Four crématoire

salle des fours du crématoires III L’artiste : David Olère né le 19 janvier 1902 à Varsovie en Pologne et mort le 2 août 1985 à Noisy-le-Grand en France est unpeintre et sculpteur juif polonais, naturalisé français en 1937. Détenu au camp d'Auschwitz-Birkenau de 1943 à 1945, il est employé dans une équipe de Sonderkommando. Après la guerre, il ne cesse detémoigner de son expérience concentrationnaire par le dessin et la peinture. Le tableau : La salle des fours du crématoire III a été peint

SS. Il a mi son art au service du temoignage, ses oeuvres sont sans equivoque, ses tableau montrent l'horreur et l'atrocité des camps de concentration. La plupart de ces oeuvres sont tres réalistes concrete et ressemblantes.(ex la salle des four du crematoire 3/photo ss/) L'oeuvre les inaptes au travail est une penture mesurant 131 x 162 cm , et elle est conserver au mémorial de l'heritage juif, a new york. L'oeuvre a été réaliser dans les années 1950 mais la date precise n'est pas communiquer

salle des fours du crématoires III L’artiste : David Olère né le 19 janvier 1902 à Varsovie en Pologne et mort le 2 août 1985 à Noisy-le-Grand en France est un peintre et sculpteur juif polonais, naturalisé français en 1937. Détenu au camp d'Auschwitz-Birkenau de 1943 à 1945, il est employé dans une équipe de Sonderkommando. Après la guerre, il ne cesse de témoigner de son expérience concentrationnaire par le dessin et la peinture. Le tableau : La salle des fours du crématoire III a été peint

langues — polonais, russe, yiddish, français, anglais et allemand qui le rendent utile aux SS. Il écrit pour eux des lettres à leurs proches dans une élégante calligraphie y ajoutant des illustrations. Lors de ses journées de travail dans les fours crématoires Il est témoin de la cruauté sans limites des nazis. Le gazage, la collecte des dents en or sur les cadavres, les viols des femmes juives et les expérimentations médicales. Malgré ces conditions de vie déplorable il survit à la « Marche de la Mort »

concentration répondant à des besoins pénaux, il possédait aussi une chambre à gaz et un four crématoire. Une chambre à gaz improvisée fut créée dans les sous-sols de la prison du camp (appellée le "bunker"), au Bloc 11, c'est-à-dire dans le batiment 11. Elle resta en activité jusqu'en octobre 1942. Une deuxième chambre à gaz, plus grande, et permanente, fut plus tard construite dans le batiment du crématoire. Les médecins SS se livrèrent à des expériences médicales dans l'hôpital, au Bloc 10. Ils

faits ces dessins, c'est-à-dire au retour de David Olère : le citoyen français ordinaire ne savait alors rien de l’extermination à Auschwitz-Birkenau et a fortiori de ce qu’il en était du quotidien à l’intérieur des crématoires. dessin David Olère fours Auschwitz Birkenau crématoire Ce dessin de 1945, en revanche, donne quantité de précisions "documentaires" : on y voit le monte-charge qui permettait d’amener une dizaine de corps à la fois depuis le sous-sol où était donc la chambre à gaz, mais

1943. Le 20 février il est arrêté par la police française, interné à Drancy puis déporté à Auschwitz le 2 mars. Arrivé au camp il est sélectionné pour le travail et commence par être terrassier. Il fera ensuite partie du Sonderkommando envoyé au Crématoire III de Birkenau. S'il est parvenu à être utile aux SS, c'est grâce à ses talents d'illustrateurs et à sa connaissance de plusieurs langues, tels que le polonais, le russe, le yiddish, le français, l'anglais et l'allemand. Il sera alors témoin et

centaines de prisonniers juifs immatriculés au camp de concentration d’Auschwitz sont affectés au fonctionnement de l’appareil d’extermination mis en place à Birkenau. Ces membres du Sonderkommando, chargés d’intervenir dans les chambres à gaz et les crématoires, ont accès aux événements que les nazis s’efforceront de dissimuler jusqu’au bout. Dans ce but, la quasi-totalité d’entre eux est assassinée par les SS. David Olère fait partie de ceux qui ont survécu. À son retour en France, cet artiste décrit

troisième : Pendant les trois jours qui précédaient une exécution, avec ni possibilité de s’asseoir ni de se coucher, pain et eau. A côté il y avait le block crématoire où les corps était brûlés, les cendres était disposées dans un genre de fosse commune. L’eau des douches avec laquelle les détenus se lavaient était chauffée grâce au four crématoire. Sur toute la longueur du camp se trouvait le ravin de la mort. Beaucoup de déportés y sont morts. Facilement envisageable si on prend en compte qu’ils n’avaient

envoyé à Drancy (camp d'internement) puis déporté à Auschwitz (camp de concentration et d'extermination en Pologne) Activités au camp : Illustre les cartes postales des SS + Sonderkommando (détenu juif chargé de vider les chambres à gaz) au crématoire III d'Auschwitz-Birkenau 3. Situer l'oeuvre : A] Contexte historique : Œuvre réalisée après la fin de la 2nde GM, après la libération des camps d'exterminations et de concentrations dont les populations ne savaient presque rien. B] Contexte