Four crématoire

et furent ainsi les premières à pénétrer dans un important camp de mise à mort. Surpris par la rapidité de l'avance soviétique, les Allemands tentèrent de dissimuler les preuves du meurtre de masse, en démolissant le camp. Ils mirent le feu au four crématoire principal utilisé pour brûler les corps des prisonniers assassinés mais, dans la hâte de l'évacuation, les chambres à gaz restèrent intactes. Durant l'été 1944, les Soviétiques parvinrent également sur les sites des camps de mise à mort de Belzec

squelettiques, presque morts. Au deuxième plan à gauche une lignée de déportés gisant sur le sol avec un soldat nazi faisant souffrir l’un d’eux et à droite le second soldat nazi sur le corps de l’autre déporté. Enfin au troisième plan : le four crématoire dans un ciel sombre. Les couleurs qui dominent cette œuvre sont : le rouge et bleu, couleurs froides et chaudes.

David Olère est un peintre et sculpteur juif polonais, naturalisé français en 1937. Détenu au camp d'Auschwitz-Birkenau de 1943 à 1945, il est employé dans une équipe de Sonderkommando (groupe de detenu chargée de bruler les cord dans les fours crématoires). Après la guerre, il ne cesse de témoigner de son expérience concentrationnaire par le dessin et la peinture Martin Louis Amis, né le 25 août 1949 à Swansea, au Pays de Galles. Son père, Sir Kingsley Amis, était le fils d’un employé d’une manufacture

Photo 2 Source : WIKIDEDIA L’encyclopédie libre. Ce sont les quatre crématoriums du camp de Birkenau et leurs chambres à gaz conçues dans un complexe qui incorpore également salle de déshabillage et four crématoire, incarnant l’ultime stade industriel du processus de la « SOLUTION FINALE » nazie. Une chambre à gaz est généralement un dispositif destiné à donner la mort, consistant en une pièce hermétiquement close dans laquelle un gaz toxique ou asphyxiant

spolier, les déporter dans les camps de concentrations grâce a des trains a bétail et les trier. A l’issue de ce tri, deux groupes furent formés, les aptes et les non-aptes à travailler. Les non-aptes furent envoyés à la chambre à gaz puis au four crématoire afin de s’en débarrasser tendit que les aptes furent envoyés à la labeur et durent travailler dans d’horribles conditions. A cette même époque, Steve Reich vit un moment difficile de sa vie car il est encore tout petit et ses parents divorcent

écumes monstrueuses »=> narrateur omniscient Conditionnel présent = répercussion dramatique Apocalypse => image dégradante de l’Homme « entassement » « pourrir » « mourrants s’accrochant aux vivants » b. Représentation de l’horreur nazie « Four crématoire » « vapeur épaisse et nauséabonde » Mal => annéantissement totale « flammes dévorantes » Haine légitime+stupides espérance => absurde, incohérence du monde (cf tarrou) Tramways = trains de la mort + geste cérémoniale des fleurs (décalage)

d’etre executer. Le cadavre au dessus rappelle la mort, il les retient pour leur montrer que la mort les tient, qu’il ne pourront pas s’en sortir. Les couleurs rouge est noir sont les couleurs qui font penser au sang et au deuil. Les fumée des four crématoire du 3eme plan sortent le signe de SS afin de denoncer l’auteur du crime. IMPRESSION PERSONNELLE : Cette œuvre ma beaucoup touché, elle m’a montrer la violence qu’il y a put avoir dans ces camps, l’horreur que les juifs on du enduré, la peur

couleurs destinés à catégoriser les détenus. [pic] 15. Monument de la résistance à Liège [pic] 10. Des détenus jouant du violon [pic] 11. Á l’arrivée des wagons, certains ont déjà succombé aux mauvaises conditions. [pic] 12. Four crématoire [pic] 12. Vue d’un camp de concentration [pic]

morts Chambre à gaz Nazie pouvant contenir 2000 à 3000 personnes Travaux forcés dans la carrière du camp de concentration de Mauthausen. Autriche Four crématoire du camps d'Auswitch qui servait à incinérer les corps des déportés Juifs. Les camps de concentration : Il s'agit d'une installation de détention où l'on enferme, généralement sur simple décision

puis cadavres brûlés dans des crématoires Ceux qui étaient sélectionnés étaient transportés par le personnel du T4 au "sanatorium" qui faisait office de centre de gazage. On annonçait aux victimes qu'elles allaient faire l'objet d'une évaluation physique et qu'elles allaient prendre une douche désinfectante. Au lieu de cela, elles étaient tuées dans des chambres à gaz avec du monoxyde de carbone pur. Leurs corps étaient immédiatement incinérés dans le four crématoire des installations de gazage.