Escherichia coli

MME B MOTIF D’HOSPITALISATION Patiente de 72 ans adressée par les urgences le 18/11/14 pour un syndrome infectieux par Escherichia coli suite à une infection urinaire, mise sous isolement protecteur. Mme B vit seule à son domicile. Elle a une aide à la toilette par une auxillaire de vie 1h /jour sauf le dimanche, une aide ménagère et le portage des repas mais n'a pas de téléalarme. Bilan d’autonomie : Personne aveugle ayant besoin d'aide pour : Aide totale aux repas Aide totale

microbiote intestinal 500 espèces : - large prédominance des espèces anaérobies strictes qui sont chacune en très grande quantité: 1011/gr de selles, - des espèces anaérobies facultatives dont des entérobactéries. Une espèce à retenir l’espèce Escherichia coli : 108/gr de selles. ● = cocci ▬ = bacilles Colonisation bactérienne résidente Flore résidente ou commensale = convivialité entre les différentes espèces de bactéries et entre elles et l’hôte qui les héberge = vie en symbiose Colonisation

marchande .............................................................................. 106 Manipulation 10 Recherche dans les semi-conserves des Enterobacteriaceae avec preenrichissement ................... 117 Manipulation 11 Denornbrernent des Escherichia coli P-glucuronidase positive dans le carnernbert par denombrement des colonies a 44 "C ........................................................................................... 119 Manipulation 12 Denornbrernent des microorganisrnes lipolytiques

la forme d’infection urinaire la plus courante, la cystite touche presque uniquement les femmes. Il s’agit de l’inflammation de la vessie. La plupart du temps, l’inflammation est provoquée par la prolifération de bactéries intestinales de type Escherichia coli, qui sont nombreuses aux environs de l’anus. Les bactéries passent de la région anale et vulvaire à la vessie en remontant l’urètre. Tout ce qui gêne la vidange de la vessie augmente le risque de cystite. La cystite s’accompagne toujours d’une

Like other retroviral reverse transcriptases, the HIV-1 enzyme does not correct errors by exonucleolytic proofreading. Measurements with M13mp2-based fidelity assays indicated that the HIV-1 enzyme, isolated either from virus particles or from Escherichia coli cells infected with a plasmid expressing the cloned gene, was exceptionally inaccurate, having an average error rate per detectable nucleotide incorporated of 1/1700. It was, in fact, the least accurate reverse transcriptase described to date

T2 dans la bactérie Escherichia coli (qui deviendra le monstre sacré de la génétique moderne). La figure ci-contre rappelle le mode de reproduction très particulier des bactériophages (plus simplement : phages). Hershey et Chase vont utiliser une technique qui va désormais se développer rapidement : l’utilisation d’isotopes radioactifs comme traceurs, comme marqueurs, permettant de suivre la destinée de macromolécules. Dans un premier temps, ils cultivent les bactéries (E. coli) sur un milieu contenant

microorganismes eucaryotes (champignons et protozoaires), T.D oRecherche et exposés bibliographiques sur les microorganismes, leurs rôles et importance et les grandes méthodes d'études de la Microbiologie. T.P oÉtude de la croissance bactérienne (Escherichia coli) et des différentes étapes du cycle de multiplication d'un de ses phages, oÉtude de la diversité microbienne des milieux naturels. Compétences acquises : Connaissances de bases en microbiologie, réalisation de mémoires bibliographiques et

Le diagnostic est retenu si : Leucocytes > 104/mL Ou Bactériurie CFU > 105/mL Une fois la bactérie identifiée, l’antibiogramme permet de confirmer ou pas le traitement antibiotique probabiliste initial. Microorganismes responsables Escherichia coli Proteus mirabilis Klebsiella sp. Staphylococcus sp. Streptococccus sp. Autres bacilles à Gram négatif Traitement ère 1 Cystite aigue simple (absence de comorbitidés) intention : Nitrofurantoïne (Furadantine®) 100 mg (1-1-1)

Bacteroides spp, Fusobactrium spp, Bifidobacterium, Clostridiumspp, Eubacterium, Enterobacteriaceae dont Escherichia coli, Enterococcus spp. IV- Flore du tractus uro-génital  Flore du tractus urinaire L’urine jusqu’à l’urètre est stérile. Ce n’est qu’après qu’elle peut contenir des bactéries. L’urine est stérile mais il peut y avoir une colonisation par des entérobactéries comme E coli pathogène opportuniste.  Flore vaginale Origine typiquement intestinale Modifié par l’acidité (acide lactique)

E. coli, P. aeruginosa, Enterobacter et Klebsiella Analyse : pourcentage de résistance et nombre de souches résistantes (intermédiaires ou résistantes) pour 1000 journées d’hospitalisation , Micro organisme DCI Nombre de souches testées 13101 6723 3671 2924 26378 Taux de résistance pour 1000 journées d’hospitalisation 0,85 0,41 0,06 0,06 1,42 Staphylococcus Oxacilline aureus Pseudomonas Ciprofloxacine aeruginosa Cefotaxime Klebsiella spp Cefotaxime Enterobacter spp Escherichia coli