Fantômas

souvent les personnages principaux d’œuvres comiques de la littérature, de la bande dessinée ou encore au cinéma. Le héros négatif, porteur de valeurs anti-héroïques et en général antisociales, mais sans qualités « héroïques » (comme par exemple, Fantomas qui est un héros négatif mais non un antihéros car il est porteur de qualités héroïques, mais au service du mal). Ce cas domine dans la littérature et le cinéma « noirs » centrés sur la figure du gangster ou du meurtrier (comme par exemple Hannibal

pas moi ! " Dès 1910, il tentera de tuer son héros dans 813 mais il le ressuscite dans Le Bouchon de cristal, Les Huit Coups de l’horloge, La Comtesse de Cagliostro... Son œuvre inspira Gaston Leroux (Rouletabille), ainsi que Souvestre et Allain (Fantômas). Une Association des amis d’Arsène Lupin a été fondée ; elle est présidée en 2004 par Lydie Dabirand. Les exploits d’Arsène Lupin se déroulaient dans la capitale et dans le pays de Caux, qu’il connaissait bien : collectionneur de cartes postales

Communisme. Il travaille alors dans le journalisme et, grand amateur de musique, il écrit des poèmes aux allures de chanson et crée avec un grand succès le 3 novembre 1933, à l’occasion du lancement d’un nouvel épisode de la série Fantômas à Radio Paris « la Complainte de Fantômas ». -Victor Hugo : Né à Besançon en 1802, il prit rapidement conscience (à l'âge de treize ans) de sa vocation littéraire, ses premiers poèmes lui ayant valu bon nombre de récompenses, y compris deux "mentions" de l'Académie

cours de peinture. Il déménage tout au long de son enfance. En 1912 sa mère se suicide par noyade dans la Sambre. Le reste de la famille déménage alors à Charleroi. Il poursuit ses études à l'athénée de la ville et devient fan de plusieurs films dont Fantômas, lit Stevenson, Edgar Poe, Maurice Leblanc et Gaston Leroux. En 1913, lors de la foire de Charleroi, il rencontre une fillette qui deviendra plus tard sa femme; Georgette Berger. C'est à partir de 1915 qu'il sortira ses premières œuvres impressionnistes

et travaille en total indépendance. Son premier recueil Corps et biens paraît en 1930. C'est grâce au journalisme qui lui permet de développer des propositions : ainsi, il conçoit, avec Antonin Artaud notamment, le feuilleton La Complainte de Fantômas et crée par la suite des émissions dont il anime. Face à la montée du totalitarisme en Europe, l’engagement politique de Robert ne cesse de s’intensifier. Choqué par la guerre,  il adhère à plusieurs mouvements antifascistes. En février 1944

me verrais mal entrer dans une boutique de prêt à porter et tomber sur une vendeuse affligée d’un voile intégral, passer à un guichet où je ne vois pas le visage de mon interlocutrice, ou encore monter dans un bus dont le conducteur ressemble à fantomas. Ces femmes qui font le choix ou sont obligées de porter la burqa se privent du monde du travail. Elles sont donc dépendantes de leur mari sur le plan financier ce qui n’arrange pas leur possible envie d’émancipation. La burqa peut donner l’impression

l'orienter vers le Communisme. Il travaille alors dans le journalisme et, grand amateur de musique, il écrit des poèmes aux allures de chanson et crée avec un grand succès le 3 novembre 1933, à l'occasion du lancement d'un nouvel épisode de la série Fantômas à Radio Paris la Complainte de Fantômas.Le poète devient ensuite rédacteur publicitaire mais concerné par la montée des périls fascistes en Europe, il participe dès 1934 au mouvement frontiste et adhère aux mouvements d'intellectuels antifascistes

suicide par noyade dans la Sambre5. Magritte et ses deux frères habitent l'année suivante à Charleroi avec leur père qui confie leur éducation à des gouvernantes6. Il fait ses études à l'athénée de la ville et se passionne alors pour les films de Fantômas, lit Stevenson, Edgar Allan Poe, Maurice Leblanc et Gaston Leroux. Lors de la foire de Charleroi, il rencontre en 1913 une fille de treize ans, Georgette Berger, dont le père est boucher à Marcinelle. Ils se rencontrent régulièrement sur le chemin

mais je sens bien que je perdrais la face si je ne donnais pas un nom à ce théâtre. Il est pour moi un théâtre d'aventure, prenant ce mot dans le sens même où l'on parle de roman d'aventure. Il est théâtre de cape et d'épée, illogique comme l'est Fantômas, invraisemblable comme l'est l'Ile au Trésor, aussi irrationnel que les Trois mousquetaires. Mais comme eux poétique et burlesque, et exaltant, et comme eux passionnant. Il viole constamment, je le sais, « la règle du jeu ». Il est pourtant le

de personne intelligente, droite et honnête, en étant remplacé par quelqu'un de moins recommandable. Les criminels viennent alors occuper le devant de la scène et volent la vedette aux détectives et policiers quitte à tourner au ridicule (ex : Le Fantômas). De plus, dans les années 1920 aux Etats-Unis sont nés les « romans de privés », des romans policiers mettant en scène des héros très francs (souvent des détectives). Ces romans sont très accès sur l'action (au détriment du roman à énigme) car