Glaïeul

Généralement utilisée sur des murs et plafonds intérieurs et aussi sur des murs extérieurs. Procédures de la réception des matiéres premiéres et Emballages ❖ L’arrivée du camion : o Le camion ou le remorque arrive à l’agence GLAIEULS, l’agent de sécurité le fait entrer au terrain. ❖ Prise en charge : o Le contrôleur lui indique l’emplacement où il doit décharger son camion. ❖ Le contrôle : o Les matières premières

blancheur qu’il admire, La place éblouissante où le soleil se mire. Puis, quand les bords de l’eau ne se distinguent plus, A l’heure où toute forme est un spectre confus, Où l’horizon brunit, rayé d’un long trait rouge, Alors que pas un jonc, pas un glaïeul ne bouge, Que les rainettes font dans l’air serein leur bruit Et que la luciole au clair de lune luit, L’oiseau, dans le lac sombre, où sous lui se reflète La splendeur d’une nuit lactée et violette, Comme un vase d’argent parmi des diamants

C'est un petit val qui mousse de rayons. Un soldat jeune, bouche ouverte, tête nue, Et la nuque baignant dans le frais cresson bleu, Dort ; il est étendu dans l'herbe, sous la nue, Pâle dans son lit vert où la lumière pleut. Les pieds dans les glaïeuls, il dort. Souriant comme Sourirait un enfant malade, il fait un somme : Nature, berce-le chaudement : il a froid. Les parfums ne font pas frissonner sa narine ; Il dort dans le soleil, la main sur sa poitrine Tranquille. Il a deux trous rouges

c'est un petit val qui mousse de rayons. Un soldat jeune, bouche ouverte, tête nue, Et la nuque baignant dans le frais cresson bleu, Dort ; il est étendu dans l'herbe, sous la nue, Pâle dans son lit vert où la lumière pleut. Les pieds dans les glaïeuls, il dort. Souriant comme Sourirait un enfant malade, il fait un somme : Nature, berce-le chaudement : il a froid. Les parfums ne font pas frissonner sa narine ; Il dort dans le soleil, la main sur sa poitrine, Tranquille. Il a deux trous rouges

c'est un petit val qui mousse de rayons. Un soldat jeune, bouche ouverte, tête nue, Et la nuque baignant dans le frais cresson bleu, Dort ; il est étendu dans l'herbe, sous la nue, Pâle dans son lit vert où la lumière pleut. Les pieds dans les glaïeuls, il dort. Souriant comme Sourirait un enfant malade, il fait un somme : Nature, berce-le chaudement : il a froid. Les parfums ne font pas frissonner sa narine ; Il dort dans le soleil, la main sur sa poitrine, Tranquille. Il a deux trous rouges

un petit val qui mousse de rayons. Un soldat jeune, bouche ouverte, tête nue, Et la nuque baignant dans le frais cresson bleu, Dort ; il est étendu dans l'herbe sous la nue, Pâle dans son lit vert où la lumière pleut. Les pieds dans les glaïeuls, il dort. Souriant comme Sourirait un enfant malade, il fait un somme : Nature, berce-le chaudement : il a froid. Les parfums ne font pas frissonner sa narine ; Il dort dans le soleil, la main sur sa poitrine Tranquille. Il a deux trous rouges

aux hanches de nacelle Aux hanches de lustre et de pennes de flèche Et de tiges de plumes de paon blanc De balance insensible Ma femme aux fesses de grès et d'amiante Ma femme aux fesses de dos de cygne Ma femme aux fesses de printemps Au sexe de glaïeul Ma femme au sexe de placer et d'ornithorynque Ma femme au sexe d'algue et de bonbons anciens Ma femme au sexe de miroir Ma femme aux yeux pleins de larmes Aux yeux de panoplie violette et d'aiguille aimantée Ma femme aux yeux de savane Ma femme aux

autant par ses œuvres en elles mêmes que par la modernité quasi révolutionnaire qu’il affirmait. Il laisse en mourant certaines œuvres particulièrement riche (comme « Le Dormeur du val » qu’il écrit à seulement 16 ans). Les pieds dans les glaïeuls, il dort. Souriant comme Sourirait un enfant malade, il fait un somme: Nature, berce-le chaudement : il a froid. Les parfums ne font pas frissonner sa narine ; Il dort dans le soleil, la main sur sa poitrine, Tranquille. Il a deux trous rouges

| | | | |Les pieds dans les glaïeuls, il dort. Souriant somme | | | |Souriait un enfant malade, il fait un somme :

boisées, profondeur à l’endroit. + mention de la montagne au vers 3. * Mention des « herbes » qui constitue un « lit vert », métaphore qui donne une image confortable et douce. * Autres éléments végétaux, le « frais cresson bleu », « les glaïeuls », couleurs. B/ Un cadre ensoleillé, à la fois chaud et frais : * Présence d’une rivière et du soleil qui « luit » * Deux éléments de la vie : Eau et soleil, associés. Série d’oxymore qui met l’accent sur ce rapprochement.  « les haillons