Effet Werther

ont eu du courage, ce qui ne peut les rendre que matures. En effet cet exemple nous montre qu'il a toujours été important de prendre conscience des événement qui nous entourent sans oublier ses ambitions. Certaines personnes peuvent abuser de leur idéalisme en ne vivant qu'à travers celui-ci. Souvent, ces individus s'idéalisent un monde, car ils ne peuvent pas croire à la cruauté de la société. Le livre Les Souffrances Du Jeune Werther, un roman dont vous nous aviez parlé en cours, raconte l'histoire

Tempête et élan/assaut) et qui comme en Angleterre, regroupe de jeunes poètes qui valorise l’imagination, la passion, la liberté, volonté de désobéir aux règles de créations littéraires. L’œuvre majeur de ce mouvement est Les souffrances du jeune Werther Goethe 1774 il a un succès prodigieux mais avec un revers de la médaille. L’apparition du livre a entrainé une vague de suicide, donc il a eu une influence social. C’est la raison pour laquelle le livre a été une expression de véritable sentiments

littérature du Nord. En effet, Sturm Und Drang qui signifie en français « Tempête et élan » est un mouvement Précurseur du romantisme, son nom vient d’une pièce de théâtre de Klinger et naît en réponse au rationalisme dominant. Il prône la supériorité des sentiments, préfère la passion à la raison mais c’est avant tout un mouvement de contestation mené par la jeunesse. De nombreux romans vont émerger de ce mouvement, mais c’est le roman « Les souffrances du jeune Werther » de Goethe qui va le rendre

les personnages principaux acceptent leurs situations. Enfin ceci s’oppose aux personnages qui n’ont aucun contrôle des événements, qui subissent sans pouvoir rien changer. Ils sont montrés comme des victimes, ridicules sans le vouloir, banals. En effet, dans Manon Lescaut, Desgrieux se retrouve seul et manipulé par le frère de Manon. Dans le Père Goriot, le père est victime de l’inhumanité des filles et ne se rend pas compte de ce qu’il fait en perdant tous ses moyens… Dans la Chartreuse de Parme

l’évasion dans la nature, recherche le rêve. Elle a le besoin de s’épancher dans l’infini, ce qui s’oppose à la raison. Le romantisme est un souffle nouveau en réaction aux Lumières du XVIIIe siècle, à l’affirmation de la puissance de la raison. En effet, il se révolte contre l’omnipotence de la raison, les règles et une société figée qui, avec la fin de la Révolution et de l’Empire, empêche tout rêve de gloire et de rêve. Le monde est organisé rationnellement selon les lois de Newton, ce monde obéit

31/03/08 Dissertation Nombreux sont les romanciers qui ont créé des héros faibles, maladroits ou ridicules. Quel intérêt ce choix présente-t-il selon vous ? Au XIXème et au XXème siècles, nous avons pu voir l’évolution du personnage de roman. En effet, le personnage est passé de héros dans tous les sens du terme au terme d’antihéros : Robert Musil l’appelle même un « homme sans qualités », et pour Nathalie Sarraute, « le personnage n’est plus aujourd’hui que l’ombre de lui-même ». Le héros n’est

du fait de ses actions et de sa quête. Un autre exemple d’identification serait, à la suite de la publication du roman « Les Souffrances du Jeune Werther » de Goethe, une vague de suicide très forte se passa. L’explication psychanalytique de ce phénomène fut qu’une identification très forte se produisit au personnage du roman, qui se nomme Werther. Or, a la fin du roman, ce personnage se suicide, donc l’identification qui s’est faite à ce personnage était tellement forte que ces personnes ont terminées

seuls titres à rester dans le roman, avec Génie du Christianisme de Chateaubriand, la lecture obligatoire au couvent + Conférences qui rappelle qu'on n'est pas si loin de la révolution française... Pensons à Corinne, Atala, Les Souffrances du jeune Werther, Les Aventures du dernier des Abencérages, Graziella de Lamartine, les romans historiques de Walter Scott. Comment utilisera-t-il ceux qu'il ne cite pas ? → par des situations ou détails descriptifs ou rêves d'Emma. personnages historiques centrés

Edouard Levé, Yves Navarre, Christophe de Ponfilly, Raymond Roussel…) souvent suite à une trop vive critique ou à un accès de folie. Car la littérature peut aussi entraîner la folie. Car, comme l’a dit Barthes, « Tout écrivain est un névrosé ». En effet, certains écrivains ont succombé à la démence suite un ouvrage peu ou très peu reconnu. Car la production une œuvre satisfaisant est souvent le fruit d’un dur labeur et de beaucoup de temps. Certains auteurs, à force d’une masse trop importante de

épistolaire   Historique :   - Cette forme littéraire émerge en 1669 avec Lettres portugaises de Guilleragues.   - Au XVIII° siècle, on note en Angleterre Richardson avec Clarisse Harlowe, en Allemagne Goethe et Les souffrances du jeune Werther,  tandis qu’en France s’impose Montesquieu (Lettres Persanes) puis à la fin du siècle Rousseau (La nouvelle Héloïse) et Laclos (Les Liaisons dangereuses). C’est son apogée.   - Au XIX° siècle, Balzac poursuit perpétue l’utilisation de cette forme