Glissement de terrain

documentés sur les tsunamis et leurs causes, et sur tout ce qui avait un quelconque rapport avec les tsunamis. En approfondissant nos recherches, nous avons trouvé des notions de SVT tels que les séismes, les éruptions volcaniques ou les glissements de terrain, et des notions de Sciences Physiques, telle que la longueur d'onde, ou les énerg Ensuite, de récents évènements, tels que le tremblement de terre de Haïti ou l'éruption de la Soufrière Hills, nous ont amené à chercher de précédents tsunamis

forme la Clapière sur ce petit village, St Étienne de Tinée. Ce tpe m’a appris à mieux réguler mon travail et surtout a monté un dossier important. 6°) Conclusion Notre tpe nous à permis de découvrir ce qu’était le glissement de la Clapière (le plus grand glissement de terrain d’Europe) qui met en péril un petit village de la haute Tinée, St Étienne de Tinée. Ce tpe nous a permis de travailler sur la composition chimique de la terre et la tectonique des plaques (SVT) et sur les forces de frottement

et « nami » signifiant « vague », c’est donc une vague de port. .Un tsunami est une formation de vagues de fond gigantesques qui déferlent sur les côtes. Cela est multifactoriel, peut se produire en raison d’un tremblement de terre, un glissement de terrain, une éruption volcanique sous-marine : un séisme. Ou un impact de météorite mais c’est très improbable. . Ils se manifestent par : * Une baise du niveau d’eau et un recul de la mer dans les quelques minutes qui les

déplacée. Cela peut être le cas lors d'un séisme sous-marin important, d'une magnitude de 7 ou plus sur l'échelle de Richter, lorsque le niveau du plancher océanique le long d'une faille s'abaisse ou s'élève brutalement (voir Fig. 1), lors d'un glissement de terrain côtier ou sous-marin, ou lors d'un impact par une météorite. Il est notable qu'un fort séisme ne produit pas nécessairement un tsunami : tout dépend de la manière dont se modifie le niveau du plancher océanique aux alentours de la faille.

alors par couler comme un liquide et parfois l'eau se met à jaillir. Les conséquences de la liquéfaction des sols sont les suivante : les bâtiments s'enfoncent et se penchent, des ruptures du sol apparaissent en surface mais également des glissements de terrain. Ce phénomène s'est produit lors du séisme de Niigata en 1964 au Japon. f) Effets concrets sur les bâtiments Les ondes sismiques provoquent une accélération du sol de fondation, ce qui conduit à l'apparition de forces de direction

vos constations, en vous référant aux documents photos ? La victime a fait une chute dans un ravin à terminé sa course la face sur des pierres. Le tas de tronc et de branches ainsi que l'état du terrain à gauche de la victime (terre retourner), peut faire penser a un léger glissement de terrain ( a vérifier par les enquêteurs ). le sol est gelé et semble glissant. le corps est vêtu d'une chemise ou d'un t-shirt bleu qui est lui-même revêtu d'un pull over de type camionneur de couleur

provoquent de nombreux séismes plus ou moins catastrophiques. Le dernier tremblement conséquent enregistré s'est produit le 11 mars 2011, et a été évalué à une magnitude de 9,0 sur l'échelle de Richter. Les séismes entrainent des tsunamis,des glissements de terrain et une érosion accélérée des sols. Le japon étant un pays au relief principalement montagneux, ses habitants se concentrent sur les côtes. De plus, la plupart des habitations sont précaires. Ainsi, lorsque de telles catastrophes surviennent

certains cas, la nature du sous-sol ou à la topographie du secteur exposé, peuvent piéger les ondes sismiques et augmenter l’amplitude de ce mouvement. Des phénomènes annexes peuvent aggraver les conséquences d’un séisme : chute de blocs, mouvements de terrain etc. Les séismes sont caractérisés par leur magnitude et leur intensité. La magnitude correspond à l’énergie libérée lors d’un séisme et l’intensité est associée à l’ampleur des dommages causés par le séisme. A magnitude équivalente, un séisme

avant même le début de l’exploitation et qui doit se poursuivre tout au long de l’avancement de la mine, jusqu’à sa fermeture. L’eau est une des principale cause d’érosion qui devient extrêmement importante sur un site minier du fait du décapage des terrains et donc de la disparition du couvert végétale, qui joue en temps normal le rôle primordial de stabilisation des sols. En effet, les massifs latéritiques de Calédonie, où se trouve le minerai exploitable, sont des milieux qui sont à la base sujet

effets des catastrophes naturelles, dont ceux des affaissements de terrain dus à des cavités souterraines. 3. Majeure : Selon la loi du 13 juillet 1982, toutes les personnes qui possèdent pour leurs biens (habitation, véhicule, entreprise) une assurance dommages (incendie, vol, dégâts des eaux, etc.) ou pertes d’exploitation sont automatiquement couvertes en cas de dommages causés à ces bien par une inondation, un glissement de terrain, la sécheresse, une avalanche, un tremblement de terre. Mineure :