Gens du Livre

Différentes thématiques abordées dans le livre : Solitude : la solitude est , bien entendu , une des principales thématique abordée dans ce livre. En effet , dès le début du livre , on découvre M. Meursault seul , sans compagnie , dans son quartier , dans sa maison , chez lui. Oui , on apprend assez vite que cette solitude a été engendrée par l’envoi de sa mère à l’Asile en Algérie , M. Meursault ne pouvant plus s’occuper d’elle par défaut de moyens financiers. Mais il n’y a pas que ça , il n’avait

point cela pouvait influencer ma vie. La surveillance se limitait à un concept extérieur auquel je ne portais presque aucune attention. Au cours de ma lecture, j'ai relevé le thème de la surveillance qui pour moi fût prédominant. Au travers de ce livre, Orwell nous présente un monde futuriste dont le contrôle de la vie d'autrui est l'unique obsession. J’ai particulièrement été touché par l’interprétation qu’en a faite Orwell. J’ai donc entrepris d’analyser ce thème : la surveillance que je diviserai

pays, près de sa vieille mère, mieux armée pour consentir aux vertus des gens simples. A travers l'émouvante histoire de Maïmouna, ce sont deux mondes, deux façons de vivre, deux morales, deux visages de l'Afrique qu'Abdoulaye Sadji, romancier sensible et lucide, dévoile. Source : quatrième page de couverture. L'auteur est né en 1910 à Rufisque (Sénégal). Fils de marabout, il apprit jusqu'à l'age de 11 ans les versets du Livre Saint à l'école coranique. Il devient instituteur en 1929 après avoir

autres filles de son âge, elle est introvertie, elle aime observer les gens, collectionner les mots, lire les encyclopédies et faire des théories sur le monde qui l’entoure. Or, un jour, son professeur de SES (Sciences Economique et Sociales), Mr Marin, lui demande de faire un exposé, sa plus grande hantise. Elle choisit comme sujet : les jeunes femmes sans-abris. Lou adore également se promener dans les gares pour observer les gens et c’est là qu’elle rencontre No, une jeune femme SDF à peine âgée

Lorsque Candide apprend que Cunégonde est présumément morte, cela le rend très malheureux, mais il a un pic de bonheur quand il la retrouve vivante chez la Vieille (C’est un des moments ou il y a le plus de bonheur) (Page 66) Exemple 3 : à la fin du livre, quand tous les personnages principaux se retrouvent tous au Jardin, on peut y voir une forme de bonheur. (Chapitre 30) - Richesse / Pouvoir Richesse : Voltaire prouve que les possessions et la richesse ne sont pas synonymes de bonheur. Exemple 1 :

faire en sorte que les gens arrêtent de les lire » Ray Broadway En 1953, l’écrivain américain Ray Bradbury publie « Fahrenheit 451 », un livre de science-fiction. Dans ce roman, il critique la société de masse dans laquelle vivent ses personnages, et peut-être où nous vivons nous-même. Dans son histoire, la détention de livres ou la lecture de ceux-ci sont interdites ce qui entraine la population dans un total décervelage. Par-là, il démontre tout l’intérêt du livre, ce support qui depuis

La publicité déforme la réalité; c'est une affirmation que peut-être peu de gens voudraient contredire. Mais est-ce que toutes les personnes arrivent à différencier le réel et le irréel? Ce regard édulcoré de la réalité est toujours inoffensive? C'est le type de questions que ce dossier proposé par le livre Les techniques du français nous invite à poser. Jean-Claude Guillebaud, dans son article La féerie publicitaire fait apparaître les périls qui peut provoquer le matraquage des images où tout est

sombres de nos sociétés et de nos vies. C’est dans le but de nous avertir que Bradbury, dans son livre Fahrenheit 451, nous présente une société déshumaniser où les livres sont interdits et que Orwell, dans livre 1984, nous présentent un futur où un état totalitaire contrôle chaque aspect de la vie. C’est avec un grand intérêt que je vais comparer l’œuvre de Bradbury et le film 1984, tiré du livre de George Orwell. Dans un premier temps, je vais comparer les deux futurs pessimistes présentés

L’écume des jours a été écrit après la deuxième guerre mondiale, des atrocités que l’on sait ont eu lieu. Boris Vian fait donc partie de cette époque d’après-guerre. D’ailleurs son livre est d’un pessimisme aigu. Il dénonce avec la fin tragique de Chick les méfaits de l’enfermement dans des idées. Vian dénonce dans ce livre l’engagement idéologique de Chick (il ne lit d’ailleurs que du Jean-Sol Partre, il n’y a pas d’esprit critique). Donc, il place une certaine littérature comme pernicieuse, amenant

qui avait comme tâche de vendre des livres “spéciales.” Lorsque Monsieur Jodoin accepta, son patron lui amena dans le capharnaüm. Dans cette chambre noire trouva une collection de livre qui selon l’église sont interdits. M. Chicoine voulait vendre ses livres au “gens sérieux” pour un prix 75 ou 100% plus chère qu`un livre `normal.` Le temps y passe et M. Jodoin travaille toujours au libraire qui comprend maintenant un nouveau entretien. Peu à peu, il accueille `une clientèle sérieux` à qui il 2