Haie

accepter la banalité et la fragilité de tout ce qui fait partie de leurs univers même s’ils croient qu’ils contiennent des éléments intemporels et inébranlables. Cela arrive par exemple à Bernard lorsqu’il prend réellement conscience de l’état de sa haie et qu’il voit sa vie débouler devant ses yeux : « La vie, je me demande à quoi ça sert des fois… vingts ans… vingt ans de sacrifices… vingt ans d’engrais, vingt ans d’arrosage… vingt ans de trimage (…) tout ça pour ça!...»4 Il répète ce qui lui est

" Un jour, un paysan découvre par le plus grand des bonheurs deux perdrix, prises dans une haie, à côté de sa ferme. Elles se sont sûrement heurtées en vol, et ont terminé leur course, là raides mortes. Cela ne se produit que rarement. L’homme, fier et satisfait de sa découverte les confie à son épouse pour qu’elle les cuisine tandis qu’il part inviter le curé se joindre à l’excellent repas dont la seule pensée lui met déjà l’eau à la bouche....Mais sa femme achève les préparatifs du festin bien

d’une vérité trop insupportable. Et elle symboliserait notre capacité à se mentir. Par exemple, la vérité de s’avoir que l’on s’est faite de cette question nous rassure, et permet d’atténuer nos inquiétudes. Et si un jour nous apprenons que nous sommes haie depuis toujours, nous préférons ne rien entendre. L’illusion apaise et réconforte. Si la vérité des choses peut-être atteinte et que l’on préfère l’illusion, c’est que cette vérité est dérangeante. Si la vérité est insupportable rien qu’à l’idée de

comme par exemple Oscar et la dame rose ou l'enfant avec sa maladie créer un attachement et nous fait éprouver de la tristesse lorsque celui-ci meurt. Le personnage peut ainsi faire éprouver au lecteur une multitudes d'émotions, lorsque l'on aime, le haie ou le juge. S'identifier au personnage permet d'être absorber dans l´histoire et permet du mieux ressentir ses émotions et ses sensations. Ainsi le lecteur s'identifiant au personnage peut y trouver des solutions par rapport a son propre vécu. Comme

paysagère, de plantation de talus, de taille classique ou créative et de travaux de tranchée. Le matériel de transport se compose d’une camionnette citroen, jumper, et d’une remorque. Celui des travaux paysagers et composé de deux tailleuses a haie, une débrousailleuse, une tondeuse, deux tronçonneuse, un motoculteur, un souffleur, une mini-pelle et des râteaux, balais etc… L’entreprise étant basé entre Chambéry et Grenoble, la clientèle, composée a 90% de particulier, s’étend entre les deux

janvier - 10 mars - “Alone together”, La Halle de Pont en Royans, France, 27 janvier - 4 avril 2006: 2004: 2003: 2002: 2001: 2000: 1999: 1998: - “Alone together”, Galerie Nouvelles Images, La Haie, Pays-Bas, 17 juin - 23 août “Reale Fantasien”, Fotomuseum Winterthur, Winterthur, Suisse, 4 mars - 21 mai FSM Gallery, Florence, Italy, 21 avril - 10 juin “Vagues 2”, Musée Malraux, Le Havre, France, 26 juin - 27 septembre “Poc In Town”, Forum

il y a bien longtemps, une voiture de paysan, qui précédait notre ménage, nous avait déposés, ma mère et moi, devant la petite grille rouillée. Des gamins qui volaient des pêches dans le jardin s’étaient enfuis silencieusement par les trous de la haie… Ma mère, que nous appelions Millie, et qui était bien la ménagère la plus méthodique que j’aie jamais connue, était entrée aussitôt dans les pièces remplies de paille poussiéreuse, et tout de suite elle avait constaté avec désespoir, comme à chaque

énormément, il est boulimique mais ne grossit pas. Müller : un homme chicaneur et prévoyant (il rêve de se faire repêcher à un examen manqué). Detering : paysan rêvant de sortir de la guerre sans une blessure pour continuer son activité agricole. Haie Westhus : c’est un homme très costaud, il est ouvrier. Stanislas Katczinsky : c’est la tête du groupe, il est dur, rusé, roublard et il a beaucoup de flair. Il est appelé Kat. Franz Kemmerich : grand blessé a la jambe lors d’une des charges. Henri

fonderie, aux orgasmes déclenchés par des leviers, au viol méthodique, au viol sans passion. Fier de cette puissance qu'il ne pouvait pas contrôler. La terre accouchait avec les fers et mourait peu à peu sous le fer; car elle n'était ni aimée, ni haïe, elle n'était l'objet ni de prières, ni de malédictions. p 56: alors, c'est la propriété qui devient l'homme. Il ne peut pas faire ce qu'il veut, il ne peut pas penser ce qu'il veut. C'est la propriété qu'est l'homme, elle est plus forte que

|Activité 3 : préserver ou recréer une biodiversité (Bréal p : 122-123, Bordas | |---------------------------------------------------- | |p : 108-109 haie/jachère, Hatier p : 116) | | | |