situation de conflit avec la ménagère « ah celle- la ». L'entrée de ces deux personnage sont accentué par le manque de communication : elles ne s'adressent pas la parole . De plus avec l'arrivée de Jean et de Bérenger, l'opposition est très remarqué . Leur déplacement est très révélateur. Ils entrent des deux

sera inutile ; " l.18-19"C’est en vain que vous lui parlerez ". Cette scène est invraisemblable puisque les deux paysannes ne se rendent pas compte de la malhonnêteté de Don Juan. Tout d’abord le libertin domine le dialogue par la prédominance de ses répliques, c’est lui qui mène, il est donc un fin manipulateur qui caractérise de façon négative les deux femmes pour rejeter la faute sur l’une afin de gagner les faveurs de l’autre l.30 "Ne lui dites rien, c’est une folle"

le théâtre de l’absurde. • Place du passage : Deux amis discutent à la terrasse d’un café. • Genre : scène de dialogue théâtral • Titre : Rhinocéros → peau dure -> carapace : empêche les échanges avec les autres protection résistante animal vestige de temps révolus vêtements vert foncé des nazis Comment se prépare la transformation progressive des habitants, et plus précisément, de Jean et Béranger, dans ce passage ? • I – Présentation des personnages a) les oppositions au niveau physique b) les

qu'est-ce que c'est ? (Bérenger, toujours indo- lent, sans avoir l'air d'entendre quoi que ce soit, répond tranquillement à Jean au sujet de l'invitation ; il remue les lèvres ; on n'entend pas ce qu'il dit ; Jean se lève d'un bond, fait tomber sa chaise en se levant, regarde du côté de la coulisse gauche, en montrant du doigt, tandis que Bérenger, toujours un peu vaseux, reste assis.) Jean. — Oh, un rhinocéros !

l'arrivée de l'animal. La SERVEUSE. — Mais qu'est-ce que c'est ? (Bérenger, toujours indo-­ lent, sans avoir l'air d'entendre quoi que ce soit, répond tranquillement à Jean au sujet de l'invitation ; il remue les lèvres ; on n'entend pas ce qu'il dit ; Jean se lève d'un bond, fait tomber sa chaise en se levant, regarde du côté de la coulisse gauche, en montrant du doigt, tandis que Bérenger, toujours un peu vaseux, reste assis.) Jean. — Oh, un rhinocéros ! (Les bruits produits par l'animal s'éloigne-