Grands officiers d'État

France est alors à son apogée sur le plan politique, dans ce contexte là, on a un appareil d’Etat qui se met à fonctionner seul. La structure administrative se met à fonctionner de manière autonome en dehors de l’action même de celui que l’on considère comme souverain. Ainsi de nouveaux vocables apparaissent (des sortes de ministres) et on se met à parler de bureaucratie. Dans ces années là, l’appareil d’Etat change, « une révolution institutionnelle silencieuse » s’installe. Et comme par hasard, une

époque on considère que l’état est une structure juridique, composant d’une communauté. Le mot état à une connotation politique pour tout le monde fin XVe et début XVIe siècle (Machiavel est le premier à donner le sens politique au mot état). La notion d’état est accompagnée par certaine notion. La première est le gouvernement qui a un sens large (l’état, ensemble des personnes qui concentrent le pouvoir politique sur la population) à la tête de ce gouvernement, on trouve le chef de l’état. Le chef de

applique la politique royale selon les ordres du roi. Cet appareil administratif va se créer petit à petit. A. Les officiers Désignant la fonction publique, ce sont les agents royaux exerçant des fonctions au nom du Roi. Au XIVème, le nombre d’officier augmente considérablement (affaires plus compliquée, donc personnel plus éduqué et formé). Le roi demande aux juristes d’être officier. La charge de l’officier est une carrière attirant les bourgeois (ont fait des études). Donc vont se spécialiser dans

où l’on recoure encore massivement aux mercenaires, à une armée nationale, patriote, populaire. L’armée d’ancien régime n’est professionnelle que pour quelques régiments particuliers. Ses officiers ne connaissent pas leurs troupes, les études militaires restent fragmentaires et souvent réservées aux officiers de troupes. Il n’y a donc pas de statut réel pour l’armée, divisée entre propriété, offices, engagements saisoniers ou achat de mercenaires. La Convention doit, assez tôt, se poser la question

aussi une suprématie géopolitique en Europe, une prépondérance française. Le royaume s’agrandit. C'est aussi une éclat culturel, on peut cité Versailles et les grands auteur comme Molière et Racine. Dès le 18ème siècle Voltaire exprime l'idée d'un moment privilégié de civilisation en parlant du siècle de Louis 14. C'est l'idée d'un grand siècle ou de période classique. Négatif : C'est l'idée que le roi Soleil a été fabriqué par la propagande du temps. Il y a l'idée que cette puissance s'est établie

pouvoir. Depuis lors, Grândola, Vila Morena est un totem de la liberté reconquise. Un emblème unitaire, dont le troisième vers dit : «O Povo é quem mais ordena» («c’est le peuple qui commande»). I. La révolution des Œillets C'est un coup d'État militaire qui, le 25 avril 1974, renverse la dictature. Parce qu'elle fut pacifique et incroyablement rapide, cette « révolution des OeŒillets » déchaîna l'enthousiasme des gauches européennes. Les observateurs s'intéressent davantage aujourd'hui

de l'office est appelé officier. Il doit, en échange de la dignité que lui confère l'office et des gages qui lui sont rattachés, accomplir un service administratif. Sous cette appellation d'office sont regroupés une très grande diversité de situations : un secrétaire d'État, agent royal de rang ministériel est autant un officier qu'un auneur de drap qui contrôle la régularité des transactions de draps sur les marchés. Dès le XVe siècle le principe fut admis qu'un officier ne pouvait être privé de

l'équipement, les vivres et les munitions. Introduction : L'armée de Louis XIV est l'une des institutions principales du règne . Aussi appelée le Géant du Grand siècle, elle a contribué à l'unification du royaume. En effet c'est sous le règne de Louis XIV que l'armée française est agrandie et améliorée. L'armée devient un appareil d'état avec la création d'un service militaire, de l'uniforme et l'instauration du monopole royal pour la levée des troupes. L'armée voit ses effectifs augmenter on

de la monarchie absolue. Celle-ci, contrairement à ce que l’on pourrait croire, n’est guère caractérisée par la reconnaissance au roi de pouvoirs plus importants 2. Ce qui caractérise essentiellement l’absolutisme, ce sont les progrès de la notion d’Etat et l’emprise que celui-ci prétend exercer sur la nation. Sous la monarchie absolue, l’Etat s’attache à rationaliser et à rendre plus efficace l’exercice du pouvoir royal. Il se dote en particulier de rouages gouvernementaux modernisés et met en place

chapitre IV les actes d'etat civil Commençons par quelques observations de terminologie : Que désigne-t-on, en droit, lorsque l'on parle de "l'état d'une personne" ? Que désigne-t-on par l'expression "état civil" ? et que désigne-t-on par l'expression "actes d'état civil" ? ( Le mot "état", quand il s'applique aux personnes, désigne, en droit, tous les éléments caractérisant la situation d'une personne et auxquels le Droit attache des effets[1]. Font ainsi partie