Escherichia coli

mode semi-conservatif de duplication où chaque brin ancien sert de matrice à la synthèse d'un nouveau brin (la moitié de la molécule-mère est ainsi conservée). Taylor (1957), sur des racines, puis Meselsohn et Stahl (1958), sur la bactérie Escherichia coli, confirmèrent le modèle grâce à des expériences de marquage nucléotidique (autoradiographie): Le modèle de réplication de l'ADN Le modèle de réplication de l'ADN Le modèle de réplication de l'ADN ● ● Le brin d’ADN qui sert

plus petit, 1 seul type d’acides nucléiques, parasites obligatoires). [pic] LES BACTERIES [pic] La taille : ■ 1µm de diamètre sur quelques µm (microns) de longueur (mycoplasme< E. coli< Bacillus) ■ Microscope optique x103 ■ Microscope électronique x106 □ Escherichia coli □ 10-12 g 70% d’eau La paroi bactérienne le peptidoglycane (ou mucopeptide ou muréïne) ■ Presque toutes les bactéries ont une paroi (exception: mycoplasme) ■ Macromolécule

fonctionnelles. Leur taille est comprise entre 0,01 et 10 µm. Les différentes formes existantes :  Les coques : ils sont sphériques. Les différents assemblages de coques proviennent de la division cellulaire.  Les bâtonnets (bacilles) : ils sont droits (coli bacille), incurvés comme les vibrions (exemple : Vibrio cholerae). On peut aussi trouver des formes irrégulières et enflées aux extrémités (exemple : mycobacter, corybacter). Une autre forme possible est la forme coccobacille (exemple : Serratia

quant à elles ont été découvertes par les chercheurs Xu et Hinnman. Lewis a concentré ses efforts dans la découverte d’un moyen pour cloner ces gènes MaSp dans des micro-organismes. Lewis a ainsi exprimé ces gènes de N. clavipes dans la bactérie Escherichia coli. Une large gamme d’organismes hôtes hétérologues, incluant les bactéries, les levures, les cellules mammaires, plantes transgéniques, animaux ou insectes ont été séléctionnés comme hôtes pour la production de la protéine de soie d’araignée.

|2 - la bactérie développe des systèmes de régulation pour contrôler cette période de carence | | |en adaptant son métabolisme pour faire un maximum d'économie. C'est le cas de Escherichia | | |coli. | | |

division (mitose).Leur classification est basée sur la morphologie (microscopique) :-Sphérique : cocci-Bâtonnets : bacillesColoration de Gram :Violet : Gram +Rose : Gram -Exemple: Cocci Gram+ : staphylocoques, streptocoques. Bacille Gram - : Escherichia coli. 2. Pouvoir pathogène a) Germes saprophytesChez l’homme, 100 fois plus de bactéries que de cellules.Localisation: peau, muqueuses, intestin… Sites stériles: organes internes, sang, urines…Leur présence chez l’homme ne provoque pas de maladie

(23% si méningite chez prématuré), séquelle neurologiques : 25% sans et 40% si méningite. Infection tardives à SGB : 45% méningite, pas d’effet de l’antibioprophylaxie Dépistage SGB : écouvillonnage vaginale, tests biologie moléculaire * Escherichia coli 2 ème agent bactérien responsable d’IMF après le SGB (20 à 40 %). Certaine souches sont impliquées dans les infections néonatales (méningites). Elles possèdent une capsule de sérotype particulier : sérotype K1, antigène proche du méningocoque

bactérie, généralement de l’espèce Escherichia coli. On cultive des colonies de Escherichia Coli transformées pour préparer une plus grande quantité de plasmide à injecter car ces bactéries se reproduisent vite et donc permettant d’avoir une grande quantité de plasmide transformé qui sont partie intégrante de la bactérie et lui conférant ainsi des caractéristiques du gêne d’intérêt. Troisième étape: La troisième étape a pour but de sélectionner les bactéries Escherichia Coli qui ont été modifiées : c’est

CHASE En 1952, Hershey et Chase étudient la reproduction du bactériophage T2 dans la bactérie Escherichia coli (qui deviendra le monstre sacré de la génétique moderne) et emploient une technique qui va se développer rapidement : l'utilisation d'isotopes radioactifs comme traceurs, comme marqueurs permettant de suivre la destinée de macromolécules. Dans un premier temps, ils cultivent les bactéries (E. coli) sur un milieu contenant du phosphore 32 (32P) et du soufre 35 (35S), après un certain temps

paires de bases, flanquée de part et d'autre de séquences répétées, simple brin de 12 paires de bases. Ces séquences cohésives sont appelées séquences « cos ». Le phage lambda possède un spectre d'hôte très restreint, principalement limité à Escherichia coli et des espèces proches. Le phage lambda fut découvert par Esther Lederberg en 1950 , et est devenu un organisme modèle et outil très utilisé en biologie moléculaire. [pic] Figure 1 : génome du phage lamda. Deux parties sont individualisées