Frédéric II de Prusse

opposition au fanatisme religieux). Suite à un second séjour à la bastille, il quitte la France pour l’Angleterre où il écrit Lettres philosophiques, œuvre dans laquelle il dénonce le pouvoir français. Il part en 1750 pour la cour de Prusse où il rejoint Fréderic II, un despote éclairé ayant des idées attirant Voltaire au début. Il collabore aussi à l’encyclopédie de Diderot En 1759, Voltaire se lance dans une campagne contre l’infamie ou il attaque tous les fanatismes : De l’horrible danger de la

pas s’approcher de Paris. Jusqu’en 1750, il est courtisan mais une affaire à Paris le fait tomber en disgrâce. Il s’exile en Prusse à la cour de Frédéric II où il est nommé à « l’Académie royale des sciences et des lettres ». Il publiera l’un des ouvrages les connus plus connus pendant son séjour, Le Siècle de Louis XIV. Il s’installe après une brouille avec le roi de Prusse à Genève en 1755 puis à Ferney en 1758. En 1778, il revient à Paris où son retour triomphal est l’annonciateur des journées

historiographe du Roi, puis entrera à l’Académie. Comme le héros de Zadig (1747), il sera tantôt en faveur, tantôt en disgrâce, ce qui lui vaudra d’amères désillusions. En 1750, le roi Frédéric II de Prusse l’appelle auprès de lui ; son amitié avec le « despote éclairé » et les années passées à la cour de Prusse se soldèrent par une brouille et une nouvelle déception. Désormais, il décide de s’engager sur tous les fronts : pour la liberté et la raison avec Candide (1759), puis contre le fanatisme

guerre à la Guerre de Sept Ans, les problèmes logistiques ne font l'objet d'aucune réflexion approfondie et sont traités au coup par coup par des échelons d'exécution. A partir de la moitié du XVIII ième siècle, avec les guerres menées par Frédéric II en Prusse, la logistique apparaît comme un élément décisif de l'art de la guerre et un début de conceptualisation commence à apparaître dans les écrits militaires. Aprés les guerres napoléoniennes, le baron de Jomini définira la place de la logistique

Candide a été publié en 1759. C'est une période pénible pour Voltaire (guerre de 7 ans entre la France et la Prusse très meurtrière). Il y également eu un tremblement de terre très dévastateur à Lisbonne en 1755 qui l'a beaucoup marqué. Candide est une réflexion sur le mystère du mal et sur comment concilier l'existence du mal sur terre avec l'existence de Dieu. Candide est publié simultanément à Genève, en Angleterre et en France. Candide est présenté comme un ouvrage traduit de l'Allemand par le

commerce. 1758 Voltaire achète une propriété dans laquelle il va s’installer. Candide sort en 1759. Relations avec les grands monarques et empereurs de son époque  Catherine 2 de Russie.  Fréderic II de PRUSSE contester  monarchie absolue. Contexte historique :  guerre de 7 ans que la France mène face au prusse et Autriche  conflitys de terroire conflits d’ineterts dynastiques.  Rossbach. Candide : inossence naivetée Candide devient synonyme de simplet puisiuqe qu’il devient trop naif trop

latitude qui l'embastille et le contraint à l'exil en angleterre ou à l'écart de paris. En 1749, après la mort d'émilie du Châtelet avec quoi il a caresser une liaison houleuse de quinze ans, il part pour la cour de prusse mais, déçu dans ses espoirs de tenir un imposant rôle auprès de frédéric II à berlin, se brouille avec lui après trio ans et quitte berlin en 1753. Il se réfugie un peu plus tard aux délices, près de genève, supra d'acquérir en 1759 un ressort à ferney, sur la mur franco-genevoise, à

l’ironie est plus mordante et se met au service de l’antiféminisme de Voltaire. Le dernier paragraphe n’est pas mal dans son genre aussi pour les coups d’épingle distribués généreusement. Voltaire règle ses comptes avec ses compatriotes, avec Frédéric II de Prusse en retournant, suprême habileté, l’innocence d’un ennemi, le Jésuite abhorré, enrôlé contre son gré dans le combat des Lumières

* patronyme ridicule : Thunder-ten-tronckh * n'admet pas sa pauvreté - l'attachement aux privilèges : chasse, chapelle privée - l'attachement à la hiérarchie : " que 71 quartiers " (au lieu de 72) - l'inégalité - la Prusse (il avait fait un séjour chez Frédéric II et s'était fâché avec lui) *Westphalie *"nous mangeons du porc toute l'année" = vengeance - les femmes : misogynie = satire facile * portraits indélicats l.16 à 19  L'étroitesse d'esprit de la noblesse est visée

Quennevenat J.-C., Atlas de la Grande Armée, Paris, 1991. _ Lechartier G., Les services de l’arrière de la Grande Armée, Paris, 1911. _ Alombart et Colin, La campagne de 1805 en Allemagne, Paris, 1902-1906. _ Tranié et Cargniani, La campagne de Prusse en 1806, Paris, 1984. _ Fouquart P., La campagne de Pologne en 1807, Paris, 1882. _ Balagny P., La campagne de Napoléon en Espagne, Paris, 1902-1907. _ Tranié et Carmigniani, La campagne de 1809, Paris, 1979. _ Tranié et Cargniani, La campagne