Gris

surtout pas ris. Ce qui suit est dit avec les larmes sur le bord couler. Moi : C'est fou de penser que une vie peut être aussi fragile. J'aurais pu être aidé, mais je voulais rester dans le noir. Ce monde cupide m'a amené au désespoir, tout le gris de ce ciel ma enlevé l'envie de vivre. Moi : Je ne dors plus, je suis déjà mort. Mais ne te sent pas coupable pour mon geste ton sourire et tes blagues m'on garder en vie. Tu as été mon respirateur artificiel, merci. Maintenant je suis parti je

premier de la dénotation, s’ajoute la connotation, un sens second qui s’appuie sur l’imaginaire, la culture, les valeurs du spectateur. 2) Les codes symboliques. Le code couleur (chromatique) : 0 Blanc jaune Orange Rouge Violet Bleu Vert Gris Brun Noir -pureté, - lumière - feu - passion - savoir - foi - instabilité - malheur - terre - mort -innocence - énergie - soleil - joie - religion - calme - chance - ennui - force - tristesse -virginité, - richesse - lumière - colère

Analyse d’une œuvre picturale : Guernica Analyse formelle Le tableau Guernica, est peint en blanc et noir, avec différents types de gris et mêmes quelques tons dans les bleus qui se voient à peine. C’est possible que ce choix de couleur se doit au fait que Picasso fut percuté du bombardement par l’aviation allemande la ville basque Guernica (1937) à travers les journaux. Une autre explication est que le peintre malagueno aimerait transmettre sa peine, son angoisse et son indignation en représentant

touches de blanc un peu partout rendent la scène vivante et agréable à regarder. La toile dégage une impression sensible de fraîcheur et de joie, obtenue par le jeu des couleurs claires et par les sourires qui animent les visages. Le bleu de Prusse, le gris de Payne, le parme, le bleu lavande, l’indigo, le cobalt, le rose saumon et le jaune se marient harmonieusement. Par cette douce journée ensoleillée, l’ombre est chaude et palpitante, avec des reflets bleutés. La lumière naturelle, filtrée par le feuillage

Domaine artistique : Photomontage Titre : Le rossignol chinois Auteur : Max Ernst Date/époque : 1920 (Juste après la 1ère Guerre mondiale) Dimensions : 12,2cm x 8,8cm 2 - Analyse de l'œuvre : Au centre de ce collage noir et blanc nuancé de gris se trouve un personnage hybride : mi-femme, mi-machine. Sa tête est composée d'une bombe aérienne coiffée d’un éventail, d'un œil collé à l’envers, d'un crochet métallique pour le nez et d'un foulard blanc qui flotte au vent. Il y a aussi deux bras

gendarmerie, un des soldats y entra, et l'homme resta à la porte, gardé par l'autre soldat. Une voiture était arrêtée devant la porte de la caserne. C'était une berline armoriée(14) portant aux lanternes une couronne ducale(15), attelée de deux chevaux gris, deux laquais en guêtres derrière. Les glaces étaient levées, mais on distinguait l'intérieur, tapissé de damas bouton d'or(16). Le regard de l'homme fixé sur cette voiture attira le mien. Il y avait dans la voiture une femme en chapeau rose, en rose

malheur et qui dans le travail de cet artiste, plutôt qu’associé à l’obscurité sont en lien direct avec la lumière. De plus, je trouve le travail de la matière tout à fait remarquable. En effet, l’artiste arrive à nous donner une impression de camaïeu de gris alors qu’il n’utilise qu’une seule couleur et ce grâce au relief, au volume, au travail de la matière omniprésent dans la totalité de son œuvre. Description de l’œuvre L’œuvre que j’ai choisie est un polyptique constitué d’une association de

milli SOUS MULTIPLES milli micro nano pico = = = 10-3 10-6 10-9 = 10-12 MULTIPLES kilo méga = = 10.3 10.6 24/01/2004 J c TABLEAU DES COULEURS DE RESISTANCES COULEUR noir marron rouge orange jaune vert bleu violet gris blanc or argent sans 1° anneau 0 1 2 3 4 5 6 7 8 9 2° anneau 0 1 2 3 4 5 6 7 8 9 3° anneau 1 zéro (x 10) 1% 2 zéro (x 100) 2% 3 zéro (x1000) 4 zéro (x 10 000) 5 zéro (x 100 000) 6 zéro (x 1 000 000) tolérance 5% 10 % 20 % 24/01/2004

de l’homme, ils appellent ça dans les journaux – mais moi, je les connais, vos droits de l’homme. C’est des roses. Ça sent bon et c’est tout. » En fait, ce roman porte en lui une revendication majeure : « Le blanc et le noir, il y en a marre. Le gris, il n’y a que ça d’humain ».

je me trouvais. Quelle peur  et quelle surprise ! Ma curiosité m’a poussé à l’intérieur et j’ai découvert un merveilleux trésor archéologique d’une valeur inestimable…incroyable ! L’heure n’est plus aux longs discours, la tension monte, le nuage gris devient de plus en plus sombre et m’effraye. Je m’empresse de trouver un endroit protégé où un jour quelqu’un pourra mettre la main sur mon plan et ma lettre. Ce gros nuage qui semble si lourd ressemble à un pin parasol… J’arrive encore à trouver