Gradation

de temps, dans le poème il y a une grande hyperbole de la vie qui dure seulement un jour. Cette hyperbole est aussi représentée par la grande gradation descendent, qui imite la vie de Cassandra en sens que comme la fleur est seulement « du matin jusques au soir » (v. XI), et donc en terms simples, Cassandra ne sera pas jeune pour longue. De plus, la gradation descendente est aussi une grande antithèse de la jeunesse et la vieillesse. Dans un vers Pierre de Ronsard dit que Cassandra est jeune et prête

obliger le lecteur à prendre du recul et à assister lui aussi à l’agonie tragique de la fin de Camille comme pour y mettre une lenteur « toute relative » (« la crise qu’elle redoutait, …Laurent secouait Camille…, il penchait la tête »). Enfin, la gradation « deux ou trois fois » oblige le lecteur à s’imaginer Camille tenter de resurgir et de compter avec lui ses tentatives désespérées de survie. L’effet de l’accomplissement du meurtre est renforcé par le groupe de mots « cris sourds », et Emile Zola

travailleurs. Après cette énumération, on a un effet de chute avec le mot " voix", qui annonce que ces créatures sont humaines. Ligne 4 " voix articulée ", puis ligne 5 " face humaine ", puis ligne 6 " ils sont des hommes " fait ressentir la gradation de l'animal vers l'Homme. II. La Bruyère demande plus de justice, il met en évidence la tragique et l'injuste situation des paysans a. Les difficiles conditions de vie des paysans • exposition permanente à la dureté du climat • leurs maisons

Et ces transgressions appellent une sanction, qui sera celle du drame. Ce qui risque de se trouver sanctionné, c'est le caractère du père « riche, respecté, influent, autoritaire, » exprimé ici par ici une nouvelle énumération, accompagnée d'une gradation : « riche » est assez neutre, plutôt objectif, « respecté » peut exprimer déjà une idée de crainte de ceux qu'il fréquente (on craint le pouvoir que peut donner la richesse, mais aussi la fausse honorabilité que confère la richesse), « influent »

la flatterie ; tels sont les talents essentiels du noble et du courtisan. » Analyse stylistique : L1 : « Que dirai-je des Gens de la cour ? » question rhétorique pour lancer le sujet L1 et 2 : « rampant, servile, sot, vil » énumération plus gradation, pour désigner les courtisans comme des êtres détestables L2 : On note aussi la répétition du superlatif « plus » qui renforce le propos Antithèse entre le coté négatif des courtisans et leur soif de grandeur « ils n’en prétendent pas moins au

particulier dans la dernière phrase qui présente une énumération de verbes niés : il « ne se contraint pour personne, ne plaint personne, […] ne pleure point la mort des autres » (l.19-20). D'ailleurs, cette dernière phrase est construite sur une gradation : La Bruyère commence par affirmer que Gnathon se moque de gêner les autres pour finir par remarquer que non seulement il ne se soucie pas de la mort des autres, mais même qu'il « n'appréhende que la sienne, qu'il rachèterait volontiers de l'extinction

( Mise en valeur des bonnes conditions de vie du chien - Comparaison implicite : « Un Dogue aussi puissant que beau // vos pareils y sont misérables, cancres, hères, pauvres diables » Vocabulaire péjoratif, énumération au rythme croissant, gradation des termes noirs « Dont la condition est de mourir de faim » Diérèse sur « condition » (Tableau sombre de la condition du loup, mort inévitable = mise en valeur de celle du chien - Minimisation des efforts à fournir : «  Presque rien . .

alexandrins. Rimes croisées pour les quatrains, et rimes plates pour les tercets.     - Titre = Cloche fêlée         2 Quatrains       2 Tercets             = synthèse de la construction du sonnet     - Une réelle cohésion par la cloche     - Gradation tragique : Vie -> Dégradation -> agonie -> mort II. Analyse du spleen :     - Obsession de la fuite du temps         Souvenirs lointains         Dualité amer (temps passe) et doux (nostalgie)         Champ lexical de la vieillesse     -

choses lourdes,et,toute chétive faisait les grosses besognes." L'énumeration d'actions faites par un même sujet. exemple: "-Le vieux dans son fauteuil,le chien sur le tapis,les perruches dans leur cage,les mouches au plafond dormaient." 4-La gradation: exemple: -"Dix,vingt,mille soldats apparurent." -"Va,cours,vole et nous venge." -"Je me meurs,je suis mort je suis enterré." -"Le moteur ronronne,ralentit,s'arrête." -"Il devient dissimulé,menteur,escorc,voleur,assassin." -"Une horrible

par son acharnement hors du commun. Citation 1 : « Vous n’avez jamais rien rêvé de semblable. Des mains noires, des souliers sans cordons, de la boue jusque dans les cheveux presque plus de culotte… un monstre. » (lignes 40-42) Procédé : La gradation de la description de Banbam . Citation 2 : « Le jour de son arrivée, on lui avait donné des modèles de bâtons en lui disant : -Fais des bâtons !... » (lignes 101-102), « Et, depuis un an, Bamban fait des bâtons. » (ligne 104) Procédé : La relation