Gobseck

Nucingen, qu'elle a épousé en 1808, et qu’elle trompera avec Eugène.  * Rastignac avec Vautrin Anastasie de Restaud, fille aînée du père Goriot qu’elle a pratiquement renié, elle est la maîtresse de Maxime de Trailles dont elle paie les dettes à Gobseck. Rastignac jette son dévolu sur elle avant de devenir l’amant de sa sœur Delphine. * Horace Bianchon, docteur en médecine, il est illustre dans la Comédie humaine car il soigné plusieurs personnages récurrents, il est l’ami d’Eugène et essaye

sexes qui ne pâtisse de cette brèche ouverte par la prostituée : lorsque Balzac, grand observateur de ses contemporains, donne pour titre au roman où figure Esther Gobseck, “Splendeurs’”[7] et misères des courtisanes, le pluriel jette un doute sur l’identité de la courtisane dans ce texte Et, pour en faire deux, en dehors d’Esther Gobseck[8], il n’y a que Rubempré[9] ! Èvoquer la prostitution au XIXe siècle, c’est bousculer un tabou et la représenter, c’est montrer l’envers du décor de cette société

petite bourgeoisie provinciale. Au 19ème siècle il existait le Réalisme, mais aussi le Naturalisme et le Symbolisme. Balzac a appartenu au Réalisme avec son oeuvre « la Comédie Humaine » regroupant 90 de ses œuvres et notamment dans ces portraits (Gobseck, le pêre Goriot...). Mais il était également un grand défenseur du Romantisme qui était aussi un mouvement du XIXème siècle. En 1825, il achète une imprimerie mais fait rapidement faillite et, couvert de dettes, se tourne de nouveau vers le roman

Balzac « Cette décoration inspire au futur Chevalier de la Légion d'honneur les dépenses somptuaires d'un bal et lui donne un vertige d'ambition qui l'amène à risquer toute sa fortune. Ruiné par Sarah Gobseck, le notaire Roguin flaire en Birotteau une dupe potentielle. Le notaire déchu entraîne son « ami » dans sa débâcle : il s'entremet auprès de lui dans une affaire de spéculation immobilière, s'empare de toutes les économies du parfumeur qui ne lui

élaboration fut longue et il n’eu pas le temps de l’achever . c’est un travail lent , un assemblage progressif et mûrement réfléchit . Son travail commence en 1830 : Balzac regroupe sous le nom de Scènes privée 6 de ses nouvelles : (La Vendetta , Gobseck, Le bal de Sceaux, La Maison du chat-qui-pelote, Une double famille et La paix du ménage). 4 ans plus tard, il ajoute un nouveau volume plus vaste intitulé Études de mœurs qui est lui-même coupé en sous parties : -Scènes de la vie de provinces

responsable de la mort de son père, donc femme criminelle. L'Interdiction Ferragus César Birotteau L'Envers de l'histoire contemporaine Splendeurs et misères des courtisanes Anastasie de Restaud Elle apparaît pour la première fois en 1816 : dans Gobseck, écrit en 1830. L'usurier se présente à son domicile, rue du Helder pour que soit honorée une dette de mille francs. Elle lui vend un diamant de douze cent francs pour honorer la lettre de change de son amant. Son portrait se précise dès 1819 dans Le

financiers. Bibliographie Non exhaustive | |Dare de parution | |Les Chouans |1829 | |Gobseck |1830 | |Le Chef D'Œuvre Inconnu |1831 | |Eugénie Grandet |1833

héros balzaciens se projette sur les murs. On ne peut comprendre le personnage sans cette description de son lieu de vie. Environnement et personnage sont même souvent indissociables, comme l’illustre Gobseck : « sa maison et lui se ressemblaient. Vous eussiez dit de l'huître et son rocher. » (Gobseck) Les objets et la manière dont ils sont disposés définissent leur propriétaire : « S’il est vrai, d’après un adage, qu’on puisse juger une femme en voyant la porte de sa maison, les appartements doivent

lui-même jusqu’à l’anéantir complètement : « certes elle voulait l’anéantir socialement ». | Derville un personnage central du Colonel Chabert et apparaît dans de nombreux romans de La Comédie humaine : il joue un rôle important dans Gobseck (1830), César Birotteau (1837), Une ténébreuse affaire (1841), Le Père Goriot (1835), Splendeurs et misères des courtisanes (1838-1844). Il y joue toujours le rôle d’un avoué intègre. Il est, en effet, avec Chabert, face aux trois autres personnages

 » ; « tous quatre, debout, mal éclairés par la chandelle fumeuse, avalaient en hâte. ». Enfin, certains romanciers, en critiquant certains aspects négatifs de la société, mettent en avant la difficulté des hommes à vivre dans un tel système. Dans Gobseck par exemple, Balzac dénonce le pouvoir trop fort qu’exerce parfois l’argent dans l’esprit des gens. Effectivement, son récit présente une société dans laquelle l’argent est maître de tout, même de l’amour : Mme de Restaud se retrouve seule (sans