François Tombalbaye

indépendant en 1960. Des rébellions éclatent, des rivalités explosent. La France intervient militairement en 1968 pour soutenir le régime de François Tombalbaye; un putch échoue en 1971. En 1973, la Libye occupe la bande d'Aouzou. Une année plus tard, les rebelles Toubous prennent en otage l'ethnologue française Françoise Claustre. En 1975, le Président Tombalbaye est tué lors d'un coup d'état militaire. Le général Malloum est promu à la tête du pays. La France accepte de payer la rançon exigée pour

pays. En 1960, François Tombalbaye est investi président. Il confisque progressivement les pouvoirs (parti unique, cumul des fonctions) et institue une politique d’authenticité Sara et de discrimination des musulmans, ce qui suscite des insurrections dans le Guéra en 1965 et 1968. En 1965, les rebelles musulmans se réfugient au Soudan où ils fondent en 1966 le Front de libération nationale du Tchad[1] (FROLINAT), avec pour objectif de renverser le régime sara. En 1975, F. Tombalbaye est assassiné

affrontements interethniques, des révolutions de palais, des rébellions armées soutenues par l’étranger (généralement la Libye, aujourd’hui le Soudan) : avec cette particularité que les régimes successifs, à commencer par le tout premier, celui de François Tombalbaye (renversé et assassiné en 1975), furent toujours peu ou prou instrumentalisés par l’ancien colonisateur, qui entretient sur place une force armée non négligeable. Le Tchad, un des plus beaux symboles de la Françafrique, où, de Malloum en Goukouni

d’elle une périphérie à la fois dortoir et touristique du centre. Sans oublier le Saint-Esprit qui est peu développer en surface commerciale et/ou industrielle et ne possède pas non plus de surface maritime, il s’agit également d’une ville dortoir. Le François possède deux fonctions à la fois dortoir mais également une économie assez développé pour offrir des emplois au franciscain, d’autant que les habitants de cette ville sont plus ou moins chauvin et préfère embaucher en priorité des franciscains.

vulnérable » à « espèce en danger ». Lire la suite Contenus de qualité • Bons contenus • Sélection • Programme Actualités et événements 27 avril : Gjorge Ivanov (photo) est réélu président de la République de Macédoine. 27 avril : le pape François canonise ses prédécesseurs Jean XXIII et Jean-Paul II en présence de Benoît XVI. 26 avril : Teddy Riner, sextuple champion du monde de judo, remporte un quatrième championnat d’Europe poids lourds. 22 avril : le déraillement d’un train de marchandises

nous confessons un Christ sans Croix, nous ne sommes pas disciples du Seigneur : nous sommes mondains, nous sommes des Évêques, des Prêtres, des Cardinaux, des Papes, mais pas des disciples du Seigneur. MESSE AVEC LES CARDINAUX HOMÉLIE DU PAPE FRANÇOIS Chapelle Sixtine Jeudi 14 mars 2013   Dans ces trois lectures je vois qu’il y a quelque chose de commun : c’est le mouvement. Dans la première lecture le mouvement sur le chemin ; dans la deuxième lecture, le mouvement dans l’édification de l’Église

de ses fidèles, et quoi de mieux qu’un conclave bien médiatisé pour tenir en haleine les croyants du monde entier ? Conclave qui s’est achevé ce mercredi 13 mars, nous dévoilant comme pape l’argentin Jorge Mario Bergoglio, à présent rebaptisé « François Ier ». Il s’agit du premier pape venu du continent américain ainsi que du premier cardinal jésuite à devenir souverain pontife. Le monde entier n’aura donc pas du attendre très longtemps afin de pouvoir entendre la fameuse formule « Habemus Papam »

Jorge Mario Bergoglio4 est né le 17 décembre 1936 au 531 de la rue Membrillar5 dans le quartier populaire de Flores, au cœur de Buenos Aires6. Son père, Mario Josè Bergoglio, est un immigré italien venu du Piémont en 19297 et sa mère, Régina Maria Sivori, née en Argentine, est fille d'immigrés italiens venant de Ligurie8. Le petit Jorge Mario est baptisé le 25 décembre 1936, jour de Noël, par le père Enrique Pozzoli (qui fut plus tard son directeur spirituel9) en la basilique Saint-Charles-Borromée-et-Marie-Auxiliatrice

Le changement de ton bienvenu du pape François LE MONDE | 30.07.2013 à 10h52 • Mis à jour le 30.07.2013 à 12h19 Edito du Monde. D'homélies en confidences, le pape François imprime sa marque. Ce pontife argentin, qui vit une cohabitation inédite avec son prédécesseur, Benoît XVI, n'entend pas révolutionner la doctrine de l'Eglise catholique. Mais il veut "positiver" son message, offrir l'image d'une Eglise qui ne multiplie pas les anathèmes, les interdits et les oukases, mais qui accueille, écoute

(Lebrec), racontant beauté des femmes, splendeur des paysages, ironie des situations, sons, couleurs, odeurs, la pensée jaillit du récit concret pour marquer durablement ses lecteurs jusqu'au xxie siècle avec des gens comme André Manaranche ou le pape François..