Frédéric II de Prusse

qui l’embastille et le contraint à l’exil en Angleterre ou à l’écart de Paris. En 1749, après la mort d’Émilie du Châtelet avec laquelle il a entretenu une liaison houleuse de quinze ans, il part pour la cour de Prusse mais, déçu dans ses espoirs de jouer un grand rôle auprès de Frédéric II à Berlin, se brouille avec lui après trois ans et quitte Berlin en 1753. Il se réfugie un peu plus tard aux Délices, près de Genève, avant d’acquérir en 1759 un domaine à Ferney, sur la frontière franco-genevoise

l'embastille et le contraint à l'exil en Angleterre ou à l'écart de Paris. en 1749, après la mort d'Émilie du Châtelet avec laquelle il a entretenu une liaison finalement houleuse de quinze ans, il part pour la cour de Prusse mais déçu dans ses espoirs de jouer un grand rôle auprès de Frédéric II à Berlin, il se brouille avec lui après trois ans et quitte Berlin en 1753. Il se réfugie un peu plus tard aux Délices en Suisse, près de Genève, avant d'acquérir en 1759 un domaine à Ferney, sur la frontière franco-genevoise

par l'affaiblissement de la monarchie, suivi de la fin de la dominance française en Europe et du début de la supériorité anglaise. Des personnalités comme Voltaire, J.-J. Rousseau, B. Franklin ont certainement marqué leur époque de même que Frédéric II de Prusse, Lavoisier, Diderot et Goethe. I)Qu’est ce que les lumières ? « Lumières » : Le phénomène est plus que Français, Européen. Le terme existe dans toutes les langues (Enlightenment, Aufklärung, etc.) pour désigner à chaque fois, mais

qui l'embastille et le contraint à l'exil en Angleterre ou à l'écart de Paris. En 1749, après la mort d'Émilie du Châtelet avec laquelle il a entretenu une liaison houleuse de quinze ans, il part pour la cour de Prusse mais, déçu dans ses espoirs de jouer un grand rôle auprès de Frédéric II à Berlin, se brouille avec lui après trois ans et quitte Berlin en 1753. Il se réfugie un peu plus tard aux Délices, près de Genève, avant d'acquérir en 1759 un domaine à Ferney, sur la frontière franco-genevoise

faire pour réformer de la société française au niveau social et judiciaire. * En 1729, il est de retour en France. * En 1734, Voltaire fait publier les « Lettres philosophiques ». * En 1750, Voltaire accepte l'invitation du roi de Prusse Frédéric II. Il reste trois ans à Berlin, durant lesquels le roi lui verse une pension de 20 000 livres. Les soupers entre le roi et l'homme de lettres sont restés célèbres.  * En 1765, trois ans exactement après son procès, la famille Calas, soutenue

l’embastille et le contraint à l’exil en Angleterre ou à l’écart de Paris. En 1749, après la mort d’Émilie du Châtelet, avec laquelle il a entretenu une liaison houleuse pendant quinze ans, il part pour la cour de Prusse, mais, déçu dans ses espoirs de jouer un grand rôle auprès de Frédéric II à Berlin, se brouille avec lui après trois ans et quitte Berlin en 1753. Il se réfugie un peu plus tard aux Délices, près de Genève, avant d’acquérir en 1759 un domaine à Ferney, sur la frontière franco-genevoise

Héloise (1761- Diderot et Rousseau) Voltaire: - Le Loue dans le Mondain (1736) - Candice (1759) - Montesquieu: - Les lettres persanes (1721) - De l'esprit des lois (1748) - II) Une différence profonde sépare les auteurs du XVIIIème siècle de leurs prédécesseurs: ce sont des philosophes réformateurs, ils essayent de régler la société: la littérature cesse d'être désintéressée pour devenir militante et sera le ferment de la

l'Encyclopédie. Leurs écrits sont censurés et brûlés. Des monarques Européens acceuillent des philosophes, ce sont des despotes éclairés, autrement dit des souverains autoritaires influencés par les philosophes des lumières. Joseph II de Habsbourg, Frédéric II de Prusse ou Catherine II de russie (qui acceuil voltaire) sont des despotes éclairés. (sauter 2 lignes) Domaine religieux L'église L'église aussi condamne la pensée des lumières. Pourtant la majorités des philosophes croient en dieu

le contexte historique. La guerre de Sept ans débute en 1756. Elle oppose la France et l’Autriche à une coalition qui réunit la Prusse et l’Angleterre. Sur un champ de bataille qui s’étend du Rhin à la Vistule, trois cent mille soldats se battent en Europe centrale et le 5 novembre 1757, 50 000 français sont exterminés à Rossbach par les troupes de Frédéric II de Prusse. Candide est chassé du paradis du « beau château » et jeté sur les routes du monde. La guerre sera sa première épreuve. L’extrait

est le symbole de la noblesse allemande et que le « le roi des bulgares » serait Frédéric II qui, en 1757 a obtenu la victoire de Rossbach. Voltaire qui croyait à la défaite de son ancien protecteur prend alors conscience de sa naïveté. Le conte serait donc perçu comme une revanche sur l’humiliation infligée par Frédéric II, suite à la brouille qui a fâché le philosophe avec le roi de Prusse en 1753. Traiter Frédéric II de « roi des Bulgares » est une façon indirecte de rappeler son orientation sexuelle