En Bateau De Paul Verlaine

<<Le Bateau ivre>> et vers 1872 et 1875, il a présenté un recueil des poèmes en prose, <<Illuminations>> qui montrait son fureur poétique au comble. Rimbaud a rencontré Paul Verlaine en 1871 qui a devenu son amant. Ils sont vécu ensemble, mais ils se sont souvent disputés à cause de leur mauvaise situation de l'économie. Tandis que Verlaine aimait tellement Rimbaud qu'il a quitté sa jolie femme, l'amour de Rimbaud a peu à peu diminué. Enfin, en étant comlètement ivre Verlaine a tiré

Georges Izambard, âgé de 21 ans, poète à ses heures, féru de Baudelaire et des poètes parnassiens, auquel il adressa en 1870 et 1871 des lettres qui sont devenues célèbres. Il a pour amis et condisciples Ernest Delahaye - son futur biographe - et Paul Labarrière, avec lesquels il découvre la nouvelle poésie dans l'Anthologie du Parnasse contemporain (trois volumes collectifs de poésie), en 1866. En mai 1870, Rimbaud envoie trois poèmes à Banville, le poète « moderne » du moment: Sensation, Ophélie

son poème Le Bateau ivre. Ces textes sont essentiels pour comprendre la dimension radicalement nouvelle que Rimbaud veut donner à sa poésie. Séduit par Paris, fasciné par Verlaine qui l'y invite, Rimbaud coupe avec Charleville et se lance dans l'univers de la bohème littéraire de son époque. Devenu amis, ils partent tous deux en Angleterre en 1872. La relation de Verlaine et de Rimbaud est très souvent orageuse. La rupture se fait en 1873 quand, à l'occasion d'une dispute, Verlaine tire sur Rimbaud

retrouver Izambard il se rend à Douai où son professeur arrive quelques jours plus tard avec comme ordre de Vitalie Rimbaud de le faire escorter à la maison familiale par des gendarmes. Ce qui fut fait le 1er novembres1870. Entre temps il s’est rendu chez Paul Demeny, ami de son professeur, pour lui déposer des poèmes dans l’espoir de les voir éditer. Mais le 10 juin 1871, Arthur écrira à Demeny lui disant : « … Brûlez tous les vers que je fus assez sot pour vous donner lors de mon séjour à Douai ». Le 25

symbolisme estime que la poésie réaliste est trop froide et que le roman réaliste et surtout naturaliste (réalisme poussé à l’extrême comme chez Zola) tourne au document ou au reportage. Comme exemple de poème qui se tourne vers le symbolisme : «Le Bateau ivre». - le romantisme : Il s'esquisse par la revendication des poètes du « je » et du « moi », qui veulent faire connaître leurs expériences personnelles et faire cesser cet aspect fictif attribué aux poèmes et aux romans. Comme exemple de

voyant par un long immense et raisonné dérèglement de tous les sens […]. » Aussi pour cette quête des sens il lui faut partir : il multiplie les fugues, il partit du foyer familial dès ses 16 ans pour Paris où il y rencontrera ses ainés et son pareil Verlaine qui le surnommera « L’homme aux semelles de vent ». Puis enfin, ne fut t’il pas également ce négociant aventureux jonglant tour à tour avec la vie, tantôt trafiquant d’armes, exportateur, photographe, et tantôt militaire mais pour un temps seulement

Tout juste rentré à Charleville (le 25 septembre), Arthur s'enfuit à nouveau le 7 octobre, à pied cette fois, jusqu'à Charleroi puis Bruxelles avant de revenir chez les demoiselles Gindre à Douai. Là, il termine de recopier ses poèmes à l'intention de Paul Demeny, un jeune poète que lui a présenté Izambard et qui vient d'être publié. Le 1er novembre, sa mère le fait ramener de force au domicile par la police. L'école étant fermée, Arthur mène, fin 1870, une vie d'oisiveté et de lectures interrompues

PAUL VERLAINE Fils d'un officier napoléonien, Paul Verlaine étudie à Paris au lycée Bonaparte. Il travaille par la suite à l'hôtel de ville de la capitale. Supportant mal cet emploi, il fréquente les cafés et leurs poètes et commence son idylle avec l'alcool. Cette compagnie l'incite à rédiger ses premiers vers, emprunts de mélancolie, où se mêlent préciosité et personnages de la commedia dell' Arte (' Fêtes galantes' 1869). En 1870, il fait la connaissance de Mathilde Mauté, qu'il épouse. Il

célèbres, parmi lesquels siège Paul Verlaine. Rimbaud atteint alors sa maturité poétique et compose Les Premières Communions et Le Bateau Ivre. Il se montre toujours plus provocateur à l’égard de la société parisienne excédée, si bien que Verlaine le pousse, à regret, à quitter la capitale. Mais en 1872, Rimbaud se présente à nouveau à Paris, avant de quitter la ville en juillet, cette fois en compagnie de Verlaine. Rimbaud entretient alors avec

de Sedan, Arthur trompe la vigilance de sa mère et se sauve avec la ferme intention de se rendre dans la capitale. Rimbaud commet sa première fugue. L'année suivante, en 1871, lors d'une nouvelle escapade, il fait la connaissance à Paris de Paul Verlaine à qui il avait envoyé ses poèmes. Ce dernier, de dix ans son aîné, lui avait alors adressé l'invitation suivante : "Venez, chère grande âme, on vous appelle, on vous attend". Aussitôt Rimbaud accourt, avec, pour tout bagage, quelques poèmes…