François Viète

d'abbaque » que ces maîtres nous ont laissé et étudiés que depuis peu par les historiens des sciences[]. C'est suite aux travaux de Cardan et de Bombelli que les nombres complexes furent introduits. C'est le travail entrepris par Jérôme Cardan, Viète, Descartes qui développe fortement l'algèbre en Europe. René Descartes (1596-1650) combina la nouvelle algèbre avec la géométrie, créant ainsi la géométrie analytique. Cette dernière, avec ses équations de courbes, conduisit tout naturellement à la

une véritable rupture et fonder un nouveau domaine des mathématiques. François Viète franchit un pas sur la voie du symbolisme algébrique. Il s’agit de la création d’un calcul portant uniquement sur les lettres, exposé dans un court traité, In artem analyticem (1591). Avant lui, certains algébristes utilisaient déjà des caractères pour désigner l’inconnue et ses puissances, et parfois même des lettres. La grande idée de Viète est d’avoir généralisé l’utilisation des lettres aussi bien pour désigner

augmenter n de 2 encore une fois. On a donc n = n + 2 + 2  Ainsi on obtient n = n + 4 On peut donc réaliser l’approximation de PI à 10-6 Nous avons par la suite calculé les valeurs de PI avec des manières différentes comme : Formule de François Viete : Quelques figures célèbres Afin de vous exposer les résultats que nous avons obtenus on a décidé d’afficher les graphiques des fonctions calculées :

disait très versé dans toutes les parties des mathématiques,... je passe sous silence ses belles mécaniques qui font l'admiration des connaisseurs. Je ne dis rien non plus des diverses horloges qu'il a construites pour la ville d'Anvers. François Viète semble avoir partagé ce point de vue, qui publie en tête de son de numerosa potestatum la lettre très élogieuse que Marin Ghetaldi fait du fondateur de l'algèbre et de son maître Coignet[2]. Coignet fut en correspondance avec l'astronome humaniste

Bombelli publie en 1572 l’Algebra, où il expose les connaissances algébriques de l’époque. Il accepte les racines des nombres négatifs. L’utilisation de lettres dans les calculs algébriques existait dès le début du 16ème siècle, mais c’est François Viète (1540-1603) qui introduit les expressions algébriques, utilisant les lettres pour les inconnues.

« science », et du latin universalis : « universel »), à la base de l'ensemble des connaissances. Cette idée est ensuite reprise en 1629 par Descartes (1596 - 1650) dans les Règles pour la direction de l'esprit. C'est après les travaux du mathématicien François Viète (1540 - 1603) et de Descartes que se développe l'algèbre. Les mathématiques sont donc l'un des piliers du développement de la science moderne. La Renaissance s'étalant sur deux siècles, en art le mouvement est divisé en trois périodes majeures:

........................................................................... 7 1537 Niccolo Fontana dit Tartaglia (1499-1557) : ....................................................................................................... 7 1540-1603 François Viète : .......................................................................................................................................... 8 1583 Garcia de Palacios : .........................................................................

6 480 Aryabhata (indien) 3,14156 4 500 Brahmagupta (indien) √10 ≈ 3,16 1 640 Al Khwarizmi (arabe) 22/7 ≈ 3,1428 ; 3,1416 3 800 Fibonacci (italien) 864/275 ≈ 3,1418 3 1220 Al Kashi (arabe) 16 1430 Von Lauchen (allemand) 3,14159265 8 1550 Viète (français) 3,1415926536 9 1593 Romanus (hollandais) 15 1593 Van Ceulen (hollandais) 34 1609 Grienberger 39 1630 Sharp 71 1699 Machin (anglais) 100 1706 Dase (anglais) 200 1844 Shanks (anglais) 528 1873 Wrench et Fergusson 808

méthode d’Archimède ou une de ses variantes). LUDOLPH VON CEULEN (1539-1610), qui donnera son nom à pi, calcule 20 décimales puis 34 décimales. Ce calcul lui prit une bonne partie de sa vie et il fera même graver le résultat sur sa pierre tombale. VIETE (1540-1603) découvre le premier produit infini donnant p en considérant cette fois-ci l’aire du cercle au lieu du périmètre. Mais la convergence du produit est si lente qu’il préfère encore utiliser la méthode d’Archimède pour calculer 9 décimales

In mathematics, early brilliance appeared in Newton's student notes. He may have learnt geometry at school, but he always spoke of himself as self-taught; certainly he advanced by studying the writings of his compatriots William Oughtred and John Wallis, and of Descartes and the Dutch school. Newton made contributions to all branches of mathematics then studied, but is especially famous for his solutions to the contemporary problems in analytical geometry of drawing tangents to curves (it is called